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13 février 2025
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CE QUE BASSIROU DIOMAYE A DIT À AMADOU SALL, FILS DE MACKY SALL
Après sa sortie de prison, le candidat de la coalition Diomaye Président a fait face à la presse pour aborder plusieurs questions dont les négociations entreprises entre son camp et le pouvoir.
Après sa sortie de prison, le candidat de la coalition Diomaye Président a fait face à la presse pour aborder plusieurs questions dont les négociations entreprises entre son camp et le pouvoir.
AMADOU BA, LE CANDIDAT DE LA CONTINUITÉ
Adoubé par le président sortant Macky Sall, l’ancien Premier ministre déclare être le candidat de la continuité. A juste titre. Un an après avoir pris les rênes du pays, il est nommé ministre de l’Économie et des Finances (2013 à 2019).
Dakar, 15 mars (APS) – L’ancien Premier ministre, Amadou Ba, candidat de l’Alliance pour la République (APR) et de la coalition Benno Bokk Yaakaar (mouvance présidentielle), se présente comme le continuateur de l’œuvre de Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans.
Adoubé par le président sortant Macky Sall, l’ancien Premier ministre Amadou Bâ déclare être le candidat de la continuité. A juste titre. Un an après avoir pris les rênes du pays, Macky Sall le nomme ministre de l’Économie et des Finances (2013 à 2019).
Il sera à la tête de la délégation sénégalaise qui sera chargée de vendre le Plan Sénégal émergent (PSE), le référentiel de la gouvernance de Macky Sall.
Amadou Bâ sera par la suite ministre des Affaires étrangères (2019 à 2020), avant d’être porté à la tête du gouvernement de septembre 2022 à mars 2024.
Ancien directeur des Impôts et des domaines, ce haut fonctionnaire de 62 ans bénéficie d’un pedigree enviable.
Après son bac, Amadou Bâ s’inscrit à l’université Cheikh-Anta-Diop (UCAD) de Dakar où il obtient une maîtrise en Sciences économiques, spécialisation Gestion des entreprises.
Amadou Bâ passe par la suite le concours d’entrée à l’École nationale d’administration et de magistrature (ENAM), section Impôts et domaines.
Sa formation terminée, il entame, en 1988, sa carrière professionnelle dans l’administration fiscale sénégalaise, à Diourbel (centre).
A la Direction générale des impôts et domaines (DGID), il gravit les échelons, devenant successivement commissaire contrôleur des assurances, puis inspecteur vérificateur à la direction des vérifications et enquêtes fiscales.
Sur le plan politique, Amadou Bâ, ancien membre du Parti socialiste, lorsque ce parti était aux affaires, a rejoint l’APR après l’élection de Macky Sall à la tête du pays, en 2012.
En acceptant d’être le porte-étendard de l’APR pour la présidentielle du 24 mars prochain, Amadou Bâ entend perpétuer le legs de Macky Sall, qui doit quitter le pouvoir le 2 avril prochain.
TAS PROMET DES HÔPITAUX MOBILES POUR LES ZONES DÉSENCLAVÉES DE MATAM
Le candidat de la République des Valeurs à la présidentielle a promis de mettre à la disposition des populations des zones enclavées des hôpitaux mobiles pour faciliter leur accès aux soins de santé.
Matam, 15 mars (APS) – Le candidat de la République des Valeurs à la présidentielle du 24 février, Thierno Alassane Sall, a promis de mettre à la disposition des populations des zones enclavées des hôpitaux mobiles pour faciliter leur accès aux soins de santé.
“Les populations qui vivent dans certaines zones de la région souffrent souvent de maladies héréditaires et ont du mal à se soigner, surtout celles qui se trouvent dans les zones enclavées. Nous avons la ferme résolution de mettre à la disposition de ces personnes des hôpitaux mobiles qui vont leur permettre d’avoir accès aux soins”, a-t-il dit.
Thierno Alassane Sall s’exprimait vendredi à l’occasion d’une caravane organisée à Matam et Ourossogui, dans le cadre de la campagne électorale pour le prochain scrutin présidentiel.
Dans le domaine de l’éducation, M. Sall se dit décidé à prendre à bras-le-corps la question du manque d’enseignants, notamment dans le département de Ranérou, où selon lui 110 écoles n’ont pas assez d’enseignants.
“Nous voulons faire en sorte que les enfants de l’une des régions les plus défavorisées du pays ne soient pas aussi défavorisés par l’enseignement public, parce que leurs écoles ne disposent pas les qualités et l’encadrement nécessaires”, a promis le député à l’Assemblée nationale.
L’ancien ministre de l’Energie a aussi évoqué la question de l’exploitation des phosphates dans le département de Kanel.
Sur ce sujet, il a soutenu que la zone d’exploitation est “totalement oubliée” en termes de transformation, “alors que les sociétés minières exploitant le phosphate chargent des camions remplis d’engrais destinés à l’exportation”.
Dans le domaine de l’agriculture, il a déploré “l’échec total” de politiques agricoles dans la région de Matam qui dispose pourtant de terres arables en quantité suffisante, selon lui.
Pour résoudre ce problème, il promet d’insister sur l’enseignement technique dans cette région, pour que l’agriculture et les métiers liés à la transformation agricole “soient au cœur” de la formation avec le programme “Ecole-champ”.
“Nous voulons que nos paysans soient les plus compétitifs au monde, et qu’ils aient des rendements très élevés”, a-t-il dit.
LA MISSION D'OBSERVATION DE L'UE RÉAGIT À LA LIBÉRATION DE DIOMAYE
"Nous rappelons l'importance d'assurer l'égalité des chances à tous les candidats dans le cadre de la campagne électorale. À cet égard, nous prenons note de la libération, le 14 mars, de l'un des candidats à l'élection présidentielle"
iGFM - (Dakar) La Mission d'observation électorale de l'Union européenne déployée au Sénégal pour la présidentielle, vient de réagir sur les derniers développements liés au processus électoral et au climat politique du pays. Elle s’est aussi exprimée sur la libération de Bassirou Diomaye Faye, candidat à la présidentielle.
«Nous rappelons l'importance d'assurer l'égalité des chances à tous les candidats dans le cadre de la campagne électorale. À cet égard, nous prenons note de la libération, le 14 mars, de l'un des candidats à l'élection présidentielle qui était maintenu en détention, et souhaitons qu'elle puisse contribuer au déroulement d'une compagne apaisée et sans violence", a déclaré Malin Björk, cheffe de la mission d'observation de l'Ue au sénégal.
Dans son communiqué de presse, la mission annonce qu’elle poursuit l'ensemble de ses activités en vue de l'élection présidentielle du 24 mars. Elle dit, cependant, prendre acte du nouveau calendrier électoral et observe le déroulement de la campagne électorale ainsi que les préparatifs du scrutin.
La mission appelle surtout, au plein respect des libertés d'expression, de presse, d'accès à l'information hors-ligne et en ligne, et de réunion durant cette campagne, tout en assurant l'égalité des chances à tous les candidats dans le cadre de la campagne électorale.
Quant à son dispositif de surveillance et d’observation, la Mission explique que les 10 experts électoraux présents à Dakar seront rejoints par 28 observateurs de longue durée qui seront déployés le 18 mars dans l'ensemble des 14 régions du pays. Un second groupe de 42 observateurs sera déployé le 22 mars. Dispositif qui sera renforcé le jour du scrutin par des diplomates de pays membres de l'UE en poste à Dakar, ainsi que par une délégation de députés du Parlement européen.
CONTRE L'AMNISTIE, MOUSTAPHA DIAKHATÉ LANCE "AAR DOOMI SENEGAAL"
L'ancien président du groupe parlementaire Bby a lancé ce mouvement politique pour dire non à "l'aministie-humiliation" de Sonko et Cie.
iGFM - (Dakar) L'ancien président du groupe parlementaire Bby, Moustapha Diakhaté, a lancé ce vendredi un mouvement politique dénommé "Aar Doomi Senegaal/ Mouvement pour la République et la Démocratie pour dire non à "l'aministie-humiliation" de Sonko et Cie.
L'ancien président du groupe parlementaire Bby, Moustapha Diakhaté, a lancé ce vendredi un mouvement politique dénommé "Aar Doomi Senegaal/ Mouvement pour la République et la Démocratie pour dire non à "l'aministie-humiliation" de Sonko et Cie.
Pour Moustapha Diakhaté, le Président Macky Sall a trahi le peuple sénégalais, ceux qui l'ont soutenu durant sa traversée du désert et porté au pouvoir pendant 12 ans.
« Le Président Macky Sall qui devait être le pompier du Sénégal est devenu son pyromane. Après l'adoption par le Gouvernement, le vote par le groupe parlementaire BBY et la promulgation de la funeste loi d'amnistie des crimes et délits commis par Ousmane Sonko et son opposition insurrectionnelle, en plus de sa libération ainsi que celle de dizaine de hordes de terroristes, je ne peux pas me résoudre à voir le plus beau pays d'Afrique et du monde être balafré sans rien faire. Au regard des événements de mars 2021 à juin, jusqu'au 3 Février 2024, date de la tentative de report de la présidentielle au mois de décembre 2024, il est indéniable que la Nation sénégalaise est à la croisée des périls », soutient Moustapha Diakhaté.
«Les soubresauts actuels, à la suite du report de l'élection initialement prévue le 25 février 2024, sont porteurs d'incertitudes, de confusions, de violences et même de graves dangers. La confusion qui règne sur la date du 2 avril 2024 vient accroître le risque d'une plongée vers l'inconnu», fait remarquer Diakhaté.
SUPPOSÉ DEAL AVEC MACKY SALL, SONKO DIT TOUT
Après sa sortie de prison, le maire de Ziguinchor a fait face à la presse pour aborder plusieurs questions dont les négociations entreprises entre son camp et le pouvoir.
Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, après leur sortie de prison, ont décidé de faire face à la presse pour aborder plusieurs questions dont les négociations entreprises entre leur camp et le pouvoir pour apaiser les tensions.
Le président de l'ex-parti, Pastef, Ousmane Sonko, dans sa prise de parole lors de cette conférence de presse conjointe, a dit avoir eu des discussions avec des émissaires du pouvoir en place. « Leurs émissaires se sont déplacés d’abord pour me parler du report de l’élection. Ce que j’ai catégoriquement rejeté. Ils m’ont expliqué qu’il faut que l’élection soit reportée sous prétexte qu’il ne peut pas y avoir d’élection sans moi et un autre candidat. Je leur ai répondu que cela ne peut pas justifier le report", a-t-il révélé. « Il ya effectivement des négociations. Et Sonko d'aller plus loin. "Aussi, l’amnistie qui a été rejetée par les députés de Yewwi à qui j’ai demandé d’inviter le ministre de la justice de nous donner clairement le champ d’exécution de ce projet de loi", a reconnu le leader des Patriotes.
SONKO EXPLIQUE LE CHOIX PORTÉ SUR DIOMAYE
"J’ai choisi Diomaye et je sais pourquoi je l’ai choisi. Le slogan Sonko Moy Diomaye est une réalité. On était ensemble lorsqu’on nous a informé de notre sorti de prison."
iGFM (Dakar) Ousmane Sonko a donné qui l'ont poussé à choisir Bassirou Diomaye Faye comme candidat à la présidentielle du 24 mars 2024.
"J’ai choisi Diomaye et je sais pourquoi je l’ai choisi. Le slogan Sonko Moy Diomaye est une réalité. On était ensemble lorsqu’on nous a informé de notre sorti de prison. C’est par la suite que je lui ai ordonné de ranger ses affaires et d’arranger sa barbe", a-t-il déclaré.
"Ma personne n'a plus d'importance. Je ne peux pas être candidat, mais Diomaye est passé, Habib Sy et Cheikh Tidiane Dièye aussi. Beaucoup de choses se sont passées, mais cette élection ne sera pas une guerre. Il n'y aura pas de vengeance, mais de la justice", a ajouté le leader de l'ex-parti Pastef sorti de prison 8 mois après sa condamnation.
A noter que Ousmane Sonko a annoncé une large victoire à la présidentielle sénégalaise pour son candidat Amadou Diomaye Faye. Il a également invité les jeunes à prendre au sérieux le vote et à aller récupérer leurs cartes électeur. "Il faut sortir massivement et sécuriser le vote. Rien n’est gagné d’avance. Mais si tout va bien nous pouvons pas avoir moins de 60%."
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DECLARATION DE PRESIDENT OUSMANE SONKO & BASSIROU DIOMAYE FAYE
Déclaration de président Ousmane Sonko & Bassirou Diomaye Faye
GUY MARIUS REND LA MONNAIE A KHALIFA SALL
Réaffirmant, hier, leur ferme volonté de se débarrasser du Cfa une fois au pouvoir, Guy Marius Sagna soupçonne, lui, le leader de Taxawu de rouler pour les intérêts de la France au détriment du Sénégal.
Après le regard critique lancé par Khalifa Sall sur le programme de Bassirou Diomaye Faye, notamment sur la question de la monnaie, la riposte ne s’est pas fait attendre du côté des proches de Sonko. Réaffirmant, hier, leur ferme volonté de se débarrasser du Cfa une fois au pouvoir, Guy Marius Sagna soupçonne, lui, le leader de Taxawu de rouler pour les intérêts de la France au détriment du Sénégal.
Khalifa Sall : «Je plaide pour une Uemoa dotée d’une monnaie commune»
Après les échauffourées, les deux camps sont passés à la guerre des programmes ! Et ce jeudi, c’est à travers des lignes chargées que Guy Marius Sagna a répliqué à l’assaut critique lancé par Khalifa Sall depuis Mbour. «Je plaide en faveur d’une Uemoa plus robuste, dotée d’une monnaie commune, soutenue par plusieurs États. Une monnaie commune constitue un atout majeur pour le développement de nos pays, dont l’économie repose largement sur l’agriculture, la pêche, l’élevage et le tourisme. Une devise stable renforce la confiance des touristes et encourage les investissements dans l’infrastructure touristique», avait proposé le leader de Taxawu face à l’offre politique de Diomaye qui prône, lui, une sortie du Franc Cfa.
Guy Marius : «Khalifa ne défend-il pas ainsi les intérêts de la France ?»
Guy Marius Sagna porte la réplique : «Il a parlé du lien par exemple entre monnaie et tourisme ici au Sénégal. La monnaie n’a pas besoin d’être ‘’adossée’’ à quelque chose, que cela soit le ‘’tourisme’’ ou autre chose. Le président Khalifa doit aussi se souvenir qu’il y a moins de 7 % de la population mondiale qui évolue dans une union monétaire (pays souverains qui partagent une monnaie unique émise par une banque centrale commune). Donc, être dans l’Uemoa ne veut rien dire dans l’absolu». Le responsable du Frapp, dans un texte publié sur sa page Facebook enchaine une rafale d’interrogations presque affirmatives : «Le candidat Khalifa ne défend-il pas le maintien de l’occupation monétaire de nos pays par la France ? Le candidat Khalifa ne défend-il pas ainsi les intérêts de la France et des entreprises du Cac 40 pour le maintien de l’Uemoa et de la colonisation monétaire de nos pays par la France contre le Sénégal et les Sénégalais ?» Déplorant une mainmise du Trésor français sur l’économie des 14 pays de la Zone franc, le député note que, par cette offre programmatique, la coalition «Diomaye Président» entend mettre en place une «monnaie qui ne facilite pas les importations et qui ne contribue donc pas ainsi à la forte mortalité de nos Pme qui est de 54% avec et à cause - en partie - du franc Cfa».
CISSE OUVRE LA TANIERE, MAIS S'AGRIPPE A SES CONVICTIONS
Après la débâcle des Lions en Côte d’Ivoire- le nom n’est pas de trop- la plupart des sportifs sénégalais s’attendaient à ce que Aliou Cissé soit débarqué de son poste de sélectionneur pour insuffisance de résultats.
L’équipe nationale du Sénégal joue deux matchs amicaux, le 22 et 24 mars prochain au stade de la Licorne à Amiens contre le Gabon et le Bénin. Les Lions, qui se préparent pour les éliminatoires du mondial, doivent intégrer du sang neuf dans la tanière. Cependant Aliou Cissé s’accroche à ses convictions.
Après la débâcle des Lions en Côte d’Ivoire- le nom n’est pas de trop- la plupart des sportifs sénégalais s’attendaient à ce que Aliou Cissé soit débarqué de son poste de sélectionneur pour insuffisance de résultats. Mais la FSF l’a conforté dans son poste en perspective des prochaines sorties des Lions. D’ailleurs, Aliou Cissé va publier une liste de joueurs qui doivent prendre part à deux matchs amicaux prévus durant ce mois de mars à Amiens.
Dans un premier temps, les poulains d’Aliou Cissé affronteront le Gabon puis le Bénin. Les Lions préparent les éliminatoires de la prochaine Coupe du Monde. Ils devraient rencontrer la Rd Congo en juin au stade Me Abdoulaye Wade. Pour le moment, les Lions occupent la première place du groupe B devant le Soudan du Sud, la RD Congo, le Togo et la Mauritanie. Au vu de la composition du groupe et des prestations de certaines équipes lors de la dernière coupe d’Afrique des nations qui s’est déroulée en Côte d’Ivoire, il y a de quoi s’inquiéter.
Conscient qu’il faut de nouveaux hommes pour améliorer la qualité de jeu des Lions, Aliou Cissé, qui va publier la liste des joueurs pour les deux matchs amicaux, est tenté d’ouvrir la tanière pour accueillir de nouvelles têtes. C’est ainsi que le coach national a soutenu par le biais de nos confrères de Sud Fm radio qu’il serait intéressant d’avoir un joueur comme le milieu de terrain Strasbourgeois Habib Diarra, né à Guediawaye. « (...) Il est important de donner plus de temps de jeu et de confiance aux jeunes qui arrivent. Ce match amical nous donne l’occasion de promouvoir ces jeunes talents.(...) Habib Diarra est un joueur bien connu et de qualité et j’ai tout fait pour le ramener en équipe nationale. Il est né à Guediawaye, sa place est dans l’équipe nationale du Sénégal» a-t-il révélé à nos confrères.
Aliou Cissé pour une fois est loin de fermer la tanière aux nouveaux talents sénégalais éparpillés un peu partout à travers le monde. Les férus du ballon rond l’ont toujours critiqué sur cette allergie de vouloir apporter du sang neuf à la tanière. Cet échec en terre ivoirienne semble lui avoir permis de recouvrer tous ses esprits.
Avec la publication de cette liste, ce ne serait pas une surprise de voir certains anciens qui ne pètent plus la forme écartés de l’effectif qui doit disputer les deux matchs amicaux. Il serait temps pour le sélectionneur national de donner la chance aux jeunes qui ont fait la coupe d’Afrique des nations et celle du monde U20, et U17. Dans le cas échéant, ces derniers seront obligés de pourrir dans les petits clubs en Europe. Où est la génération de Pape Matar Sarr qui avait disputé les phases finales de coupe du monde de leur catégorie ?