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23 avril 2025
Éducation
UCAD, LES ETUDIANTS EN MEDECINE, PHARMACIE ET ODONTOLOGIE DÉTERRENT LA HACHE DE GUERRE
L’Amicale des Étudiants de la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie (FMPO) de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar (UCAD), qui exige le respect des engagements pris par leur ministère de tutelle a décrété 24 heures de grève, ce jeudi 12
L’Amicale des Étudiants de la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie (FMPO) de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar (UCAD), qui exige le respect des engagements pris par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, a décrété 24 heures de grève, ce jeudi 12 mai.
Dans leur communiqué, les étudiants avertissent qu’ils n’hésiteront pas à passer à la vitesse, si leur revendication n’est pas prise en charge « dans un court délai ». Selon eux, le département piloté par le ministre Cheikh Oumar Anne s’était engagé à rendre « effective » la rémunération des douze mois de stage cliniques des étudiants en Doctorat 2, la « prise en charge » de la couverture vaccinale contre l’hépatite B des étudiants de la FMPO et « sa pérennisation », ainsi que « l’accompagnement » de la Faculté dans le projet de construction d’un nouvel amphithéâtre.
En revanche, pestent-ils, « depuis le début de l’année universitaire, dans notre politique anticipative, nous avons tenu à prendre les devants pour que ces engagements puissent être honorés. Cette démarche de notre part est restée vaine ».
VERS LA RÉOUVERTURE DU MASTER DE RÉALISATION DOCUMENTAIRE ET CRÉATION A L'UGB
Le directeur de la Cinématographie du Sénégal, Germain Coly, a annoncé, mardi, à Saint-Louis (nord) la réouverture prochaine de la section de formation en image de création de l’Université Gaston Berger (UGB).
Saint-Louis, 11 mai (APS) – Le directeur de la Cinématographie du Sénégal, Germain Coly, a annoncé, mardi, à Saint-Louis (nord) la réouverture prochaine de la section de formation en image de création de l’Université Gaston Berger (UGB).
‘’Nous allons poursuivre la collaboration avec l’Université Gaston Berger de Saint-Louis pour reprendre et continuer à développer le Master en réalisation de documentaire’’, a-t-il déclaré à l’ouverture du 13e Festival international du film documentaire de Saint-Louis.
S’exprimant lors d’une cérémonie organisée devant un parterre de cinéphiles à la place Baya Ndar (ex-Place Faidherbe) Coly a insisté sur le fait que le ministère de la Culture travaillait pour la reprise du Master suspendu depuis 2017 à l’UGB après retrait des partenaires.
‘’Nous allons rencontrer très prochainement les porteurs du projet pour voir comment remettre en place ce master 2 de l’université Gaston Berger de Saint-Louis et lever toutes les difficultés qui avaient sont arrêt. Nous allons intensifier les discussions pour que cela se règle bientôt ’’, a assuré le directeur de la Cinématographie du Sénégal.
Il a ainsi fait part de l’engagement des pouvoirs publics à accompagner la reprise de ce Master. Selon lui, le ministère de la Culture par le biais du Fonds de promotion cinématographique et audiovisuelle, accorde de l’importance à la formation en liaison avec des universités.
‘’La feuille de route c’est de travailler et d’insister sur les questions liées à la formation, voire comment insister sur ces sujets pour que les jeunes puissent être préparés à ces métiers très exigeants et qui demandent beaucoup de rigueur’’, a-t-il expliqué.
Il a de nouveau fait part de la disponibilité du ministère de la Culture à accompagner le Saint-Louis’Docs, ‘’un festival qui permet de réunir à Saint-Louis des jeunes et des cinéastes venant d’un peu partout avec des films d’Afrique et d’ailleurs, montrant une autre vision de notre continent’’, a-t-il souligné.
Le master 2 de l’UGB a joué un grand rôle dans le développement de ce festival, a-t-il en espérant sa réouverture l’année prochaine.
Le master de Réalisation documentaire de création (Master RDC) est le produit de la coopération entre l’Université Gaston Berger, l’Université Stendhal de Grenoble 3, la Région Rhône-Alpes et l’Association Ardèche Images/ Africadoc.
Cette association initiatrice de ce partenariat a développé depuis 2000 un programme de formation à l’écriture documentaire sur le continent, un maillon essentiel de la formation de la nouvelle génération de cinéastes du continent africain.
Le Master fut hébergé à l’Ufr des lettres et sciences humaines, à sa création, en octobre 2007, puis transféré à l’Ufr des civilisations, des religions, des arts et de la communication (Ufr CRAC) en décembre 2014.
En 10 ans, plus de 90 jeunes cinéastes documentalistes africains ont été formés grâce au Master 2 de Saint-Louis. Parmi eux figurent la réalisatrice nigérienne Aïcha Macky et son compatriote Sany Magori actuellement directeur de la Cinématographie du Niger.
DES COURS GRATUITS POUR L'ÉCRITURE ET LA LECTURE WOLOF
Ces cours organisés par le laboratoire de linguistique de l’IFAN en collaboration avec le groupe Fonk Sunuy làmmiñ, se dérouleront en ligne du 18 mai au 11 juin 2022 et sont ouverts à toute personne désireuse d’améliorer son niveau - COMMUNIQUÉ
SenePlus publie ci-dessous l'annonce de l'organisation par l'Ifan, des cours de lecture et d'écriture wolof gratuits du 18 mai au 11 juin prochain, à destination du public.
"Le Laboratoire de linguistique de l’IFAN Ch. A. Diop, en collaboration avec le groupe Fonk Sunuy làmmiñ, organise des cours pour l’écriture et la lecture du wolof.
Ces cours, gratuits, se dérouleront en ligne du 18 mai au 11 juin 2022 et sont ouverts à toute personne désireuse d’améliorer son niveau d’écriture et de lecture en wolof.
Deux possibilités sont offertes :
- les mercredis de 16h à 18h
- les samedis de 10h30 à 12h30
Les personnes intéressées peuvent contacter l’équipe enseignante aux numéros et e-mails ci-dessous et préciser le jour qui leur convient.
KIX AFRIQUE 21 AU DÉFI DE LA QUALITÉ DE L’ÉDUCATION POUR TOUS
Le Centre régional Kix Afrique 21 a clôturé l’atelier régional de partage de connaissances et d’innovations dans le domaine de l’éducation, réunissant 21 pays d’Afrique avant-hier, jeudi 25 avril 2022 à Dakar.
Le Centre régional Kix Afrique 21 a clôturé l’atelier régional de partage de connaissances et d’innovations dans le domaine de l’éducation, réunissant 21 pays d’Afrique avant-hier, jeudi 25 avril 2022 à Dakar.
Une initiative conjointe du Partenariat Mondial pour l’Education (PME) et du Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI), visant à contribuer à l’amélioration de la qualité des apprentissages grâce à des politiques d’éducation pertinentes et efficaces.
Selon Anaclet Niamayoua, point focal Kix de la République du Congo, les quatre journées de travail ont permis de faire des échanges entre pays. Parmi ces derniers, il y en a qui sont un peu plus avancé dans le programme Kix, certains se trouvant à mi-parcours et d’autres au point de démarrage. «Il était important de repréciser les objectifs assignés et les résultats attendus», a-t-il avancé.
Avant de poursuivre : «vu que c’était la première réunion en présentiel, toutes les initiatives pensées et réfléchies visent à amener tous les pays à faible revenus, afin de partager les expériences entre partenaires pour améliorer leur système éducatif». Pour ce qui est des recommandations, il a fait savoir à ce niveau qu’elles font partie des difficultés rencontrées par les pays.
Mieux il ajoutera que, dans la mesure où ils sont dans une évaluation à mi-parcours, les grandes recommandations seraient que toutes les structures, les 21 pays se mettent au même niveau des objectifs fixés, «par exemple, la mise en place des équipes nationales de coordination du Kix, tout le monde doit être à ce niveau-là, et préparer ensuite des projets qui pourront être soumis à l’éligibilité du Partenariat Mondial pour l’Education», a-t-il renseigné.
Poursuivant sa communication, Anaclet Niamayoua a tenu à faire remarquer que les difficultés sont de plusieurs ordres. Pour lui la première difficulté était d’abord la compréhension ; ce qui est dictée en premier lieu dans cette activité est la communication et la sensibilisation. «Etant donné que c’est un nouveau projet, il fallait communiquer et sensibiliser, cela a eu un retard dans les pays ; d’où des difficultés de démarrage.
Par contre, certains pays comme le Sénégal ont bénéficié des avantages d’avoir des informations au moment opportun, mais d’autres sont en retard», a-t-il informé. Il a par ailleurs noté les défis à relever, en précisant que parmi les 21 pays faisant partie de l’atelier, 8 sont déjà éligibles, et les 13 pays restants doivent l’être également. «Le défi à relever est l’éligibilité de tous les 21 pays retenus par le Kix. Et les défis à relever au niveau de l’éducation sont multiformes et ces derniers dépendent de chaque pays. Les défis sont l’éducation pour tous, tout élève aura la possibilité de faire la lecture, d’écrire, et que tout le monde, ainsi que les enseignants, soient aussi qualifiés», a-t-il conclu.
LES ÉCOLES DE SANTÉ SOUS SURVEILLANCE
Les écoles de santé seront désormais ‘’systématiquement évaluées’’, et ‘’des dispositions seront prises pour des curricula qui adressent directement le comportement’’, a annoncé, jeudi à Dakar, le ministre de tutelle, Abdoulaye Diouf Sarr
Les écoles de santé seront désormais ‘’systématiquement évaluées’’, et ‘’des dispositions seront prises pour des curricula qui adressent directement le comportement’’, a annoncé, jeudi à Dakar, le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr.
‘’Les écoles de formation en santé seront évaluées systématiquement et nous allons voir avec l’Autorité de contrôle de la qualité de l’Enseignement Supérieur pour voir les curricula’’, a-t-il indiqué lors d’une conférence de presse dans le cadre des rencontres dites ‘’Le gouvernement face à la presse’’.
Il répondait à une question relative à l’affaire Astou Sokhna, une jeune femme décédée en couches à la maternité de l’hôpital régional de Louga (nord), le 1er avril dernier.
Six sages-femmes de cette structure sanitaire sont poursuivies dans le cadre de cette affaire pour non-assistance à personne en danger.
Le tribunal de grande instance de Louga (Nord) a renvoyé leur procès au 5 mai prochain. Quatre des six sages-femmes placées sous mandat de dépôt depuis le 19 avril sont sous mandat de dépôt. Les deux autres avaient été inculpées et remises en liberté.
‘’Au-delà de la technique, il y a le comportement et même le développement personnel, et nous allons voir comment adresser directement le comportement dans la formation des personnels de santé’’, a déclaré ce jeudi le ministre de la Santé et de l’Action sociale.
Il a signalé qu’‘’entre 2020 et 2022, 1.500 agents de santé ont été recrutés sans compter 900 personnels de santé recrutés dans le cadre du projet +Investir dans la santé maternelle, néonatale et infantile+ (ISMEA)’’. ‘’Ce qui fait qu’en deux ans, de 2020 à 2022, 2.300 personnels ont été recrutés dans le système de santé’’, a-t-il précisé.
Concernant les urgences et l’accueil dans les structures de santé, il a indiqué qu‘’’il y a un travail à poursuivre, car toute urgence doit être prise en charge une fois arrivé dans une structure de santé’’.
LES FILLES TITILLENT LES GARÇONS EN MATHEMATIQUES
Rapport annuel sur l’égalité des genres de l’Unesco, Les filles obtiennent de meilleurs résultats que les garçons en lecture et en sciences et sont en train de rattraper leur retard en mathématiques
Les filles ont désormais des résultats équivalents à ceux des garçons en mathématiques. C’est ce que révèle le Rapport annuel sur l’égalité des genres de l’UNESCO qui s’est appuyé sur les données de 120 pays dans l’enseignement primaire et secondaire. Ce, à travers des études du Laboratoire latino-américain pour l’évaluation de la qualité de l’éducation (LLECE), du Programme d’analyse des systèmes éducatifs de la CONFEMEN, du PASEC et les enquêtes Southeast Asia Primary Learning Metrics (SEA-PLM) et Trends in International Mathematics and Science Study (TIMSS).
«Les résultats montrent qu’au cours des premières années, les garçons obtiennent de meilleurs résultats que les filles en mathématiques, mais que ces inégalités de genre disparaissent par la suite », apprend-t-on dans un communiqué de presse qui nous est parvenu hier, mardi 26 avril. Mieux, ajoute la même source : « Ces recherches confirment que les inégalités de genre en matière d’apprentissage se sont réduites, même dans les pays les plus pauvres. Et dans certains pays, l’écart s’est désormais inversé. Par exemple, en quatrième, l’écart en mathématiques est de 7 points de pourcentage en Malaisie, de 3 points au Cambodge, de 1,7 point au Congo et de 1,4 point aux Philippines en faveur des filles ».
Toutefois, des inégalités et des obstacles empêchent encore les filles de réaliser leur potentiel. Selon l’UNESCO, «les préjugés et les stéréotypes sont toujours susceptibles d’affecter les résultats d’apprentissage». «Dans les pays à revenu intermédiaire et élevé, dans le secondaire, les filles obtiennent des résultats nettement supérieurs en sciences. Malgré cet avantage, les filles restent moins nombreuses à opter pour des carrières scientifiques, ce qui indique que les préjugés sexistes pourraient encore constituer des obstacles à la poursuite d’études dans le domaine des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM)», rapporte le document. «Les filles obtiennent de meilleurs résultats que les garçons en lecture et en sciences et sont en train de rattraper leur retard en mathématiques.
En revanche, elles ont nettement moins de probabilité d’être parmi les plus performantes en mathématiques, en raison de préjugés et de stéréotypes persistants. Nous devons assurer l’égalité des genres dans l’apprentissage et veiller à ce que chaque apprenant réalise son potentiel», déclare Manos Antoninis, directeur du Rapport mondial de suivi sur l’éducation de l’UNESCO.
En effet, en ce qui concerne la lecture, les filles donc sont meilleures que les garçons. «Si les filles obtiennent de bons résultats en mathématiques et en sciences, elles obtiennent des résultats encore meilleurs en lecture. Les filles sont plus nombreuses que les garçons à atteindre le niveau d’aptitude minimal en lecture.
On constate l’écart le plus important dans l’enseignement primaire en Arabie Saoudite, où, en CM1, 77% des filles mais seulement 51% des garçons atteignent le niveau d’aptitude minimal en lecture», renseigne l’UNESCO. «Les filles démontrent à quel point elles peuvent réussir à l’école lorsqu’elles ont accès à l’éducation. Mais beaucoup, et notamment les plus défavorisées, n’ont pas la moindre possibilité de recevoir un enseignement. Nous ne devons pas craindre ce potentiel. Nous devons le soutenir et veiller à ce qu’il se développe. Par exemple, il est déchirant de constater que la plupart des filles en Afghanistan n’ont pas la possibilité de révéler leurs talents au monde entier», déclare Malala Yousafzai, co-fondatrice du Fonds Malala.
Cependant, il faut noter que la plupart de ces données ont été publiées au cours des 18 derniers mois mais se rapportent à la situation qui prévalait juste avant la pandémie. «On sait que les résultats d’apprentissage ont été gravement affectés dans les pays qui ont fermé les écoles pendant de longues périodes et qui n’ont pas été en mesure d’offrir des possibilités d’apprentissage à distance à la majorité des élèves. Les évaluations comparables de l’apprentissage reflétant la situation post-COVID ne commenceront à être publiées que dans un an et, même alors, principalement pour les pays relativement riches qui ont assuré la continuité de l’apprentissage. Il faudra un certain temps avant que l’on dispose d’un panorama complet à l’échelle mondiale de l’impact à long terme de la pandémie, et notamment de son impact sur les inégalités de genre», a précisé l’UNESCO.
INCENDIE A L'UNIVERSITE ASSANE SECK DEZIGUINCHOR, PLUS DE PEUR QUE DE MAL
Le « petit » incendie qui s’est déclaré dimanche dans la matinée, peu avant midi, dans un des chapiteaux installés au bloc « Elevage » de l’université Assane Seck de Ziguinchor, n’a pas causé beaucoup de dégâts matériels
ZIGUINCHOR- Le « petit » incendie qui s’est déclaré dimanche dans la matinée, peu avant midi, dans un des chapiteaux installés au bloc « Elevage » de l’université Assane Seck de Ziguinchor, n’a pas causé beaucoup de dégâts matériels à part la façade arrière du chapiteau consumée par les flammes, a indiqué à Lesoleil.sn, le directeur en charge de la gestion du patrimoine et de la maintenance, Cheikh Ahmadou Bamba Fall.
Joint au téléphone, M. Fall a ajouté que, c’est « juste un incendie mineur ». Pour le moment, a-t-il révélé, le chapiteau est isolé et les travaux devront reprendre à partir de la semaine prochaine.
Alertés, les éléments de la 41e compagnie d’incendie et de secours n’ont pas tardé à se rendre sur les lieux pour vite maitriser le feu.
ALY NGOUILLE NDIAYE INSTALLÉ DANS SES FONCTIONS DE PCA DE L’INSTITUT POLYTECHNIQUE DE L'UGB
L’ancien ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, a été installé samedi dans ses fonctions de président du Conseil d’administration de l’Institut polytechnique de Saint-Louis (IPSL)
Saint-Louis, 24 avr (APS) - L’ancien ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, a été installé samedi dans ses fonctions de président du Conseil d’administration de l’Institut polytechnique de Saint-Louis (IPSL) au cours d’une cérémonie présidée par le vice-recteur de l’Université Gaston Berger (UGB), Abdou Aziz Ndiaye.
Le nouveau PCA de l’IPSL a d’emblée lancé un appel aux élèves de l’établissement afin qu’ils fassent de la discipline un crédo.
‘’La discipline est indispensable pour tout étudiant. Elle l’est davantage pour un polytechnicien car vos erreurs seront catastrophiques’’, a-t-il déclaré en déplorant au passage la récurrence des grèves des étudiants de l’UGB.
‘’L’UGB est réputée pour la qualité de sa formation et son image ne doit pas être ternie par ces grèves cycliques’’, a dit le maire de Linguère (centre) en insistant sur le fait que les étudiants devaient se concentrer sur leurs études.
Le professeur Abdoul Aziz Ndiaye vice-recteur de l’UGB a affirmé que l’IPSL allait bénéficier de l’accompagnement du rectorat, un appui déjà matérialisé en 2020 par la mise à sa disposition d’une cagnotte de 18 millions Cfa.
‘’Depuis 2021, la subvention de l’Etat destinée à l’IPSL est passée de 15 à 30 millions Cfa. Cette décision a été consolidée dans le budget 2022 et un plan de développement chiffré a été soumis au ministère de l’Enseignement supérieur’’, a-t-il fait savoir.
De son côté, le directeur de l’IPSL Fadilou Coundoul a expliqué le choix porté sur Aly Ngouille Ndiaye à l’espoir placé en lui, ’’un ingénieur du génie civil dont le cursus répond aux critères défini dans le décret de création de l’institut.
L’IPSL forme des ingénieurs capables de relever les défis du développement durable en génie civil, mécanique, informatique et télécommunications, a rappelé son directeur.
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NOMMER LES CHOSES POUR LES FAIRE EXISTER ET POUR QU'ON S'EN OCCUPE MIEUX
En période de crise, les droits des plus vulnérables continuent d’être violés. Fidèle à sa mission, le Haut-commissariat de l’ONU s’est joint à Medicos del Mundo et à l’Instituto Cervantes pour célébrer la photographie humanitaire dans le monde.
La 25è édition de l’expo photo Prix Luis Valtueña de Medicos del Mundo est ouverte, cette année, à Dakar ce 21 avril 2022, à l’Instituto Cervantes. Mettre un nom sur des maux. C’est en cela que peut se résumer cette exposition photo à laquelle le Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCDH) a été associé.
A cette occasion AfricaGlobe Tv a interrogé Moetsi Duchatellier, la conseillère Genre du HCDH, sur cet évènement. Pour elle, cette expo est hautement importante en ce qu’elle est une sorte de piqure de rappel qui alerte l’opinion que la situation des droits de l’homme continue d’être malmené dans le monde et qu’il faut agir.
Même si des avancées sont notées, le combat dit continuer. Rien n’est gagné. Et cette exposition est une sorte de sensibilisation car si les chose ne sont pas matérialisés par des images fortes, on peut avoir tendance à penser qu’elles n’existent pas. Suivez l’entretien de Moetsi Duchatellier.
LA DATE DU BACCALAUREAT DEJA CONNUE
Suite au réaménagement effectué pour amoindrir les effets des perturbations ayant affecté l’année scolaire 2021-2022, le ministre de l’Education nationale a fixé de nouvelles dates pour le démarrage des épreuves des examens.
Suite au réaménagement effectué pour amoindrir les effets des perturbations ayant affecté l’année scolaire 2021-2022, le ministre de l’Education nationale a fixé de nouvelles dates pour le démarrage des épreuves des examens.
Pour le Certificat de fin d’études élémentaires (Cfee) et l’Entrée en 6e, Mamadou Tall a proposé la date du 22 et 23 juin 2022. Le Baccalauréat technique est prévu à partir du 27 juin 2022. Le ministre de l’Education nationale a fixé également une nouvelle date pour le baccalauréat général, qui sera tenu à partir du 14 juillet 2022. Le Brevet de fin d’études moyennes (Bfem) est concerné par le réaménagement, car il est fixé à partir du 21 juillet 2022.
“Dans le souci de mettre à disposition des acteurs tous les intrants nécessaires à la bonne organisation des épreuves, la direction des examens et concours et l’office du baccalauréat mettront en place lesdits intrants selon la procédure habituelle. Ces intrants doivent être stockés dans des endroits sécurisés et récupérés, le moment venu, par les autorités scolaires en charge de l’organisation des examens susmentionnés”, assure le ministre.