Mor Gaye et Cheikhouna Lô, tous les deux membres de la coalition Idy2019, ont été arrêtés hier et placés en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Touba.
Poursuivis respectivement pour complicité et usurpation d’identité, ils ont été interpellés au centre de vote de Sicap Touba. En effet, Cheikhouna Lo s’est approprié la carte de mandataire de Mor Gaye et s’est présenté sous l’identité de ce dernier qui était officiellement le mandataire de la coalition Idy2019 dans un bureau de vote au centre de Sicap Touba. De source sûre, le procureur a été déjà avisé et les présumés coupables seront certainement entendus et déférés au Parquet dans les prochains jours.
LE CAS DE MBAYE NDIAYE
Venu accomplir son devoir citoyen hier à l’école primaire Hlm Grand Médine, l’ancien ministre de l’Intérieur n’a pas pu voter
Venu accomplir son devoir citoyen hier à l’école primaire Hlm Grand Médine, l’ancien ministre de l’Intérieur n’a pas pu voter.
Pour cause, sa date de naissance sur sa carte d’identité de la CEDEAO ne correspond pas avec celle sur le fichier électoral. «Sur le fichier électoral Mbaye Ndiaye est né le 31 décembre 1953 alors que sur la nouvelle carte d’identité CEDEAO tout comme l’ancienne, il est né le 1er janvier 1953. Donc il y a une différence. Je me soumets à la loi», a admis le ministre d’Etat. Mais, soulignait-il, l’erreur matérielle est admi se et peut être corrigée selon les dispositions du Code électoral, notamment les articles L86, L1 138 et L1 139, qui réglementent les conditions de fonctionnement des commissions départementales de recensement et de la Com mission nationale de recensement des votes. Pour lever toute équivoque, Mbaye Ndiaye a demandé au président de la commission de transcrire l’ensemble de ses observations notamment la différence de sa date de naissance sur sa carte CEDEAO et le fichier électoral qu’il va remettre au préfet. On a appris plus tard qu’il aurait réussi à voter.
IDY ET LE SCÉNARIO DE 2017
Annoncée comme étant l’une des régions décisives avec Dakar et Diourbel à la course présidentielle, Thiès n’a pas déçu
Elle aura tenu toutes ses promesses. Annoncée comme étant l’une des régions décisives avec Dakar et Diourbel à la course présidentielle, Thiès n’a pas déçu.
Les premières tendances confirment une forte avance de Idrissa Seck dans la ville. Mais le monde rural de Thiès n’a pas tout dit. Comme aux Législatives, il semble réserver un renversement, alors que Mbour et Tivaouane ont porté les couleurs beige-marron de Benno bokk yaakaar. Il faut dire, d’ailleurs, que les appétits farouches des lieutenants de Macky Sall comme Abdou Mbow, Alioune Sarr et Ciré Dia, Malick Mbaye, entre autres, ont semblé payer à bien des égards dans la capitale du rail qui n’est plus loin d’être imprenable.
La présidentielle de ce dimanche 24 février 2019 sera marquée par la participation de cinq candidats, un nombre plus faible en comparaison avec les présidentielles de ces dernières années
Dakar, 24 fév (APS) - La présidentielle de ce dimanche 24 février 2019 sera marquée par la participation de cinq candidats, un nombre plus faible en comparaison avec les présidentielles de ces dernières années.
Les électeurs sénégalais devront en effet choisir entre le président sortant, Macky Sall, candidat à sa propre succession, et ses quatre challengers, Madické Niang, Idrissa Seck, El Hadj Issa Sall et Ousmane Sonko.
Le scrutin était pourtant parti pour battre tous les records de candidatures. Dans les semaines précédant le dépôt des listes, divers chiffres, les uns aussi affolants que les autres, avaient circulé sur le nombre de candidatures.
Les informations circulant dans la presse laissaient entrevoir un scrutin dont l’organisation serait complexe tant le nombre de prétendants donnait le tournis.
Certains annonçaient en effet plus de 80 déclarations de candidatures, d’autres plus de 90, s’ils n’avançaient pas un chiffre supérieur à 100.
Mais pour nombre d’entre eux, ces velléités de candidature sont restées lettre morte, certains s’étant limités à retirer la fiche de parrainage.
La loi sur le parrainage, adoptée par l’Assemblée nationale le 19 avril 2018, stipule que tout candidat à la magistrature suprême doit être au préalable parrainé par au minimum 0,8 des électeurs et 1% au maximum.
Ce critère de validation a d’ailleurs eu raison de plusieurs candidatures dont les dossiers avaient franchi la porte du Conseil constitutionnel.
Le Conseil constitutionnel sénégalais a en effet rejeté 19 des 27 dossiers déposés en vue de la présidentielle de 2019, la plupart des recalés l’ayant été pour des motifs liés au parrainage.
Seuls donc le président sortant et quatre autres concurrents, Idrissa Seck, Ousmane Sonko, El Hadj Sall dit El Hadj Issa Sall et Madické Niang ont pu remplir ce critère et briguer le suffrage de leurs concitoyens.
Il faut remonter aux années 80 ou 70 pour trouver l’exemple d’une élection présidentielle avec un aussi faible nombre de candidats. Par exemple, en 1983 et 1988, ils étaient respectivement cinq et quatre à présenter leur candidature.
La présidentielle de 1993, par exemple, avait été disputée par huit candidats : Abdou Diouf, Abdoulaye Wade, Landing Savané, Abdoulaye Bathily, Iba Der Thiam, Madior Diouf, Mamadou Lô et Babacar Niang.
Un nombre identique à celui de 2000, année où Moustapha Niasse, Djibo Leyti Ka, Serigne Ousseynou Fall, Cheikh Abdoulaye Dièye et Mademba participèrent à leur première élection présidentielle.
Le scrutin présidentiel de 2007 avait vu s’affronter 15 candidats, dont Abdoulaye Wade, le président sortant, Abdoulaye Bathily, Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niasse, Idrissa Seck, Cheikh Bamba Dièye, Louis Jacques Senghor.
Il y avait aussi Talla Sylla, Robert Sagna, Doudou Ndoye, Modou Dia, Mame Adama Guèye, Mamadou Lamine Diallo, Alioune Mbaye.
En2012, lors de la deuxième alternance politique, ils étaient 14 à briguer le suffrage des Sénégalais.
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MAMI NYANGA, LA MILLIARDAIRE CAMEROUNAISE QUI NE CACHE PAS SES MILLIARDS
La richesse de cette battante n'est pas née ex-nihilo. Elle est partie de quelque part. Vendeuse de beignets de haricot, infirmière, puis revendeuse de pagne entre le Benin, le Nigeria et le Cameroun, elle a pu à se bâtir sa fortune à force de travail
Françoise Puene, cette camerounaise quinquagenaire communément appellée Mami Nyanga est une femme d'affaires propsère qui opère dans plusieurs domaines, notamment dans l'hotellerie. Propriétaire de plusieusr grand immeuble à Yaoundé, elle est une milliardaire décomplexée qui ne cache pas ses millirads parce qu'elle les justifie très facilement, dit-elle.
Femme androgyne, elle a un look très particulier, - veste cravate, haut talon, tête complètement rasée (boule à zéro)- et veut se faire respecter dans un environnement machiste. Mami Nyanga explique que c'est sa manière à elle de faire face à son milieu où les hommes ont tendance à vouloir l'écraser parce que femme.
La richesse de cette battante n'est pas née ex-nihilo. Elle est partie de quelque part. Vendeuse de beignets de haricot, infirmière, puis revendeuse de pagne entre le Benin, le Nigeria et le Cameroun, elle a réussi à se batir sa fortune en partant de rien. C'est à juste raison que Mami Nyanga est parfois très stupéfaite de voir personnes devenir brusquement riches sans aucun parcours alors qu' elle reste persudée qu'une fortune ne se constrtuit qu'avec le temps.
Généreuse, elle s'investit dans le sociale et se bat pour que les femmes et les jeunes suivent son exemple et prennent leur destin en main. Elle s'active aussi dans le renforcement des capacité de ses soeurs en termes de gestion de leur commerce ou petites entreprises.
Découvrez cette femme milliradaire au parcours atyptique.
« LE CNRA N'A PAS VOULU ACCOMPAGNER NOTRE ASPIRATION»
Sur les 5 candidats annoncés, seuls deux ont honoré le grand débat de leur présence. Il s’agit des candidats ousmane Sonko et Me Madické Niang. en marge de la rencontre, fadel Barro a tiré un bilan satisfaisant de la journée.
Le mouvement « Y EN A MARRE» s’estfélicité de la tenue de journée d’échange avec les candidats Ousmane Sonko et Me Madické Niang. « Nous avons beaucoup de satisfaction à l’issue de cette journée de marathon.
C’est une grande fierté d’être de cette jeunesse qui cherche à faire évoluer la démocratie. Nous regrettons le fait que le débat entre les candidats et Sunu Vote n’ait pas pu se faire. Le Cnra n’a pas voulu accompagner l’aspiration des activistes pour une démocratie calme, participative et apaisée. Néanmoins, tous les jeunes qui étaient sur les lieux depuis 09h sont restés toute la journée pour interagir avec les candidats » se réjouit, Fadel Barro, coordonnateur dudit mouvement.
Si le candidat Macky Sall avait décliné d’avance sa participation à cette journée, Idrissa Seck et Issa Sall ont brillés par leur absence. « Tous les candidats ne sont pas venus, mais c’est une satisfaction de démarrer avec deux candidats. Le président Issa Sall a eu l’honnêteté de dire au dernier moment qu’il ne pouvait pas venir. Il a néanmoins proposé de le faire en vidéo conférence, en envoyant une équipe technique.
Mais on a décliné, par soucis de mettre tous les candidats sur le même pied. Quant au Président Idrissa Seck, il avait confirmé, avant de changer d’avis au dernier moment.
Selon Fadel Barro, le but recherché a été atteint. « Ce débat a été une bonne expérience démocratique, une bonne expérience citoyenne. Grâce à ça, les citoyens ont compris que l’élection n’est pas seulement l’affaire des partis politiques. C’est aussi l’affaire des citoyens. C’est un signal fort pour la jeunesse africaine pour qu’elle comprenne qu’elle peut participer aux élections à sa manière », a ajouté le coordonateur du mouvement Y EN A MARRE.
« J'AI VOULU ARRETER LE FOOT ,JE N'AVAIS PLUS ENVIE»
A 28 ans, Salif Sané fait les beaux jours de Schalke 04 (d1 Allemagne).
Mais tout n’a pas été rose pour le défenseur international sénégalais. De nancy à Hanovre, en passant par Bordeaux, le frère de Lamine Sané (ancien joueur de Bordeaux qui évolue désormais aux uSA) a connu un parcours cabossé. dans unentretien accordé à So Foot, le joueur aux 27 sélections avec les «Lions» du Sénégal est revenu sur les moments pénibles de sa carrière.
il paraît que tu n'aimes pas les interviews?
Je ne suis pas trop un mec qui aime s’exprimer dans les médias. Je préfère parler sur le terrain. Depuis que j’ai commencé ma carrière, j’ai dû faire une ou deux interviews à peine.
Quand tu arrives à Bordeaux en 2009, tu croises emiliano Sala. Lui aussi venait d’arriver. tu t’en souviens ?
Franchement, c’était un super mec. Quand il est arrivé, il ne parlait pas très bien français, mais on voyait qu’il faisait déjà tous les efforts pour s’adapter. Le premier entraînement où je l’ai vu, sa combativité m’avait marqué, devant le but aussi. Et il était déjà là à aider tout le monde même s’il ne comprenait pas tout, c’était un chic type. J'ai aussi en mémoire un match de CFA contre je ne sais plus quelle équipe.Il avait marqué un but de la tête, c’était un boulet de canon ! Quand j’ai vu ce but, j’ai fait : « Ouaaaaaah, c’est qui ce mec ?»
Après Bordeaux, tu es allé à nancy. Quelle importance a eu Jean Fernandez dans ta carrière ?
Il a su me faire confiance à un moment où je n’avais pas tant d’opportunités que ça. J’avais signé un contrat pro, mais je n'avais fait que cinq matchs de Ligue 1. Donc miser sur moi comme ça, je pense que c’était vraiment quelque chose d’extraordinaire. Moi, ça m’a donné confiance en moi. Et par son savoir-faire et son expérience, il m’a beaucoup apporté.
C'est Fernandez qui t'a fait passer de milieu défensif à défenseur central ?
À la base, j’étais allé là-bas pour jouer arrière droit, mais au bout du deuxième ou troisième entraînement, le coach m'a dit que je n'avais rien à faire à ce poste-là : «Pour moi, tu es un milieu défensif, une sentinelle devant la défense. Arrière droit, oublie !». Et donc au premier match contre Montpellier, je joue six, à l’extérieur je me souviens. J’avais fait un bon match, même si on avait perdu. Et après ce match là, j’ai enchaîné.
C’est quoi la différence entre jouer au milieu et en défense pour toi ?
Je pense que quand tu sais jouer en sentinelle, ce n’est pas un problème de jouer en défense centrale. C’est à peu près le même poste, juste un cran plus haut, ce sont les mêmes caractéristiques.
Pourquoi être ensuite allé à Hanovre? tu n’avais pas d’autres offres ?
Hanovre, c’était le projet le plus concret. Le championnat allemand m’attirait, j’en avais parlé avec mon grand frère Lamine, j’en ai parlé avec ma famille, ils m’ont encouragé à tenter ce challenge.
Qu’est-ce qui t'a marqué quand tu es arrivé en Allemagne?
Les stades et les fans vivent vraiment le foot. Si tu compares à la France, ils sont dans le futur. Par exemple, les fans qui vont au stade, au minimum, ils connaissent la composition de toute l’équipe, ils savent qui joue où, et l’ambiance est extraordinaire. Cela fait six ans que je suis en Allemagne et je m’y plais beaucoup.
Lors de la saison 2014-2015, tu as eu un problème avec les dirigeants de Hanovre.
Non, je ne suis pas parti sans prévenir le club. En fin d’année, souvent, les clubs allemands organisent des matchs amicaux contre des équipes amateurs de leur région, et moi je les avais prévenus, c’était pour les qualifs de la Coupe du monde. A l’époque, je devais voyager avec l’équipe du Sénégal, et je ne pouvais pas jouer ces matchs. Ensuite, quand je reviens, ils me disent: «Non, tu devais rester, et du coup tu vas aller en équipe réserve». Je leur ai dit : «Ok, j’irai avec la deuxième équipe, il n’y a pas de soucis.» J’ai fait mes matchs avec l’équipe B, en essayant de rester le plus professionnel possible. Et ça a payé, je suis revenu dans le groupe après.
Ça ne t’a pas énervé ?
Au début, un petit peu. Les trois premiers jours, c’était dur quand même. Mais après, je me suis habitué. Je sais d’où je viens, donc ce genre de choses, ça ne peut pas m’abattre, et j’ai relevé la tête. En plus, j’avais ma famille derrière moi, ça m’a aidé à traverser ça.
Tu avais fait une belle saison avec Hanovre l’année dernière. Qu’est ce qui a été déterminant?
Je pense que je dois énormément au coach, André Breitenreiter. Dès qu’il est arrivé à Hanovre en 2017, il m’a dit de jouer au foot et de ne pas me prendre la tête, d’être moi-même quoi ! La manière dont il nous parlait faisait qu'on ne pouvait qu’être bon, on ne pouvait que progresser. Il nous motivait, il savait que s’il donnait un peu à l’équipe, l’équipe allaitlui rendre en retour. Il savait comment parler avec les uns et les autres et donner confiance, c’est ce qui m’a boosté.
Et comment on te motive ?
(Rires.) On me dit : «N’oublie jamais d’où tu viens», parce qu’il n’y a pas si longtemps, j’étais dans mon quartier à Lormont (à 10 kilomètres de Bordeaux, N.D.L.R.), et aujourd’hui je suis en Bundesliga, donc je profite tranquille.
À un moment, tu as même voulu arrêter le foot.Qu’est-cequi t’a fait changer d’avis ?
Quand j’étais à Lormont, j’allais jouer pour le plaisir, mais oui, à un moment, j’ai voulu arrêter, je n’avais plus envie, je n'allais plus aux entraînements. J’ai été à deux doigts d’arrêter, mais il y a un des coachs qui est venu me voir, il m’a dit qu’il fallait que je continue à bosser même si ce n'était pas facile. Il m’a relancé comme ça, et j’ai repris goût au foot. Mais ce n'est pas évident de percer si tard.
Tu as connu la coupe du monde avec le Sénégal. Comment as-tu vécu ce moment ?
Un mélange de fierté, de rêve de gosse qui se réalise, et après je suis fier que mes potes du quartier et ma famille aient pu rêver à travers moi. Quelqu’un du quartier qui participe à la Coupe du monde, ce n'est pas tous les jours que ça arrive. Et quand tu entres dans le stade pendant les matchs, c’est là que tu réalises vraiment, c’est impressionnant. Après, sur la compétition, il y a des regrets. Le match qui nous élimine, c’est le Japon. On mène deux fois au score, et finalement, on se fait éliminer à cause du fair-play. Ça a été une grande déception de ne pas passer le premier tour.
La première partie de saison à Schalke a été plutôt décevante non ?
Oui, je suis un peu déçu, avec le début de saison (5 défaites lors des 5 premiers matchs de Bun desliga, N.D.L.R.) qui a été très dur, c’était un truc de fou, on n’avait pas de chance, on se prenait des buts à la FIFA, des contres, et d’un coup,tu voyais le ballon au fond des filets, personne ne comprenait rien. Pendant un moment, je pensais même qu’on était maudits, mais depuis un certain temps, on fait de meilleurs résultats, j’espère que ça va continuer.
Qu’est-ce qui te marque le plus dans la méthode du coach domenico tedesco?
Il fait beaucoup d’analyses des adversaires. Par exemple, on ne jouera pas de la même manière contre Wolfsburg que contre le Bayern, on ne va pas jouer dans le même système. En fonction de ses analyses, il va nous dire sur quel côté on devra attaquer en priorité. Il analyse énormément l’équipe adverse, au niveau de ses forces et de ses faiblesses. C’est très très poussé.
À côté du foot, l'une de tes passions est le piano. Ça vient d'où ?
En fait, le piano, c’est un délire qui date, j’ai toujours kiffé. J’en ai acheté un et puis j’ai regardé sur YouTube comment les mecs faisaient. J'essaye de reproduire. J’ai commencé en 2012 lors de ma dernière année à Nancy.
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ATTAQUE ET VANDALISME CHEZ NOGAYE BABEL SOW
La jeune activiste panafricaniste Nogaye Babel Sow, engagée dans la lutte contre l'impérialisme occidental et franc CFA , militante pour la souveraineté de l'Afrique, a été victime d'une attaque à son domicile en s'abstenant juste pour 5 minutes
La jeune activiste panafricaniste Nogaye Babel Sow, engagée dans la lutte contre l'impérialisme occidental et franc CFA , militante pour la souveraineté de l'Afrique, a été victime d'une attaque à son domicile alors qu'elle ne s'était absentée de sa maison que juste 5 minutes.
Sortie déposer la poubelle, c'est à son retour qu'elle note que qu'un intrus a visité sa maison et a trouvé que des verres à boire ont été cassés chez elle et son teléphone de service emporté. Le malfaiateur n'avait pas vraissemblablement besoin d'objets de valeur en tant que tel. Ce n'était pas un voleur car la personne semblait plutôt beuacoup plus intétessé par les données contenues dans le téléphone de la jeune étudiante.
La police contactée ne semblait pas avoir du temps pour régler ce genre d'affaire. Ce qui choque Nogaye Babel Sow. Après cet acte de vandalisme et de vol, suivi de l'attitude de la police, elle a contacté l'équipe de SeneNews qui est allé constater la situation à son domicile et recueillir sa réaction. Regardez !