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27 novembre 2024
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ATELIER SUR LE DÉVELOPPEMENT DES MEILLEURES PRATIQUES D’INVESTIGATION ET DE POURSUITE DES CRIMES FINANCIERS, BLANCHIMENT D’ARGENT ET FINANCEMENT DU TERRORISME
Cérémonie d’ouverture le lundi 15 décembre 2014 à 09 heures
L'ambassade des États-Unis à Dakar et le gouvernement du Sénégal, en partenariat avec l'Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC), organise à l’Hotel Radisson Blu de Dakar, du 15 au 18 décembre 2014, un Atelier sur le développement des meilleures pratiques d’investigation et de poursuite des crimes financiers, du blanchiment d’argent et du financement du terrorisme, financé par le Bureau de Lutte contre le Terrorisme du département d’Etat américain.
La cérémonie d’ouverture aura lieu le lundi 15 décembre à 9 heures à l’hôtel Radisson Blu, et sera présidée par Monsieur Mike Lang, Conseiller Juridique du département de la Justice près l’Ambassade des Etats-Unis à Dakar, Monsieur Waly Ndour, Président de la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF) et Madame Nafy Ngom Keita, Présidente de l’Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC).
Cet atelier d’une semaine regroupera des participants de l’OFNAC, de la CENTIF, du Ministère de la Justice, du Ministère de l’Intérieur, du Ministère des Forces armées, et des Douanes. Il comprendra des exercices pratiques ciblant les sujets tels que le blanchiment d’argent international, la criminalité financière complexe, le financement du terrorisme et le recouvrement d’avoir.
Ce programme souligne l’importance accrue de la coopération internationale dans la lutte contre la corruption, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Ainsi, le Sénégal et les Etats-Unis renforcent encore une fois leur partenariat constant dans ce combat.
La presse nationale et internationale est invitée à couvrir cet événement.
Pour de plus amples informations, veuillez contacter Thierry Pina par téléphone au 77 333 37 13 ou par mail à usembassymedia@state.gov.
Guide religieux par ascendance, diplomate de métier et entrepreneur par passion. Serigne Aboul Abass Ahmad Tidiane Sall est de la race de ces missionnaires qui ont marqué d’une marque indélébile, leur passage sur Terre. Au-delà du religieux, il faut retenir l’image du bâtisseur infatigable de la majestueuse mosquée Abass Sall de Kawsara (près du SAMU municipal, en allant vers la Foire), promoteur immobilier, dans le BTP et aussi la prospection minière (West African Trading and Construction, WATIC). Il est également l’inspirateur du Centre Universitaire Islamique moderne (CUIM), du jardin d’enfants islamique annexe, aussi du controversé centre d’affaires Kawsara (ex- stade Assane Diouf), patron de presse atypique (la Vérité du jour)… Retour sur le parcours époustouflant d’un grand homme de son temps, un entrepreneur religieux et social unique en son genre.
IL EST PARTI, LE MISSIONNAIRE DE KAWSARA !
Le vendredi 28 novembre 2014 à 16 heures 46 minutes, Serigne Mouhamed Ahmad Tidiane Sall nous a quittés. Il livra ainsi sa dernière bataille contre sa maladie qu’il avait acceptée le plus dignement et stoïquement du monde en ce jour saint qu’il aimait plus que toute autre période de la semaine. Laissant veuve sa famille ainsi que toute une communauté de parents, d’amis, de talibés, de partenaires, d’employés, de sympathisants qui avaient encore besoin de sa présence.
Certes, la nouvelle est difficile à accepter ; la douleur lourde à porter ; le moment inattendu ; le vide immense. Mais seules la foi et la retenue, comme il nous y avait habitués lors de ses sermons et causeries, permettent de surmonter toute cette peine.
Car pleurer la disparition de Serigne Ahmed, c’est ignorer la vraie nature du disparu, sa foi et même son inébranlable croyance en son Seigneur ; pleurer cet éminent croyant, c’est ne pas lui rendre service au vu de l’acceptation du décret divin qu’il ne cessait de conseiller aux musulmans meurtris ; enfin, pleurer un croyant comme lui revient à fouler au pied son enseignement sur la primauté de l’ordonnance du Créateur sur les aspirations des créatures. Mieux vaut donc se conformer à la pédagogie du défunt et aux recommandations islamiques. En lieu et place à des larmes, rendons-lui un hommage mérité, pour que les générations actuelles et futures puissent s’inspirer de son vécu.
Musulman au sens plénier du mot, tidiane scrupuleusement pratiquant, père de famille modèle, chef religieux respecté, éducateur émérite, meneur d’hommes perspicace, entrepreneur averti, les qualificatifs ne manquent pas pour témoigner de la forte personnalité de ce digne fils du Sénégal.
Nous retiendrons de la mémoire de Serigne Mouhamed Ahmad, un homme qui aime Dieu, Son Prophète, le Pôle caché et qui porte un véritable souci de propager cet amour auprès des musulmans. Toute sa vie aura été un exercice de progression continue sur le chemin des vertus, de l’excellence, de l’éthique... Tout ceci fait qu’il a marqué de sa foi, de sa générosité, de sa tolérance, mais aussi de sa rigueur dans le travail, les musulmans, surtout les membres de sa famille dont l’assistance à leur endroit n’a jamais failli.
Notre souvenir pointe aussi sa noblesse de caractère qui ne manquait de séduire ceux qui le connaissaient. Affable et doux dans son regard, lumineux et radieux dans son sourire, vaillant et engagé dans sa démarche, sain et angélique dans son corps, sincère et clairvoyant dans ses propos, ferme et rigoureux dans ses convictions, digne et fier dans ses actions, sobre et élégant dans son habillant, bref, tout de Imam Mouhamed Ahmad dégageait de l’élégance.
Digne héritier de Serigne Abass Sall, double homonyme du Messager d’Allah (PSL) et du Pôle caché, Seydina Ahmad Tidiane Cherif (RTA), Serigne Mouhamed Ahmad Tidiane Sall fut un marabout distingué de notre temps. Dans un Sénégal où la mort a le pouvoir de transformer tout défunt en un saint, lui a réussi à séduire, de son vivant, ses contemporains par ses hautes qualités. C’est parce qu’il s’était démarqué par son humilité débordante, sa personnalité affirmée, calme et pondérée, son autorité naturelle et son rayonnement spirituel issu de son amour viscéral de Dieu, mais aussi de ses deux homonymes.
Sans aucun doute, le sage de Kawsara fait partie de ces élus musulmans dont Dieu parle en ces termes : "Il est parmi les croyants, des hommes qui ont tenu loyalement leur engagement vis-à-vis de Dieu. Certains d'entre eux ont déjà accompli leur destin, d'autres attendent leur tour. Mais ils n'ont jamais rien changé à leur comportement. (S33/V23)". À regarder les actions musulmanes de Serigne Ahmad de près, on en déduit que la promotion d’un islam orthodoxe avec la meilleure réputation possible était l’une de ses principales missions terrestres. Celle-ci, il la menait avec une conscience aiguë des vertus de l'effort et de l'éducation islamique.
Mais, on ne peut pas parler du défunt marabout sans faire allusion à son attachement à la voie Tidjanya. Cette confrérie, l’homme à l’éternel chapeau conique s’en identifiait avec fierté. Mieux, il la considérait comme étant la source de délivrance des mondanités, le secret de sa paix intérieure. À ce titre, tous ceux qui ont eu la chance de le fréquenter ont certainement entendu ces mots de lui : "Lorsque je suis en séance de wasifa, je me libère de tous soucis". Cette sensation indescriptible de bien-être que lui procuraient les litanies tidianes n’est que la résultante de sa foi inébranlable en Dieu. "Quand on croit en Dieu, on est en sécurité", disait-il à ce sujet.
Toutes ces caractéristiques de notre regretté Imam lui ont été inculquées, durant son enfance bien vécue auprès de dignes parents et éducateurs. D’où l’importance de revenir sur le parcours exemplaire de Serigne Mouhamed Ahmad, lequel parcours, nous ayant été relatés par le défunt lui-même, avait fait l’objet d’un précédent article qu’il avait fortement apprécié.
HUMANITÉS ET FORMATION
Natif de Saint-Louis où est originaire sa mère Sokhna Ramatoulaye Diagne dont on ne dira jamais assez tout le mérite, Serigne Ahmed débarque à Louga en 1960. Ce, pour y apprendre le Coran auquel il était déjà initié par un marabout nommé Serigne Modou Cissé. Sous les auspices d’un Maure dépêché de Mauritanie, il mémorise le Livre saint en un temps record. Une mémorisation tellement rapide que Serigne Abass prit-il le soin de la vérifier.
En se faisant accompagner durant ses déplacements, de son jeune fils, pour le tester sur sa supposée maitrise du Coran, à n’importe quel moment, sur n’importe quelle sourate, devant chaque verset. Le résultat de son test confirma la délibération du maître mauritanien. Qui connaît l’attachement viscéral de Serigne Abass aux "Paroles de Dieu" doit deviner qu’il ne pouvait ne pas réagir à cette joyeuse nouvelle.
À l’honneur du jeune Mouhamed Ahmed, il lui offrit une fête à laquelle étaient présents tous les élèves du Daara. Serigne Ahmed confirma lui-même que cette cérémonie, ajoutée à la confiance que lui avait accordée son maitre maure -qui lui confiait les élèves en cas d’empêchement-, font partie des éléments qui ont travaillé son courage, favorisé son sens de la responsabilité et façonné sa personnalité.
Une fois le Coran par cœur, il s’initia aux livres de jurisprudence islamique par le biais de plusieurs professeurs dont les plus illustres sont Serigne Assane Gaye de Louga, Serigne Yankhoba Fall de Saint-Louis et Serigne Abass lui-même qui, satisfait du niveau de son élève, décida de l’envoyer apprendre la langue arabe en Égypte. À peine âgé de 17 ans, voilà que les portes de l’étranger lui furent ainsi ouvertes. Une fois au pays des Pharaons, il n’a rien fait de moins que de s’inscrire à la prestigieuse université Al Azhar où se forment, comme depuis toujours, les héritiers de nos marabouts.
SERIGNE ABASS : SON PÈRE ET AMI
Dans les études comme dans les autres fonctions qu’il occupera plus tard, Serigne Ahmed fit preuve de volonté inouïe de réussir, de rigueur et d’abnégation sans limites. D’ailleurs, cette fougue explique le Hajj (grand pèlerinage à La Mecque) qu’il réussit à accomplir à seulement 24 ans. En effet, tout commença durant l’été 1974.
Alors qu’il honorait un emploi de vacances dans un restaurant de Frankfurt, en Allemagne, le futur imam de la zawiya Kawsara fut informé de la participation de son père au prochain pèlerinage. Voulant l’assister et faire du tarbiya (soumission parentale), l’étudiant se rendit aux Lieux saints de l’Islam. Il paya son billet à partir de la rémunération de son travail d’été dont les 2/3 étaient déjà envoyés à ses parents. Après avoir effectué ce cinquième pilier de l’Islam, le Cheikh au vitiligo mystique fit l’honneur d’accompagner son fils jusque dans sa chambre d’étudiant d’Égypte où il effectua la prière du crépuscule.
Revenant sur les études du jeune marabout, il faut rappeler qu’au bout de 10 ans, il fut nanti du Brevet secondaire, du Baccalauréat, de la Licence et la Maitrise en Droit islamique. Il va sans dire qu’à ce stade, le jeune étudiant pouvait prétendre à trouver un travail qui sied à sa formation.
LE MARABOUT DIPLOMATE
Ainsi en 1977, à l’issue d’un concours très sélectif auquel il postula, celui qui eut, très tôt, l’ingénieuse idée de se former dans la langue de Molière sera recruté au Ministère sénégalais des Affaires étrangères. Avec l’interprétariat comme première activité, il sera ensuite promu Conseiller culturel aux ambassades du Sénégal en Algérie et au Koweït.
Sa fonction diplomatique cessa en 1989, année à laquelle il démissionna de la fonction publique sénégalaise en tant que membre de la hiérarchie A, pour se consacrer à ses activités personnelles. S’il a agi de la sorte, c’est parce qu’il a saisi le sens des propos de son père à qui il demandait conseil à propos de sa carrière professionnelle :
"Le mieux pour toi serait que tu viennes au Sénégal t’occuper de tes affaires privées le matin, et de la mosquée le soir". Par conséquent, le marabout-diplomate entama une nouvelle vie. Laquelle vie sera désormais consubstantielle à la zawiya Kawsara qui surplombe la cité Sipres, précisément les deux voies de Liberté 6.
L’ENTREPRENEUR ÉCONOMIQUE ET RELIGIEUX
Après s’être retiré du Ministère des Affaires étrangères en 1989, Mouhamed Ahmed fonda, dans la même année, deux organisations qui, depuis leur création, font parler d’elles de plus en plus. Il s’agit de West African Trading Investment and Construction (WATIC) et du Rassemblement Islamique pour la Culture et la Paix (RICP).
Si la première organisation est une entreprise privée dont le déchiffrement du sigle anglais indique son domaine d’intervention, la seconde est une ONG d’obédience religieuse qui s’assigne comme objectif principal, la promotion de la religion musulmane et l’entente entre les peuples. D’ailleurs, le RICP servira de base à l’édification de la Zawiya Kawsara sur son site actuel qui dépasse l’hectare, obtenu auprès des autorités de l’époque.
Durant cette période, soit vingt-deux ans derrière nous, le quartier était vide, voire inhabité. La tâche d’y réaliser des projets n’était pas chose aisée, mais Serigne Ahmed Tidiane Sall n’était pas ce genre d’individu qui recule devant la difficulté. La détermination qu’on lui connait fit que le chantier de la mosquée fut entamé et vite achevé.
Aujourd’hui, elle attrait toute la population environnante souhaitant vivre convenablement sa foi musulmane. La minutie observée dans les prières est des plus appréciée. De même que les beaux airs du khadara et du wasifa sont en passe d’être le protecteur-secret de la zone. Notons aussi que le marabout y organise, en même temps que la zawiya-mère de Louga, le Maouloud et la Laylatoul khadr (nuit de la destinée).
En sa qualité d’homme ouvert et affranchi du conservatisme religieux, il avait préféré décentraliser ces deux grands événements islamiques afin de mieux étendre les tentacules de l’Islam et de la Tidjanya. Mais aussi de donner la possibilité à des milliers de musulmans de profiter du projet d’éducation islamique proposé par l’illustre Cheikh de Louga. Aussi, il avait initié depuis trois ans, la journée "Al Hamdoulillah" pour rendre grâce à Allah.
C'est ce fervent croyant, cet homme élégant et humaniste, ce missionnaire infatigable qui vient de nous quitter à l’âge de 65 ans. Soit 24 ans après son illustre père, comme pour faire allusion aux 24 grands-parents qui séparent le prophète Mouhammad (PSL) à Seydina Cheikh.
Paix à son âme. Puisse Dieu le compter parmi Ses proches et le récompenser pour ses longues années de labeur et de dévotion. Que la terre de Kawsara lui soit légère ! Qu’Allah supporte ses héritiers dans la perpétuation de son œuvre immense et déverse sur eux toutes les grâces divines de ce fameux poème de 1967 !
PRIÈRES D’UN PÈRE POUR UN FILS EXEMPLAIRE
Nous sommes en 1967, le vendredi 17 février précisément. Serigne Mouhamed Ahmad foule le sol égyptien, accueilli son grand frère, Mouhamadou Mansour Sall, actuel khalife de Serigne Abass. Au même moment, son père lui dédie un poème de 9 vers, composé en bakhr bassit (vers libres). Ce poème, aussi visionnaire qu’invocateur, rend compte de l’estime d’un père à l’endroit de son fils et ami. Savourons cette traduction en français du Pr Issa Idrissa Seck.
1- Ô! Mon Seigneur, je T’ai confié le tout-petit fils, Mouhammad Ahmad. Sois son Hôte Accueillant.
2- Son Protecteur, Son soutien et Son Recours Son Meilleur Compagnon, et Son Tuteur.
3- Envoies-lui des anges qui se succèdent, qui le protègent et le gardent de par les six directions.
4- De tout ce que Tu crées de malfaisance et de préjudice qui se produit au sein de l’Univers où qu’il soit.
5- Ô! Mon seigneur, aides-lui à atteindre la finalité recherchée. En termes de la religion, de la vie d’ici-bas et du Retour là-bas.
6- Inspires-lui la voie de Droiture et prends-lui la main. Guides-lui vers tout ce qui est satisfaisant auprès de Toi.
7- Que la primature toujours soit son compagnon et allié. En atteignant ses finalités dans tous les domaines.
8- Jusqu’à ce il revienne sain et sauf vers le bercail. Jusqu’à ce qu’il atteigne tout ce qu’il souhaitait.
9- Les confiances déposées auprès d’Allah ne seront jamais perdues. Impossible! Car, Il Est Le Préservateur inatteignable.
Qu’Allah, le Généreux et le dominant paie à notre place notre guide : Abass la meilleur récompense avec gratitude
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DÉCÈS DE DEMBA DIA
Il a succombé à Paris à une maladie qu'il était parti soigner
Dakar, 29 nov (APS) – Le chanteur Demba Dia alias "Rock mbalakh" du nom du célèbre tube qui l’a révélé au grand public dans les années 90, est décédé vendredi soir à Paris où il s’était rendu pour se soigner d’une maladie qui l’affectait ces derniers temps, a-t-on appris samedi auprès d’un de ses proches.
Figure marquante du show-biz sénégalais, Demba Dia avait, outre sa musique qui lui avait attiré beaucoup de fans, embrassé une carrière politique l’ayant conduit à poser, en 2009 et en 2014, sa candidature à la mairie des Parcelles assainies, un quartier de la périphérie du centre-ville où il avait élu domicile.
LA SORTIE OFFICIELLE DE L'APPLICATION MOBILE TALIBI POUR ANDROID
Talibi, est un outil de calcul d'itinéraire conçu et réalisé par des Sénégalais. En clair, vous devez sortir mais vous ne connaissez pas la route ou le chemin qui vous coûtera le moins cher ? Talibi vient à votre rescousse en vous indiquant, pas à pas, quels bus prendre, où descendre pour changer, la distance parcourue ainsi que le coût du trajet (le calcul de ce dernier étant à l'heure actuelle, approximatif).
Vous trouverez plus de détails sur Talibi dans ce document de présentation :
Après Aminata Touré, le No2 de Grand Format du Groupe SudCom accueille Me Sidiki Kaba, son remplaçant au Ministère de la Justice par ailleurs Président de l’Assemblée Générale de la CPI.
L’affaire Hissein Habré, la citation directe adressé à l’ancien 1er Ministre
La traque des biens supposés mal acquis et le procès Karim WADE
Le meurtre de l’étudiant Bassirou Faye entre autres dossiers en attente de jugements
Wade accuse, Sidiki kaba menace
Très en verve, le garde des sceaux n’écarte aucun dossiers dans sa plaidoirie qui prend des allures de réquisitoire.
La nouvelle carte judiciaire, les réformes de la CPI
Le garde des sceaux, Ministre de la Juste invité du grand format de sud com.
Interview à découvrir dans la parution de Sud Quotidien de ce 05 Novembre 2014.
Un Entretien que vous pourrez écouté à partir 14H sur la 98.5 et sur l’ensemble du réseau synchronisé de sen radio. Rediffusion le même jour à partir de 19H
Dans le cadre du XVe Sommet de la Francophonie à Dakar, le Secrétaire général et les membres du Conseil d’administration de la Fondation Gorée ont l’honneur et le plaisir de vous convier à cette présentation organisée pour la presse.
Programme de la conférence
Présentation de la Fondation Gorée, de ses missions, de son organisation et de sa stratégie de développement
Plan international de communication 2015 destiné à mobiliser l’opinion mondiale autour de l’île de Gorée, Patrimoine mondial de l’Humanité depuis 1978
Lancement de la maîtrise d’ouvrage du Mémorial de Gorée dont la conception, réactualisée, sera commentée directement par l’architecte lauréat, Ottavio Di Blasi
Lancement d’une souscription mondiale « Entrez-vous aussi dans l’Histoire ! » pour contribuer à l’édification du monument et du Centre International des Mémoires qu’il doit abriter.
Rencontres et interviews
Cette présentation d'une heure sera suivie d’une session de questions / réponses puis, sur rendez-vous uniquement, de plages d’interviews personnalisées avec le secrétaire général, Amadou Lamine Sall, l’architecte du mémorial, Ottavio Di Blasi et le responsable de la communication de la fondation.
« Lions de la Téranga : Vérités et contre-vérités sur les échecs répétés (2003-2013) », ce livre qui vient de paraître s’attaque férocement au football sénégalais touchant du doigt tous ses maux.
Son auteur, le journaliste sénégalais Cheikh Mbacké Sène, se livre à une analyse critique des faits majeurs et détails qui ont défini la gestion du football national au cours des dix dernières années. Il pose un regard rétrospectif et cru sur les moments forts qui ont rythmé le football sénégalais entre 2003 et 2013. Sur ce retour qu’il veut aussi introspectif que méditant, Cheikh Mbacké Sène n’épargne personne.
Les techniciens français Guy Stephan, Henryk Kasperczak, Pierre Lechantre ont été cités comme les plus « mauvais sélectionneurs » étrangers à la tête des Lions du Sénégal. Sène estime que le double Ballon d’Or El Hadji Diouf et l’ancien joueur et sélectionneur Amara Traoré ont eu de belles cartes en main et n’ont pas su en faire une bonne utilisation. Le livre raconte comment tous ces personnages là ont raté le coche au grand dam des supporter.
Dans le livre, l’auteur dénonce aussi les « guerres de positionnement » qui ont balayé ou entravé les ambitions et projets de certains hommes de conviction au profit de politiques. Des clivages tout azimut qui partent des milieux politico-administratifs pour arriver dans la « Tanière des Lions » et impliquant même parfois des journalistes, des supporters…
Ce livre, riche en faits avec une analyse intéressante des facteurs bloquants, éventre le football sénégalais comme jamais cela ne s’était fait auparavant. Pour la première fois, un ouvrage littéraire touche du doigt les vrais maux du football sénégalais.
Cheikh Mbacké Sène est un journaliste et écrivain-essayiste qui s’est beaucoup fait remarqué ces dernières années pour son engagement en faveur d’une bonne gestion du football national.
Le livre est actuellement disponible aux Editions du Net et bientôt chez FNAC, CHAPITRE, DILICOM, APPLE STORE et KINDLE.
Le Centre de Recherche Ouest Africain (WARC), en collaboration avec la maison d'édition L'Harmattan-Sénégal, vous convie à la cérémonie de présentation et de dédicace du livre :
"Les Sanguinaires" de Me Alassane CISSE Avocat à la cour
Vendredi 31 Octobre 2014 à 16h00 précises au WARC (Rue E x Léon G. Damas, Fann Résidence, Face Agence Autonome des Transports Routiers, DHL, CSE)
Le Public est cordialement invité!
RENCONTRE À BAMBEY AMPHITHÉÂTRE DE L’UNIVERSITÉ ALIOUNE DIOP
PROGRAMME MANDELA WASHINGTON FELLOWSHIP, YALI 2015
Une délégation de l’Ambassade des Etats-Unis au Sénégal et des participants au YALI 2014 organisent une rencontre d’échange à l’Amphithéâtre de l’Université Alioune DIOP de Bambey, le vendredi 31 octobre 2014, à partir de 09h30. Cette rencontre a pour but de donner des informations sur le programme et aider les candidats potentiels à préparer leurs candidatures pour le YALI 2015.
En effet en 2015, 500 jeunes leaders africains vont se rendre aux Etats-Unis pour un voyage de six semaines dans le cadre du programme Mandela Washington Fellowship. L’appel à candidatures est ouvert jusqu'au 5 novembre 2014.
Le programme Mandela Washington Fellowship est le programme phare de l’Initiative en faveur des jeunes leaders africains (Young African Leaders Initiative, YALI) et il incarne la volonté du président Obama d’investir dans l’avenir de l’Afrique. Cette initiative permet à des jeunes leaders africains d’acquérir les connaissances et les contacts dont ils ont besoin pour faire évoluer leur plan de carrière et participer de manière plus énergique à la consolidation des institutions démocratiques, au développement de la croissance économique et au renforcement de la paix et de la sécurité en Afrique.
La presse est invitée à couvrir cette rencontre.
Pour avoir plus d’informations vous pouvez contacter Thierry Pina par téléphone au 77 333 37 13 ou par mail à USEmbassyMedia@state.gov .
VIDEO
MULTIPLE PHOTOS
CASA DI MANSA
SORTIE DU FILM DOCUMENTAIRE À DAKAR CE 12 NOVEMBRE
Après New York, la sortie du documentaire CASA DI MANSA est prévue le 12 Novembre 2014 à 18h30 à Dakar au Théâtre National Daniel Sorano.
L'avant-première pour la presse est pour le 6 Novembre à 16h à l'école Sup'Imax, sis à la Biscuiterie De la Médina sur l'avenue Bourguiba (après le jet d'eau à côté de l'immeuble Impôts et Domaines).