Dakar, 31 mai (APS) - Le Sénégal a perdu ‘’un grand historien, un combattant pour l'indépendance, un acteur politique chevronné qui a forcé le respect et la considération de ses contemporains’’, avec le décès de l'homme politique Abdoulaye Ly, a dit le président Macky Sall, indique un communiqué de son porte-parole, reçu à l’APS.
Abdoulaye Ly, secrétaire général du Parti du regroupement africain-Sénégal (PRA-Sénégal) est décédé vendredi, à Dakar, à l’âge de 94 ans. Historien et intellectuel engagé, Ly fut plusieurs fois ministre.
Directeur-adjoint de l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN), il est aussi l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages historiques et politiques sur des problématiques de la société sénégalaise et du panafricanisme.
Macky Sall ‘’salue la mémoire d’Abdoulaye Ly, affirmant que l’auguste disparu ‘’a tant œuvré’’ pour la nation, ajoute le communiqué.
Le Cardinal Sarr salue la ''cohabitation fraternelle'' entre croyants de différentes religions
Popenguine (Mbour), 20 mai (APS) – Le Cardinal Théodore Adrien Sarr a salué lundi à Popenguine la ''bonne cohabitation fraternelle" entre croyants de différentes religions, avec la forte présence de délégations de la communauté musulmane à la célébration du pèlerinage marial.
''En matière de cohabitation fraternelle de croyants de différentes religions, je suis toujours ému et très enthousiaste de saluer, en cette circonstance, les chefs et membres des délégations musulmanes qui, chaque année, nous font l’honneur de leur présence à ce pèlerinage de Popenguine’’, a déclaré Mgr Sarr lors de la cérémonie officielle de la 125e édition du pèlerinage axée sur le thème : ‘’Bienheureuse celle qui a cru’’.
‘’Chers frères, chers amis de la Communauté musulmane, soyez tous remerciés d’être présents à nos côtés, et de contribuer à faire de Popenguine ce lieu de rencontre, où la fraternité dépasse les différences et les sensibilités particulières’’, a dit le Cardinal Sarr. Avec cette communauté musulmane, a-t-il souligné, ‘’l’Eglise continuera toujours de préserver, dans ce Sénégal, ce que plusieurs peuples lui envient, et de travailler à ce que les valeurs fondamentales de nos religions, à savoir la foi en Dieu, l’obéissance à sa volonté, la justice, la paix et la solidarité, continuent de fleurir dans les cœurs de nos contemporains, et des générations futures’’.
''Puisse le Tout-Puissant, Maître de nos vies, faire de nous tous ses coopérateurs fidèles, pour que nos idéaux de paix aboutissent, au grand bonheur de nos populations !’’, a prié le chef de l’Eglise catholique sénégalaise. Il a salué l’apport des bonnes volontés, particuliers et responsables d’entreprises, dans l’organisation de l’évènement.
''La valeur morale de toute entreprise économique se vérifie dans l’écho qu’elle donne aux appels des populations à la solidarité. Continuez donc d’être les poumons de l’économie nationale, l’espoir des populations, et tout particulièrement de tant de jeunes qui veulent travailler’’, leur a-t-il dit.
'Je vous remercie pour votre présence, pour vos différentes actions en faveur de ce pèlerinage et de ce lieu saint de Poponguine. Que Dieu bénisse vos Sociétés et Entreprises, et leur assure stabilité et prospérité au milieu des populations’’, a dit Théodore Adrien Sarr qui a également salué la ''présence active'' des journalistes venus couvrir l'évènement.
''Au moment où je lis ce discours, mes paroles sont entendues au-delà même du cadre qui nous abrite, et cela ne fait qu’amplifier le message d’action de grâce à Dieu, et de paix entre les hommes, que je vous livre. C’est le rôle de la presse, toujours présente, toujours active, en de pareilles circonstances’’, a t-il dit.
''Chers journalistes, vous avez la noble mission de témoigner de ce que vit notre pays de bon, de beau, et parfois de douloureux ; cela vous honore. Veillez cependant à rester fidèle à votre mission, en respectant scrupuleusement les principes fondamentaux de votre profession et sa déontologie’’, a conseillé le Cardinal.
NECROLOGIE : La dernière animation d’Edouard Adama Ndiaye Ndiolkumba
Hier, les amis, collègues, parents et connaissances ont accompagné Edouard Adama Ndiaye dit Ndiolkumba à sa dernière demeure. Un moment empreint de tristesse et d’émotions. Dire qu’il a assuré hier une belle animation, ne serait pas trop dire. Seule sa belle voix manquait à la foule qui se souvenait comme si c’était hier, d’une dernière rencontre avec le défunt.
Tous étaient là, pour témoigner leur sympathie à la famille du défunt. Rappeurs, animateurs, politiciens, tous étaient présents hier aux cimetières de Yoff Mbélelane où, repose désormais Dj Edouard Ndiol koumba. Il était même difficile de se frayer un passage tellement la ruelle qui mène vers le cimetière était devenue étroite. En effet, le lieu était noir de monde.
Lunettes noires aux yeux, beaucoup de gens avaient du mal à retenir leurs larmes. Tous avaient entre les lèvres, la générosité de l’homme, sa gentillesse et son humilité. Édouard - de son vivant - a donné un coup de pouce à bon nombre d’artistes, et ces derniers lui ont bien rendu la monnaie. Ils étaient très nombreux au cimetière, et même à la maison funéraire où la famille a reçu les condoléances de la foule nombreuse.
Décédé dimanche à Paris où, il était hospitalisé pour des problèmes cardiaques, le corps est arrivé à Dakar jeudi soir à bord d’un vol d’Air France. Après son passage à Walf et à la Rdv, l’animateur a crée son label Ndiolkumba Production qui a pour vocation d’être un dénicheur de talents.
La nouvelle est tombée comme un couperet hier. Édouard Adama Ndiaye, plus connu sous le sobriquet d’Edouard Ndiol Coumba n’est plus. L’animateur, qui a fait les beaux jours de la radio Walf, s’est éteint hier dans l’après-midi en France des suites d’une longue maladie
Tout le monde ne naît pas avec une belle voix certes, mais celle d’Edouard Ndiol Coumba pouvait émouvoir. L’homme avait une voix en or, une voix grave et virile qui a charmé tous les auditeurs de Walf Fm. Il lui suffisait d’ouvrir la bouche pour que vous entendiez un jingle pub, une bande annonce, ou la voix d’un animateur radio américain !
C’est cette belle voix qui s’est éteinte à jamais. Eh oui, la grande faucheuse vient d’arracher cet homme naturel à l’affection de tous les Sénégalais. Dj Edouard est décédé hier, des suites d’une longue maladie en France où il était interné dans une structure hospitalière. À l’annonce de la mauvaise nouvelle hier, il était difficile de consoler ses confrères à Wal Fadjri.
C’est le cas de Mamadou Biteye, avec qui, il était très proche. «Il était un frère. C’est lui qui a été demandé la main de ma femme, et la conduite jusque dans sa chambre nuptiale», témoigne le journaliste. La voix tremblante, Bitèye soutient qu’ils se disaient tout. «Cela ne fait même pas 3 mois quand nous avons voyagé ensemble sur Tamba. Nous sommes d’abord passés à Ndoffane pour déposer mon papa, avant de continuer sur Tamba où nous sommes tombés en panne trois jours durant», poursuit-il.
Agé de 41 ans, Edouard selon les informations, souffrait d’un problème cardiaque. D’ailleurs, confirme Mamadou Bitèye : «C’est de la France qu’il m’a envoyé un sms pour me dire qu’il y a été évacué. Je lui ai promis que j’allais l’appeler chaque jour, mais je ne parvenais jamais à le joindre. Je ne retrouve plus le sms, mais il date de moins d’un mois», confie Mamadou Bitèye toujours sous le choc.
C’était un homme naturel qui ne gérait pas les détails, parvient à dire Pa Assane Seck. Joint au téléphone une première fois, Pa Assane avec qui Edouard avait des projets de télévision avait du mal à se retenir. «C’est compliqué, c’est compliqué…», murmurait-il avant de passer le téléphone à sa femme. Il a fallu attendre quelques minutes pour qu’il pusse répondre à nos questions. Tout comme Mamadou Bitèye, Pa Assane confirme l’avoir vu, il y a quelques mois, lors d’une réunion. «Il a été attaqué par des vomissements, ce jour-là et c’est par la suite qu’il a été évacué en France», explique Pa Assane Seck
Dans un témoignage diffusé à Walf Tv, Sidy Lamine Niasse, le président directeur général du groupe où, il a eu à servir avant de quitter pour gérer ses propres affaires, le qualifie d’homme généreux et talentueux qui faisait bien son travail. «Il travaillait avec amour. C’est une grande perte pour nous, mais nous acceptons la volonté divine», témoigne Sidy Lamine Niasse.
La dépouille mortelle est attendue à Dakar dans les prochains jours. À toute sa famille, ses confrères, Grand-Place présente ses sincères condoléances. Repose en paix Edou.
Après Massamba Diop Coki, décédé le 3 février dernier, la communauté léboue est encore frappée par le décès hier, de l’autre Grand Serigne de Dakar, Bassirou Diagne Marème Diop. Mort des suites d’une longue maladie, il sera inhumé ce matin au cimetière de Yoff, après la levée du corps prévue à l’hôpital Principal de Dakar.
Il y a 53 jours exactement que la communauté léboue pleurait la mort du Grand Serigne de Dakar, Massamba Diop Coki, décédé le 3 février dernier, à l’âge de 83 ans. Alors que les larmes ne se sont pas encore asséchées devant la perte d’un des plus grands dignitaires lébous du pays, voilà qu’un autre deuil vient frapper la communauté.
En effet, depuis hier, l’autre Grand Serigne de Dakar, El Hadji Bassirou Diagne n’est plus. Il est parti à l’âge de 84 ans, des suites d’une longue maladie qui l’a éloigné des siens ces derniers jours, à la faveur d’une hospitalisation dans une structure privée de santé de Dakar.
A l’annonce hier du décès un peu avant midi de El Hadji Bassirou Diagne, ce fut le branlebas chez les Lébous qui ont envahi la demeure familiale sise en ville. Selon des témoignages recueillis par téléphone, sa famille et ses proches sont inconsolables devant cette «grosse perte».
Reconnu Grand Serigne de Dakar par Abdou Diouf en 1985, après le décès de Momar Marème Diop, Bassirou Diagne Marème Diop, qui avait comme challenger El hadji Mame Youssou Diop, avait fini d’incarner le leadership lébou. Connu à travers son accoutrement qui ne laissait personne indifférent, tellement il était noyé dans l’élégance, l’octogénaire symbolisait également le culte du dialogue, notamment dans le champ politique. Aussi, a-t-il toujours pris son bâton de pèlerin pour rapprocher des parties en bisbilles, comme ce fut le cas entre l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade et l’église catholique sénégalaise.
Très moderne, malgré son habillement trempé dans la couture traditionnelle, Bassirou Diagne Marème Diop s’était même identifié dans sa page Facebook, comme le «chef supérieur de la collectivité léboue, médiateur social, ambassadeur de la paix (et) conseiller coutumier auprès du gouverneur». C’est ce matin que la levée du corps est prévue à l’hôpital Principal de Dakar avant qu’il ne soit mis sous terre un peu avant midi au cimetière de Yoff.
Un défenseur des valeurs traditionnelles tire sa révérence
La communauté Lébou de Dakar observe depuis hier, lundi 25 mars, le deuil avec le décès du Grand Serigne de Dakar, El Hadji Bassirou Diagne. Le notable dakarois s'est éteint à l'âge de 84 ans après avoir occupé pendant plus de 20 ans, les charges de «Serigne Ndakarou». Des charges dans lesquelles, il s'est illustré comme un médiateur à la fois social et politique.
Une page de l’histoire traditionnelle des Dakarois s’est fermée avec le rappel à Dieu de EL Hadji Bassirou Diagne. Le Grand Serigne de Dakar s’est éteint hier, lundi 25 mars, dans les premières heures de la matinée dans une clinique de Dakar, à l’âge de 84 ans. Charismatique et grand tribun, le défunt chef coutumier a vu le jour à Dakar en 1928. Ayant grandi au cœur du quartier du Plateau entre les Rue Felix Faure et Rue de Bayeux, il a ensuite passé la quasi intégralité de sa carrière dans la police avant de s’illustrer ensuite dans la promotion des combats de lutte en devenant le premier promoteur à dégager un cachet de 1 million de Francs Cfa dans l’arène au début des années 70.
Des années après son retrait de cette activité, le décès de Momar Maréme Diop « Grand Serigne de 1970 à 1985) le propulse au devant de la scène coutumière. Le 25 janvier 1986, il est investi au rang de «Serigne Ndakarou» en remportant le choix des 36 «Diambours » (que l’on peut assimiler à des députés représentants les douze Penc ou quartiers traditionnels de Dakar). Mais si son élection comme Serigne Ndakarou a été entériné par les cinq des sept dignitaires constituant la majorité du Conseil supérieur de la collectivité lébou, l’histoire a toutefois suscité de fortes oppositions d’une bonne frange de la collectivité au point de favoriser la naissance d’une tendance se proclamant «légitimiste».
Cette tendance va ouvrir une longue période d’antagonisme entre deux « Serigne Ndakarou», mais aussi de fortes divergences au sein de la communauté dakaroise. L’avènement de l’alternance contribue même à les exacerber avec la volonté de Président Abdoulaye Wade de vouloir «réparer une injustice » en se rangeant dans le camp des «légitimistes » et réhabilitant Ibrahima Diop Momar Maréme le reconnaissant Grand Serigne de Dakar.
El hadji Bassirou Diagne, que d’aucuns désignaient comme un fervent souteneur de Abdou Diouf et même «parrainé» par ce dernier, n’était pas toutefois en disgrâce encore moins mis à l’écart des sphères de l’Etat. Le président de la République d’alors n’hésitait pas à louer ses services en lui attribuant la charge d’ «Ambassadeur itinérant». Dans ces charges, le Grand Serigne n’avait pas manqué de faire prévaloir son rôle de médiateur politique mais aussi social durant les grandes consultations électorales au vu de ses appels.
Les journées de prières communément appelées « sarakhou Ndakarou », qui étaient organisées annuellement pour la paix et la concorde dans le pays, ont été pour le notable dakarois, une occasion de délivrer des messages en direction de ses concitoyens. Les « Gouvernements parallèles » ou légitimistes qui ont contesté sa légitimité et dirigés successivement par les défunts Grand Serigne Feu Mame Youssou Diop, El Hadji Libasse Diop, Ibrahima Diop et Massamba Koki Diop, décédé il y a quelques mois, n’ont jamais altéré sa volonté d’œuvrer pour la réconciliation définitive de la collectivité.
Il l’a réitéré lors du décès du Serigne Ndakarou Massamba Coky en invitant les membres de la « grande famille Léboue à se donner la main », et à continuer à œuvrer dans l’unité et la concorde pour le plus grand bien de notre pays. « Mon oncle Massamba Koki Diop, Grand Serigne de Dakar, et moi-même échangions régulièrement des cadeaux», confiait –il. Cette dynamique de réconciliation sonne en tout cas comme un pressant appel d’une communauté qui n’a jamais été aussi divisée que durant ses 28 années.
Après la diffusion de la nouvelle de la disparition du Grand Serigne El Hadji Bassirou Diagne, de nombreuses personnalités religieuses, coutumières et étatiques se sont rendues dans sa demeure de la zone B. La levée du corps prévue ce mardi 26 mars à 11h à l’hôpital Principal sera suivie de la prière mortuaire à la Zawia El Hadji Malick Sy de l’avenue du Président Lamine Guéye de Dakar et son inhumation au cimetière de Yoff.
Cover Drive are a band on a mission to bring the sunshine and sounds of their native Barbados to the world.
The young quartet has already ignited the UK charts twice. Debut single Lick Ya Down reached the Top 10 last year, while its fabulous follow-up Twilight shot straight to No.1 at the tail end of an otherwise dreary January. With their debut album, Bajan Style, due for release in April, Cover Drive's fresh, fun, sun-soaked sound is set to dominate the airwaves in 2012. Their YouTube views are at over eight million, their fans include the likes of Ed Sheeran, Emeli Sandé, Labrinth and Jessie J and both their fellow Barbadian Rihanna and UK chart-topper Dappy have allowed them share their stage as main support acts.
"We're amazed how quickly people have connected with our music," says Amanda, the band's sassy, 20 year old singer. "On the first two dates of our tour with Dappy, most of the audience only knew Lick Ya Down. By the third night, because fans had filmed our set and put it online, the crowds were singing along to every song. It was incredible. Then we released Twilight and although we knew people loved it, we were shocked when it went to No.1. Shocked and so happy!" Cover Drive comprise of the lead singer Amanda, 18 year old bassist Jamar, 22 year old guitarist Barry and drummer/singer T-Ray, 18, for whom Amada used to babysit.
Although they joined forces less than two years ago, the four were friends who had been making music individually since the start of their teens. "We had known each other for ages, but it never crossed our minds to start a band," says T-Ray. "As soon as we did, it seemed so obvious. We're the perfect fit. Amanda loves pop music, I like metal and hip hop, Barry likes punk rock and Jamar is into indie music, but our influences meet in pop and the Bajan music we grew up on. When we formed, we found our sound straight away." Cover Drive call that sound 'Carib-pop'. A bubbly blend of their Caribbean roots in reggae, dub and soca with happy, hook-laden pop, hear it and you won't stop smiling. Little wonder Twilight is still a radio staple.
Cover Drive's name came T-Ray's dad's love of cricket. Coincidentally, it was cover versions the band posted online that instantly attracted major label attention. Dubbed The Fedora Sessions (because they wore fedoras - hat obsessive T-Ray has a collection of 20) and filmed in their manager's basement, their funky, Carib-pop reworkings of Train's Hey Soul Sister, B.o.B.'s Airplanes and Ke$ha's Tik Tok saw them signed to Polydor within six months of forming.
Crucially, as they demonstrated at a showcase at their mentor Eddy Grant's house in Barbados, the quartet also write their own songs - Twilight was one of their first. Indeed, six months spent travelling back and forth from Barbados to London, L.A. and New York to record Bajan Style only strengthened Cover Drive's signature sound. Working with A-list producers including Steve Mac (JLS, The Saturdays, Kelly Clarkson), StarGate (Rihanna, Ne-Yo, Jennifer Lopez), Future Cut (Lily Allen, Nicole Scherzinger, Estelle) SuperDups (Bruno Mars,Estelle), Boi1da (Eminem,Drake) and J Remy (Jay Sean, Lil Wayne), Cover Drive created an album that couldn't have come from any other band. Bajan Style's title track is slinky pop-rap that suggests a dancehall Salt-N-Pepa. Headphones is an entire summer of fun squeezed in to four, frisky minutes.
That Girl begins with a nod to Rihanna's Rude Boy before bursting in to a glorious chorus that tips it's hat to the sounds of Shakira. Can't Live In A World is a beautiful ballad that shows off a more mature yet still feel good Cover Drive sound. Hot on the heels of the breezy, bass-driven Lick Ya Down and Twilight's Carib-Euro-pop, the album's third single will be Sparks, a gorgeous, mid-tempo, electro love song that sees Amanda duet with T-Ray. "Sparks is about the connection you feel with someone special, regardless of their age or race or background. It is a love song. It's about anyone who steps in to your life and changes it overnight. "Singing a love song with T-Ray isn't weird, although everyone expects me to say that it is. I've known him for ages and there's a lot of love between us.
When we sing it to each other, we can't stop smiling." Bajan Style will surely have the same effect on the fans who sent Twilight to No.1 and those who are about to discover the sunniest sound of 2012. "Our aim with the album was to have as much fun as we did in our basement doing covers," says Amanda. "We definitely did and you can hear it in every song on the album. They're all about being young and having fun. They're songs that bring that feeling of being on a beach in the blazing sun with your best friends to every day, whether it's sunny outside or not."