Baadoolo - Cotise pas, njacc pas !
Pastef yeungueulna poches yi. Aytia, aytia… Hana Giga yii Pm dina si partager waa Bakel, Matam, Podor, Kédougou… Ils n’ont plus de connexion et sont coupés du monde. Téléthon sakh amna. Pour ceux qui ne voient le thon qu’à la télé. Même les derniers «riches» vont collecter de l’argent pour euxmêmes et les sinistrés. Hana Sonko qui attend des dizaines de millions au Dakar Arena dina si tiompal touti waa mbeund mi. Ça commence bien ! Campagne de fonds pour la campagne. Cotise pas, njacc pas ! Walla gagner pas !
Inondations au Nord et à l’Est Thierno Madani Tall prend la parole
Face aux dégâts humains et matériels causés par les inondations à Podor, Matam, Bakel et Tambacounda et Kédougou, le Khalife Thierno Madani Tall fera une déclaration ce samedi 19 avril 2024 à 15h00, a appris Bés bi. Le guide religieux s’inscrit ainsi dans la trajectoire de son père, Thierno Mountaga Tall, qui, il faut le rappeler, lors des graves inondations de 2005 avait fait une déclaration à la presse en appelant à des prières et à la solidarité. Une médiation sociale de la famille oumarienne qui s’est manifestée également récemment lorsque Thierno Madani s’est rendu à Médina Gounass après les affrontements entre deux communautés. Il y a quelques jours, il a fait le déplacement à Touba pour exprimer sa solidarité à Serigne Mountakha Mbacké suite aux inondations dans la ville sainte.
Nouvelle alerte de l’Omvs Vigilance toujours rouge dans les zones de Matam, Podor…
L’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (Omvs) reste vigilante. «Au niveau du haut bassin, avec la diminution des précipitations, la tendance à la baisse des écoulements des trois principaux affluents du fleuve Sénégal se maintiendra sur les prochains jours. Au niveau de la vallée et du delta, les niveaux resteront au-dessus des cotes d’alertes et les inondations qui ont déjà eu lieu se poursuivront dans les zones habituellement inondables», informe l’organisation dans son communiqué du 18 octobre. L’Omvs indique que, «conformément aux consignes de mise en œuvre du plan d’alerte du fleuve Sénégal, la vigilance orange reste activée sur la plupart des localités riveraines du fleuve Sénégal, avec la ville Kayes qui rentre dans la vigilance jaune, avec une tendance à vigilance rouge dans les zones de Matam, Lexeiba 2, Podor, Kaedi, Toufoundé».
Président par intérim de la coalition Dionne 2024 - Cheikh Diop Dionne choisit Pastef
L’ancien député de Benno bokk yaakaar, Cheikh Diop Dionne a choisi la liste Pastef pour ces élections législatives. Président par intérim de la coalition Dionne 2024, de son défunt frère, Boun Abdallah Dionne, il écrit : «Je déclare publiquement mon soutien sans condition à la liste présentée par le parti Pastef et exprime aux nouvelles Autorités mon ardent souhait de réussite dans la gestion de notre État.» Dans une déclaration parvenue à Bés bi, il ajoute : «Que ceux qui s’opposent le fassent avec élégance. Que ceux qui gouvernent comprennent que tout pouvoir a une fin et n’aient en ligne de mire que l’intérêt général du peuple sénégalais. Telle est ma prière et ma boussole car notre peuple souffre de divers manquements accumulés depuis très longtemps et reste stoïque.»
Ancien maire de Kolda - Bibi Baldé lâche Macky et l’Apr
Son silence était pesant. Abdoulaye Bibi Baldé a choisi de quitter l’Apr. «Je m’adresse à vous aujourd’hui avec un sentiment mêlé de gravité et de soulagement, pour vous annoncer ma décision de recouvrer et de reprendre ma liberté en suspendant toutes mes activités et en démissionnant de toutes mes fonctions au sein de l’Alliance Pour la République (Apr)», a-t-il écrit. Le prédécesseur de Mame Boye Diao à la mairie de Kolda dit croire «fermement que la politique est avant tout un engagement moral, une voie qui exige transparence, loyauté et respect mutuel». Il faut rappeler que la coalition Takku Wallu Sénégal qui regroupe l’Apr, le Pds et autres a investi Moussa Baldé tête de liste départementale de Kolda.
IJGlobal Esg Awards 2024 Le Brt recoit deux nouvelles distinctions internationales
C’est un nouveau virage pour le Bus rapid transit (Brt) de Dakar. le projet, piloté par le Conseil exécutif des transports urbains durables (Cetud), a reçu deux nouvelles distinctions prestigieuses lors de la 3- ème édition des IJGlobal ESG Awards 2024 qui s’est tenue à Londres ce 17 octobre 2024, indique un communiqué du Cetud. «Il s’agit du Prix Transition énergétique - Infrastructures pour l’audace de la première ligne de Brt au monde avec une flotte 100% électrique et du Prix Partenariat Public-Privé (Ppp) pour les innovations importantes dans la structuration du schéma institutionnel et de financement, avec une contribution du secteur privé dans l’investissement à hauteur de 31%», lit-on. Ces distinctions, selon le communiqué, honorent également les «contributions déterminantes» de Ifc, Conseiller du Cetud dans le développement de l’investissement et la transaction, avec toutes les équipes de la Banque mondiale qui ont accompagné le projet, celles de l’opérateur Dakar Mobilité, détenu par la société d’investissement Meridiam (70 %) et le Fonsis (30 %), dont les représentants étaient présents à la cérémonie.
COUVERTURE PRÉCAMPAGNE, TOUS DES HORS-LA-LOI !
Politiciens, journalistes et autorités administratives, tous violent ou se rendent complices de violations tous azimuts de la loi électorale, sous le regard passif du Conseil national de régulation de l’audiovisuel.
Politiciens, journalistes et autorités administratives, tous violent ou se rendent complices de violations tous azimuts de la loi électorale, sous le regard passif du Conseil national de régulation de l’audiovisuel.
Comme s’ils se sont passé le mot, cette fois, aucune partie prenante ne fait – ne serait-ce qu’un effort - pour respecter la réglementation sur la couverture médiatique de la période de précampagne en direction des élections législatives du 17 novembre 2024. Pourtant, la loi électorale est très claire. ‘’Durant les trente jours précédant l’ouverture officielle de la campagne électorale, est interdite toute propagande déguisée ayant pour support les médias nationaux publics et privés’’, dispose la loi électorale.
Il ressort dudit texte que, par acte de propagande déguisée, il faut entendre ‘’toute manifestation ou déclaration publique de soutien à un candidat ou à un parti politique ou coalition de partis politiques faite directement ou indirectement par toute personne ou association ou groupement de personnes quelle qu’en soit la qualité, nature ou caractère’’. La loi ne s’en limite pas. Elle assimile ‘’à des propagandes ou campagnes déguisées, les visites et tournées à caractère économique, social ou autrement qualifiées, effectuées par toutes autorités de l’État sur le territoire national et qui donnent lieu à de telles manifestations ou déclarations’’.
Chargé de veiller au respect strict de cette réglementation, le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) n’a eu de cesse d’alerter, à chaque veille d’élections. Bon an, mal an, certains professionnels essayaient de s’y conformer, même si la pertinence de la disposition a toujours été fortement remise en cause. Dans un communiqué en date du 19 septembre, l’organe de régulation, sous la présidence de Babacar Diagne, avait sacrifié à cette tradition, en rappelant les prescriptions législatives. À travers ce communiqué, le gendarme des médias précisait que la précampagne pour les Législatives du 17 novembre s’étend du vendredi 27 septembre à 00 h au samedi 26 octobre à minuit. S’ouvrira alors la campagne pendant laquelle les candidats pourront dérouler leurs activités librement, couvertes par les médias dans le respect des principes d’équité et d’équilibre.
Mais qu’advient-il en cas de violation de cette règle ? Le Code électoral prévoit qu’’’en cas de contravention à cette interdiction, l’organe chargé de la régulation des médias doit proposer des formes appropriées de réparation au bénéfice de tout candidat, de tout parti politique ou coalition de partis politiques lésés. Ces derniers peuvent saisir directement l’organe de régulation des médias d’une plainte, en cas de contravention à cette interdiction’’. En d’autres termes, les candidats qui le souhaitent peuvent, en principe, réclamer, auprès de tout média qui outrepasse cette réglementation, une réparation de ce déséquilibre dans le traitement des différents protagonistes.
Par le passé, le CNRA n’hésitait pas à faire des communiqués pour rappeler aux uns et aux autres la nécessité de se conformer audit code. ‘’De tels agissements, qui exposent les médias concernés aux sanctions prévues par la réglementation, ne sauraient être tolérés’’, lançait-il à l’endroit des médias récalcitrants lors de la dernière Présidentielle. Pour les présentes élections, c’est plutôt un laisser-aller total. Chaque média fait ce qu’il veut, sans se soucier de cette interdiction qui, autrefois, pesait comme une épée de Damoclès sur la tête des puristes. Même si, il faut le préciser, certains anticonformistes se sont toujours interrogés sur la pertinence d’une telle disposition.
Mais que dire des partis politiques qui généralement élaborent les textes qu’ils sont sûrs de ne pouvoir respecter ?
En fait, selon de nombreux experts, durant cette période de précampagne, ce qui est interdit ce n’est pas le fait d’organiser des activités politiques, mais plutôt l’usage des médias pour en assurer la propagande. Sauf que tous les acteurs politiques font appel aux médias et se rendent ainsi complices de telles violations. Pourtant, ces textes sont souvent le fruit de larges consensus entre les acteurs.
Lors des précédentes élections, certaines autorités administratives, sur la base d’une interprétation extensive de la loi, n’hésitaient pas à interdire certaines activités de propagande. Seulement, ils semblaient stigmatiser les partis de l’opposition qui ne pouvaient mener leurs activités sur le territoire, au moment où l’ancien parti au pouvoir pouvait dérouler sans être inquiété. Les mêmes autorités restent aujourd’hui aphones sur les violations tous azimuts de la loi électorale en ses articles L61 et suivants.
Dans une déclaration faite le mercredi 16 octobre, largement relayée par les médias, la tête de liste de Pastef/Les patriotes donne rendez-vous à ses militants à un ‘’giga-meeting’’ prévu le samedi 19 au Dakar Arena de Diamniadio. Pendant ce temps, Bougane Guèye Dany de la liste Samm sa Kaddu est presque tout le temps à la une de certains médias et va, avec sa coalition, animer aujourd’hui une conférence de presse. Il en est de même de l’Alliance pour la République, membre de la coalition Takku Wallu Sénégal, qui donne rendez-vous aux médias cet après-midi.
Il faut rappeler qu’avec les changements intervenus à la tête du Conseil national de régulation de l’audiovisuel, on assiste à une sorte de flottement qui semble assez propice au règne de ce désordre. Cela dit, lors de son installation en début de semaine, le nouveau président du CNRA, connu pour être un journaliste irrévérencieux et très libre, a insisté sur le dialogue et la compréhension mutuelle, en lieu et place de la sanction.
‘’Je ne veux pas être un gendarme de l’audiovisuel. Mon rôle sera d’encourager le dialogue et la compréhension avant toute intervention coercitive’’, avait déclaré Mamadou Oumar Ndiaye. Selon lui, la sanction ne devrait être appliquée qu’en dernier ressort, après l’épuisement de toutes les autres voies de règlement des contentieux.
Mort d’un jeune dans un accident de la circulation
Un violent accident est survenu, hier, à hauteur du village de Keur Ngary, localité située dans la commune de Keur Socé (département de Kaolack, Ndlr). Il s’agit d’un véhicule de type 7 places qui a mortellement heurté un jeune homme. La victime qui a perdu la vie sur le coup, est âgée de 24 ans, selon le maire de cette commune, El Hadji Malick Ndiagane qui était sur les lieux du drame. Il faut noter que cette zone est accidentogène, raison pour laquelle les habitants réclament des ralentisseurs.
Le Doué déborde et menace des maisons à Ndioum
La montée des eaux du fleuve Sénégal commence à faire des dégâts dans le nord du Sénégal. À Ndioum, où la cote d'alerte est dépassée depuis début octobre, les conséquences commencent à se faire sentir. Quelques maisons du quartier Darou Salam sont occupées par les eaux, d’après Le Soleil Digital. Face à un Doué de plus en plus menaçant, l'inquiétude ne cesse de grandir. Dans l'attente d'une assistance qui tarde encore, les riverains tentent d'arrêter l'avancée des eaux avec des moyens dérisoires.
L’armée évacue les villages de Gourel Samba Ndama et Mboyo
L’armée porte secours aux populations dontles maisons sont envahies par les eaux du fleuve. D’après la Dirpa, les militaires de la station navale de Podor, en compagnie des éléments de la brigade des sapeurs-pompiers, ont procédé à l’évacuation de populations dans les villages de Gourel Samba Ndama et Mboyo à une vingtaine de km de Podor, suite au débordement des eaux du fleuve Sénégal. Les sinistrés ont été relogés au siège de la Plateforme des femmes de Mboyo, près du lycée du village.
Les sinistrés de Bélli Diallo en quête de refuges
Les habitants du village de Bélli Diallo, dans la commune de Ogo (Matam), sont obligés de se réfugier sous des arbres, en attendant l’installation de tentes de fortune, après que les eaux du fleuve Sénégal les ont chassés de leurs habitations. Le village de Bélli Diallo est situé à trois kilomètres de la commune de Matam, sur la piste menant vers le Dandé Mayo. Depuis quelques jours, les maisons, littéralement envahies par les eaux de crues se sont totalement vidées de leurs occupants. Devenus des sans abris en l’espace de quelques heures, les habitants n’ont eu d’autre choix que de se réfugier sous des arbres, à la merci de la pluie et du vent. En cette fin d’après-midi(hier), presque tout ce que le village compte d’habitants se trouve dehors. Des deux côtés de la piste, chaque famille s’attelle à installer une tente de fortune pour s’y abriter. Partout des valises, matelas, ustensiles de cuisine et autres bagages sont posés à même le sol, rapporte l’Aps. De loin, on aperçoit des familles portant des bagages sur la tête, marcher les unes après les autres. Ils cherchent à trouver refuge sur un espace situé à plusieurs mètres du point de ralliement de la majeure partie des habitants de Bélli Diallo. Au total, près d’une vingtaine de familles vivent dans ce village, explique Ismaïla Sy, un habitant Bélli Diallo. Comme beaucoup d’autres familles, Ismaïla et les siens ont passé la nuit à la belle étoile. Assis sous un arbre, à côté de leurs affaires, ils s’apprêtent à prendre le petit-déjeuner en plein air.
Les enregistrements débutent le 24 octobre à la Rts
L’ordre de passage des listes de candidats qui auront l'opportunité de s'exprimer à la RTS a été déterminé. Ainsi, la Coalition Farlu sera la première à enregistrer suivie de la Coalition Defar Sa Gokh. La Coalition Diam Ak Njariñ dirigée par l’ancien Premier ministre se situe à la 17e position. La liste du parti au parti Pastef se trouve à la 20e place. La coalition Samm Sa Kaddu amené par Barthélémy Dias va passer à la 25e position. A la 30e position se trouve la coalition Sénégal Kese de Thierno Alassane Sall. Alsar de l’homme d'affaires Mamadou Racine Sy passe à la 36e position devant la coalition Takku Wallu Sénégal avec Macky Sall comme tête de liste qui est à la 37e position. Elle est suivie par la coalition Nafoore avec le maire de Missirah, Amadou Ba, comme tête de liste. C’est la coalition Sopi Sénégal qui ferme la manche. Au total, ce sont 41 listes qui vont se succéder au studio de la Rts où les enregistrements des déclarations des candidats vont débuter le jeudi 24 octobre prochain. Chaque liste bénéficiera d'un temps d'antenne quotidien de 3 minutes pour présenter ses idées et programmes, dans le cadre d'un processus visant à garantir une information équitable et diversifiée aux électeurs.
Princesse Jessica chavire au Port de Dakar
Dans la nuit du 15 au 16 octobre 2024, un incident a eu lieu au Port autonome de Dakar plus particulièrement au Môle 2. En effet, le navire « Princesse Jessica » a été touché à quai par le MV Zografia. Ce qui a entraîné le chavirement du navire « Princesse Jessica » à quai. Le « Princesse Jessica » est un cargo battant pavillon togolais, âgé de 34 ans construit en 1990 doté d’une capacité de tonnage de 1652 tonnes, a indiqué la cellule communication stratégique du port. Long de 77 mètres, le navire mouille au Môle 2 depuis près de deux ans. Selon la cellule communication stratégique du PAD, la zone de l’incident a été circonscrite, le balisage effectué et les procédures administratives entamées. L’accident n’a eu aucun impact sur les activités portuaires, ajoute-t-on. Les dispositions seront rapidement prises pour un renflouement du navire.
La Sodav «rémunère» Diomaye
du projet de décret portant collecte de la Rémunération pour copie privée, hier, en Conseil des ministres a provoqué une explosion de joie dans le monde de la Culture. Dans un communiqué, la Société sénégalaise du droit d'auteur et des droits voisins (SODAV) se dit satisfaite de l’adoption de ce décret. Selon elle, un nouveau pas a été franchi dans l'histoire du droit d'auteur et des droits voisins au Sénégal, annonçant à la fois la concrétisation d'une prérogative reconnue aux titulaires de droits, mais aussi des lendemains meilleurs pour ceux-ci grâce à une augmentation de leurs revenus et, par conséquent, à l'amélioration de leur pouvoir économique. Par cet acte, d’après la Sodav, le Président Diomaye Faye vient de hisser le Sénégal à un autre niveau sur l'échiquier des pays africains les plus respectueux et soucieux du devenir des créateurs et de tous ceux qui, par leur talent et leurs investissements économiques, participent au développement des industries culturelles et créatives. La Sodav a aussi félicité le Premier ministre, la ministre de la Culture et le Secrétaire à la Culture.
Arrestation du présumé meurtrier de Nd. Codou S.
Fin de cavale pour le présumé meurtrier de la dame Nd. Codou S. tuée mercredi à Ngor. Selon des informations de Dakaractu Mbour, il a été arrêté dans la Petite-Côte par la brigade de recherches de la gendarmerie de Faidherbe. Les mêmes sources révèlent que le mis en cause serait un Baye Fall. Pour rappel, hier mercredi, aux alentours de 5h 30, les voisins d’un appartement contigu de l’école primaire « Alieu Samb » ont découvert le corps d’une femme, identifiée comme Nd. Codou S. Les premiers éléments de l’enquête de voisinage ont révélé que sa mort pourrait remonter à environ 3h du matin. Bien qu’aucune trace de violence n’ait été relevée sur son corps, cela n’exclut pas la possibilité d’un meurtre.
Un véhicule cogne un mur et tue une dame
Un tragique accident s'est produit hier, vers 8 heures à Sangalkam. En effet, après avoir déposé ses enfants à l'école, la commerçante C. Diallo qui était à bord de son véhicule a fait une mauvaise manœuvre. Ainsi, en voulant faire marche arrière, elle a malencontreusement placé le levier au départ. Le véhicule a foncé tout droit sur le mur de la sous-préfecture de Sangalkam, percutant une dame qui était de l'autre côté du mur. La victime A. Kane, mère de 5 enfants et habitant à Keur Moussa est décédée. Les sapeurs-pompiers se sont déplacés sur les lieux de l'accident et évacué la dépouille à la morgue. D’après Dakaractu la mise en cause est entre les mains des forces de l'ordre qui ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de cet accident.
LES INONDATIONS DANS LE NORD ET L’EST DU PAYS A LA UNE DE LA PRESSE DU JOUR
La livraison de vendredi traite en priorité des inondations provoquées par la crue du fleuve Sénégal, plongeant de nombreuses localités du nord et de l’est du pays dans une situation de sinistre.
Dakar, 18 oct (APS) – La livraison de vendredi de la presse quotidienne traite en priorité des inondations provoquées par la crue du fleuve Sénégal, plongeant de nombreuses localités du nord et de l’est du pays dans une situation de sinistre.
“Chaos dans le nord du pays”, où des villages entiers et des périmètres agricoles ont été “submergés” par les débordements des eaux du fleuve Sénégal, rapporte le quotidien L’Observateur. Le journal fait état de “dégâts considérables” à Matam et Podor, “forçant les habitants [de certains villages] à fuir leurs maisons”.
“Dépassés par cette catastrophe naturelle, les autorités locales lancent de pressants appels pour une aide urgente de l’Etat”, écrit cette publication selon laquelle la montée des eaux “sème le chaos” dans cette partie du pays.
“Si dans les départements de Dagana et Saint-Louis, on est encore seulement en situation d’alerte avec la menace permanente de montée des eaux, à Podor, par contre, les populations pataugent”, écrit le journal Le Quotidien. A Bakel, ajoute-t-il, le fleuve a quitté son lit pour envahir les habitations, les champs et les routes.
“D’innombrables dégâts sont causés”, insiste Le Quotidien, pendant que Sud quotidien évoque des “crues exceptionnelles, jamais enregistrées depuis 70 ans”, et propose à ses lecteurs une “immersion au cœur d’une tragédie”.
Le journal signale “trois morts et des blessés suite à l’effondrement de maisons en banco” dans ces zones inondées où des élèves sont privés d’école, les salles de classe ayant été envahies par les eaux”.
Des sinistrés “dans une situation catastrophique”
Il pointe dans le même temps les “risques” que cette situation fait penser sur la sécurité alimentaire dans les contrées concernées. “Dans ce chaos infernal, où des infrastructures publiques ont été touchées et des routes englouties, des centaines d’hectares de périmètres agricoles ont été dévastés par les eaux”, précise Sud Quotidien.
Source A titre à ce sujet : “200.000 âmes désemparées” entre Goudiry, Bakel, Kanel et Matam, jusque dans le Dandé Mayo où plusieurs villages ont été inondés suite au débordement du fleuve Sénégal.
“Abandonnés à leur triste sort, les sinistrés dans une situation catastrophique”, lit-on à la une du quotidien Tribune, selon lequel des familles des localités touchées dorment à la belle étoile.
Selon Rewmi Quotidien, le président de la République, annoncé à Bakel et Matam, est ”attendu par une ‘crue’ de complaintes”. “Les populations ont sûrement hâte de recevoir le chef de l’Etat Bassirou Diomaye Faye. Ce qui dissiperait leurs craintes et leurs angoisses”, avance le journal.
“Confrontées aux eaux du fleuve Sénégal”, les populations sinistrées des zones nord et est du pays, se retrouvent ”entre le manteau des maladies et l’enclume de l’insécurité bien que les secours s’organisent”, ajoute Rewmi Quotidien.
Alors que le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, va entamer ce vendredi une visite de deux jours dans des localités situées dans la zone de la Falémé, des opposants au régime en place pointe la responsabilité de l’Etat.
Selon Vox Populi, par exemple, le Parti socialiste et son leader, Aminata Mbengue Ndiaye, “mettent tout sur le dos des autorités qu’ils accusent d’absence de réactivité”.
Le Quotidien ajoute que de l’avis de la secrétaire générale nationale du PS, “cette situation ‘désastreuse’ aurait pu être évitée avec une meilleure anticipation et une gestion plus rigoureuse des risques”.
“Un nouveau cycle” avec le référentiel “Sénégal 2050”
Bès Bi Le Jour estime que le régime se trouve “contraint par le vote du budget et les retards dans ses projets et programmes”, ce qui, selon le journal, ne devrait toutefois pas empêcher la tenue des législatives anticipées du 17 novembre prochain.
“De Podor à Bakel et Kédougou, les populations vivent le supplice. Mais cela n’empêchera pas la tenue des législatives du 17 novembre puisque le régime est contraint par les délais et les états-majors préparent la campagne”, écrit le journal.
Le Soleil revient sur le nouveau référentiel des politiques publiques récemment présenté par le gouvernement, en s’appuyant sur les éclairages du ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Abdourahmane Sarr.
”C’est une rupture avec l’ancien schéma. Nous entrons dans un nouveau cycle qui, nous l’espérons, peut durer 20 ans”, a-t-il dit en parlant du référentiel ”Sénégal 2050 : agenda national de transformation”, un grand plan de développement élaboré par les nouvelles autorités.
Dans cet entretien accordé au Soleil, le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a par ailleurs donné des assurances ”sur la capacité du gouvernement à redresser la situation économique malgré un contexte difficile”.
KEEMTAAN Gi - COMOUFLET POUR L’EX-CHEF
Nos oreilles vont bourdonner d’ici quelques jours avec le démarrage de la campagne électorale pour les Législatives anticipées du 17 novembre prochain. Ils seront ainsi 41 partis politiques, coalitions de partis et des entités indépendantes à aller à la chasse aux voix. Des messieurs et dames qui ne doivent pas chercher le diable pour lui tirer la queue. Quinze millions de nos pauvres francs à déposer à la Caisse des dépôts et consignation. Ce qui leur autorisera à venir chaque jour nous importuner en nous vendant un autre Sénégal. Autant dire du vent… La totale de la somme récoltée nous parait cependant trop maigre pour couvrir toutes les dépenses relatives à cette élection qui se présente aux yeux des observateurs comme un deuxième tour de la présidentielle de mars dernier. Bien entendu, parmi tous ces messieurs et dames qui veulent être députés, peu seront appelés à siéger. Le score peu glorieux de la présidentielle, récolté par certains poids lourds de la politique, qui aurait pu freiner leurs ardeurs, n’a pu les dissuader à garder leurs thunes. Tant pis pour eux ! Mais voilà, ces législatives anticipées seront palpitantes avec comme guest- star, l’ex-Chef qui voudrait laver un affront. On lui souhaite bien du plaisir dans son nouveau costume d’ancien président et nouveau citoyen comme les autres. Déjà, une pétition visant à l’exclure de la Conférence Africaine de Columbia, lancée par une compatriote du nom de Oumou Diallo à travers le mouvement Africa in Harlem, à cause de sa gouvernance au Sénégal, a porté ses fruits. Dans une lettre adressée en réponse à la pétition, les organisateurs ont exprimé leur appréciation pour les préoccupations exprimées par les Sénégalais. À la place de l’ex-chef, les organisateurs ont annoncé que M. Godwin Obaseki, gouverneur de l’État d’Edo au Nigeria, sera le nouveau conférencier. Un joli camouflet pour celui qui voudrait mettre en place une Fondation pour la Paix. Ça vous fait sourire ? Une humiliation qui pourrait bien contrarier le chef de file de la coalition de l’opposition Takku Wallu Sénégal. A n’en point douter, sa vie pourrait être bien tumultueuse et sa campagne périlleuse ! KACCOOR BI - LE TEMOIN
CAMPAGNE DES LEGISLATIVES TROIS MINUTES DE TEMPS D’ANTENNE POUR CHAQUE LISTE
Les quarante et une (41) listes de partis, coalition et entités indépendantes en lice pour les élections législatives anticipées du 17 novembre prochain vont bénéficier chacune de trois minutes de temps d’antenne à la Radiotélévision sénégalaise (RTS) dans le journal de la campagne électorale qui démarre le dimanche 27 octobre prochain. Ce temps d’antenne a été fixé ce jeudi lors d’une rencontre entre le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CRNA) et les représentants des partis et coalitions. ‘’Nous étions venus avec la proposition sur deux minutes (…) en tenant compte des contraintes auxquelles la RTS est confrontée”, a déclaré le président Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CRNA), Mamadou Oumar Ndiaye, soulignant que, finalement, il y a eu ‘’un consensus sur les trois minutes’’ proposées par la majorité des mandataires. Il présidait une réunion pour déterminer le temps d’antenne quotidien réservé aux listes de candidats aux élections législatives anticipées du 17 novembre prochain en présence de la représentante de la Commission électorale nationale autonome (CENA), Ndèye Rokhaya Mbodji. Le directeur de cabinet du président du CNRA, Matar Sall, a indiqué que les enregistrements se feront du lundi au samedi de 9 heures à minuit, soulignant que chaque liste va bénéficier de 20 diffusions durant la campagne électorale qui débutera le 27 octobre 2024 à minuit et se poursuivra jusqu’au 15 novembre à minuit. Il a rappelé que les émissions seront diffusées sur l’ensemble du réseau synchronisé de la RTS. L’émission du dernier jour de campagne sera diffusée en une seule tranche à partir de 22 h. Les mandataires ont proposé la mise en place d’un cadre permanent d’information et de communication entre le CNRA, les partis en compétition et la RTS ou un groupe WhatsApp. Le directeur général de la RTS, Pape Alé Niang, a convié les mandataires à une rencontre lundi à 15 heures dans les locaux de la télévision nationale pour un échange sur la méthodologie de travail permettant d’avoir des ”relations fluides” durant les 21 jours de campagne. La RTS prévoit de mettre une équipe complète à la disposition de chaque liste de candidats et toutes les ‘’dispositions seront prises pour aller vers une campagne apaisée’’, a dit M. Niang.
MINISTERE DE LA SANTE : UN AMBULANCIER SANS…PERMIS DE CONDUIRE
Dès sa nomination à la tête de la Primature, le Premier ministre Ousmane Sonko avait invité les membres du gouvernement à procéder à un audit physique du personnel et des contrats d’embauche. Hier 17 octobre 2024, le ministre de la Santé et de l’Action sociale Dr Ibrahima Sy a manifesté sa volonté de mettre en œuvre les directives du Chef du gouvernement. Dans une circulaire adressée aux médecins-chefs de région, directeurs d'hôpital et autres médecins-chefs de districts, le ministre de la Santé les invite à accueillir les auditeurs pour leur apporter collaboration et assistance. Pour « Le Témoin » quotidien, l’heure des audits vient à son heure ! Surtout au niveau du ministère de la Santé dirigé à l’époque par Abdoulaye Diouf Sarr où les hôpitaux, centres de Santé et dispensaires croulent sous le poids des recrutés du clientélisme politique. La preuve par ce district sanitaire situé dans la région de Saint-Louis. Un jour renseigne « Le Témoin », un chef de district a reçu une lettre de mise à disposition d’un agent se disant ambulancier. La surprise fut grande lorsque le médecin-chef a constaté que l’ « ambulancier » n’avait pas de permis de conduire. Interpellé sur les conditions de son recrutement, le bonhomme dit avoir bénéficié du soutien d’un haut responsable de l’Apr. La mort dans l’âme, le médecin-chef a fini par l’affecter à la comptabilité de l’hôpital où l’« ambulancier » du ministre sera chargé de vendre des tickets de consultation. Des recrutements de ce genre d’agents sans diplôme, ni qualification, sont très nombreux au niveau du ministère de la Santé.
MBOUR LE PRESUME MEURTRIER DE ND. CODOU S., TUEE A NGOR ARRETE
Le présumé meurtrier de Nd. Codou S tuée ce mercredi à Ngor aurait été arrêté à Mbour par la Brigade de recherches de la Gendarmerie. Selon Dakar Actu Mbour qui donne l’information, le mis en cause serait un Baye Fall. Pour rappel, mercredi, aux alentours de 5 h 30, les voisins d’un appartement voisin de l’école primaire « Alieu Samb » ont fait l’effroyable constat du corps sans vie d’une femme, identifiée comme Nd. Codou S. Les premiers éléments de l’enquête de voisinage ont révélé que sa mort pourrait remonter à environ 3 h du matin. Bien qu’aucune trace de violence n’ait été relevée sur son corps, cela n’exclut pas la possibilité d’un homicide….
PORT DE DAKAR CHAVIREMENT D’UN NAVIRE, AUCUNE PERTE EN VIE HUMAINE
Dans la nuit du 15 au 16 octobre 2024, un incident s’est produit au Môle 2 du Port Autonome de Dakar. Le navire « Princesse Jessica », à quai a été heurté par le MV Zografia entrainant le chavirement du premier. Aucune perte en vie humaine n’a été notée. Selon la Cellule de communication stratégique, le navire « Princesse Jessica » est un cargo battant pavillon Togolais, âgé de 34 ans construit en 1990 doté d’une capacité de tonnage de 1652 tonnes. Sa longueur est de 77 mètres. Immédiatement après l’incident, les équipes du Port sont intervenues pour sécuriser la zone. Un balisage a été mis en place et les procédures administratives ont été engagées conformément aux réglementations en vigueur. Il est important de souligner que cet accident n’a aucun impact sur les activités portuaires qui se poursuivent normalement. Les mesures nécessaires pour le renflouement du navire « Princesse Jessica » seront rapidement mises en œuvre. Il convient de rappeler que ce type d’incident peut survenir dans tous les ports à travers le monde. Le Port Autonome de Dakar dispose d’un dispositif opérationnel robuste et collabore étroitement avec les administrations compétentes pour réagir de manière efficace et minimiser les impacts. Au niveau du Port autonome, on a tenu à rassurer l’ensemble des partenaires et clients sur la gestion proactive de cet incident et en réitérant l’engagement à garantir la sécurité et la fluidité de leurs opérations.
TRANSPORTS TERRESTRES LE MINISTRE MALICK NDIAYE REMET DES ATTESTATIONS AUX ACTEURS
Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, Monsieur Malick Ndiaye, a procédé hier à la remise des attestations originales de renforcement des capacités aux acteurs du transport. Cette initiative vise à améliorer leurs compétences dans le domaine du transport routier. Le ministre a rappelé que ces attestations, initialement prévues pour 2021, sont le fruit d’un travail acharné. Elles illustrent la volonté des acteurs du secteur de s’approprier les connaissances indispensables à la professionnalisation du sous-secteur routier. «Cette remise répond à une doléance exprimée depuis trois ans. Mieux vaut tard que jamais», a-t-il affirmé. Le ministre a souligné la pertinence de cette formation dans le cadre de l’élaboration d’une politique commune des transports, en particulier dans le transport routier de marchandises. Elle répond à la nécessité de définir des règles communes régissant l’exercice de la profession de transporteur routier, et d’établir un cadre cohérent au sein de l’UEMOA pour structurer ce secteur. Il a également évoqué les nombreux défis auxquels le secteur est confronté : insécurité routière persistante, concurrence déloyale, avancées technologiques rapides et innovations majeures. «Les aspirations croissantes à plus de sécurité, de confort, de multi-modalité, d’interopérabilité, et l’adaptation au changement climatique se font de plus en plus pressantes», a-t-il précisé. Cette formation, selon le ministre, s’inscrit dans la dynamique des États généraux des Transports Publics, qui se tiendront la semaine prochaine, du 21 au 25 octobre 2024
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LES UNES DE LA PRESSE DE CE VENDREDI 18 OCTOBRE 2024
Sud Quotidien, Walf Quotidien, Le Témoin Quotidien, EnQuête, Libération, Le Soleil, Yoor-Yoor Bi, L'As, Le Quotidien, Vox Populi, L'Observateur, Bes Bi le jour, Révélaion Quotidien
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CONFIDENTIEL DE 'BES BI LE JOUR' DE CE VENDREDI 18 OCTOBRE 2024
Baadoolo - Mortal kombat au Cng
Euskey ! Deukk bi daal fepp tiooki leu. Pour avoir un président du Cng de lutte aussi, c’est une lutte entre Pouvoir et Opposition ! On assiste à des caxabal de Père Bécaye, des gal-gal de Malick Ngom. Pour mettre K.O Bira Sène. Mais kan la Sonko nguemb ? La ministre des Sports a démenti un quelconque parrainage d’un des «lutteurs» par le gouvernement. Donc, na riira riir. Le Mortal kombat se poursuit à l’Arène nationale.
Non-paiement et diminution du montant des allocations La Direction des Bourses dément les étudiants et s’explique
La direction des bourses réagit au communiqué des étudiants de l’Ucad. Et c’est pour démentir la diminution du montant de la bourse qui, selon elle, «n’est pas possible». «La vérité est que le paiement est progressif pour ce mois-ci eu regard au montant global des paiement des bourses très élevé dans un contexte très particulier de fin de gestion du budget», précise un communiqué. «Le cas d’un étudiant resté un an sans bourse est possible si celui-ci ne s’est pas acquitté de ses obligations préalables d’inscription dans son université sauf pour les étudiants qui bénéficient d’un renouvellent automatique au début de l’année pour les besoins du paiement du mois de décembre», précise la Direction des Bourses.
Prix africain de journalisme d’investigation 2024 Babacar Guèye Diop du Soleil nominé
Journaliste au service santé-environnement au quotidien national Le Soleil, Babacar Guèye Diop a été nominé pour le Prix africain de journalisme d’investigation (Paji) édition 2024. Il a été sélectionné grâce à son enquête sur l’impact des usines de farine de poisson sur la pêche. La cérémonie de remise du prix se tiendra le 2 décembre 2024 à Nouakchott, en Mauritanie. Pour rappel, le Paji, qui a pour vocation de promouvoir et de défendre le journalisme d’investigation en Afrique, a été initiée par la plateforme afro-européenne Médias Démocratie
Matam - Un minibus tue un écolier de 7 ans à l’heure de la descente
Ce jeudi, un minibus a mortellement fauché un écolier de 7 ans un peu après 13h, au Dara Moderne de Asndé Balla, dans le département de Matam. Un groupe d’élèves réussit à traverser la route et celui de Mamoudou Idy Ndiaye, la victime, engage la route avec la permission de deux chauffeurs qui avaient marqué le stop. C’est ainsi qu’un minibus roulant à vive allure a percuté le jeune garçon décédé sur le coup. Le chauffeur du minibus est en garde à vue à la brigade de gendarmerie des Agnam.
Université de Bambey Les mathématiques à l’honneur
«Le Baol Training School of Mathematics vise à donner l’opportunité aux doctorants et aux jeunes scientifiques de rencontrer des experts dans leur domaine et d’enrichir leur réseau de collaborateurs», confie Issa Samb. Le directeur de l’Unité de formation et de recherche (Ufr) des sciences appliquées et technologies de l’information et de la communication de l’Université Alioune Diop de Bambey (Uadb) s’exprimait en marge de l’ouverture de la session de Baol Training School of Mathematics qui va durer du 14 au 26 octobre. Pr Samb espère «que cette école sera une excellente occasion pour les participants d’apprendre des matières plus avancées liées à la géométrie et à la géométrie algébrique qui pourraient les aider dans leur travail futur». A sa suite, Pr Senghane Mbodji, vicerecteur en charge des études dira qu’il faut mettre «l’accent sur le partage dans le cadre de l’animation scientifique pour permettre aux jeunes chercheurs d’avoir les outils nécessaires dans leur domaine».
Rumeurs sur l’organisation d’examens à l’Ugb L’université numérique Cheikh Hamidou Kane dément
«Depuis quelques jours, une information est véhiculée sur les réseaux sociaux, à travers un communiqué attribué à tort à l’Université numérique Cheikh Hamidou Kane. Un faux communiqué, annonçant la tenue des examens du second semestre pour les étudiants de la promotion 11 en sociologie, à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis», indique ladite Université. Qui informe l’ensemble de ses étudiants qu’aucune organisation d’examen n’est prévue ou envisagée dans les lieux avancés. L’Un-Chk qui met en garde toute personne impliquée dans la propagation de fausses informations et le détournement des cachets de son personnel, rappelle par ailleurs, qu’aucun versement d’un quelconque montant n’est demandé à ses étudiants. L’université invite ainsi les étudiants à «n’accorder aucun crédit à cette information provenant d’individus inconnus de l’administration».
Accident maritime Le navire Princesse Jessica coule au Port de Dakar
«Il est en train de couler ! Il est en train de couler ! Oh, on a perdu le navire, c’est fini !». C’est par ce cri, qu’une personne filmait le «Princesse Jessica» qui a sombré au Port de Dakar, dans la nuit du 15 au 16 octobre 2024. Le site Morglaz.org affirme que le naufrage de ce cargo, abordé le 15 octobre à 21h00, n’a causé aucune perte de vie humaine, montrant une photo de 4 marins du navire. Seulement, selon Seneweb, Princesse Jessica a coulé avec à son bord deux mécaniciens et un cuisinier. La source affirme que le navire a été heurté par un autre cargo contenant du sucre et qui manœuvrait pour accoster au môle 3.
LA COLERE DE REWMI
Depuis la publication des listes des investis en direction des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024, le Rewmi du Président Idrissa Seck, membre de la coalition Takku Wallu Sénégal (TWS), brille par son silence. Mais ce silence cache mal une grosse colère et la preuve en a été donnée hier lors de la réunion de l’intercoalition au siège de l’Alliance Pour la République (APR) à Thiès. Selon nos sources, le représentant de Rewmi, en l’occurrence Cheikh Gaye, a laissé éclater sa colère, pour la simple raison qu’aucun membre de Rewmi n’a été investi. La liste départementale est dirigée par Moustapha Mbaye du PUR, suivi d’Hélène Marie Ndione, de Mor Diouf du PDS et de l’enseignante Astou Ciss. C’est au regard de tout cela que Cheikh Gaye a indiqué, selon les mêmes sources, que le coalition ne doit pas penser à compter sur le Rewmi pour battre campagne, encore moins faire triompher la liste. D’ailleurs, il a craché sur le poste de plénipotentiaire qui lui a été proposé. Joint au téléphone, il a d’ailleurs confirmé. Le Rewmi, qui était jadis la plus forte machine électorale de Thiès, est aujourd’hui livré à lui-même, d’autant que selon nos sources, Idrissa Seck n’a encore donné aucune directive aux responsables.
Vers un accord avec les travailleurs des Collectivités
Vers la paix des braves entre les travailleurs des Collectivités Territoriales du Sénégal et le gouvernement. A l’issue de la rencontre hier, entre l'intersyndicale et le ministère de l'Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l'Aménagement des Territoires avec le ministre Balla Moussa Fofana, les deux partis se sont accordés sur la finalité d'aller vers un protocole d'accord. Aussi l’intersyndicale a magnifié la disponibilité de la tutelle et du gouvernement pour aller vers un dénouement heureux de la crise et à travailler dorénavant en parfaite collégialité avec l'intersyndicale. Cette rencontre tenue en présence de ses collaborateurs et le Directeur du Centre National de la Fonction Publique Locale et de la Formation (CNFPLF) traduit, selon le communiqué, la reprise du dialogue sans lequel aucune solution ne peut émerger au regard de la nature de cette si longue crise. Des propositions de sortie de crise ont émané des deux parties qui ont convenu de se retrouver dans une semaine, le temps de laisser la partie gouvernementale mener des consultations pour faciliter une rencontre multi-acteurs, rapporte la même source. Les propositions retenues par consensus, seront ainsi envoyées au Premier ministre et au ministre des Finances.
Montée en puissance de Sangomar
S’il y a un secteur dont les clignotants sont au vert, c’est celui de l’énergie avec l’entreprise Worldside energy. Dans son rapport rendu public, la société énergétique se réjouit des performances qu’elle a réalisées au troisième trimestre de l’année en cours. Elle a produit durant la période sous revue 53,1 millions de barils d’équivalent de pétrole (MMboe). Ce qui équivaut à (577 Mbep/jour) soit une hausse de 20% par rapport au deuxième trimestre 2024. Cette hausse s’explique par la montée en puissance de Sangomar, l’augmentation du temps de fonctionnement actifs exploités, dont une fiabilité de 99,9 % de GNL et l’augmentation saisonnière du gaz domestique. Les prévisions de production pour l’ensemble de l’année étant réduites à 189-195 Mbep. Ces performances ont porté le chiffre d’affaires trimestriel de l’entreprise à 3,679 millions de dollars, soit une hausse de 21% par rapport à T2 2024 principalement en raison des ventes de fret Sangomar et la hausse des prix moyens du gaz naturel liquéfié (GNL). A cela s’ajoute la réalisation de la capacité nominale à Sangomar avec 100 000 barils par jour, la capitalisation de l’augmentation des prix du gaz en vendant 39% des cargaisons de GNL produites au cours du trimestre 2.
Diomaye au chevet des sinistrés de Kédougou
Le Président Diomaye confirme son déplacement à Kédougou à partir du 18 octobre. En conseil des ministres hier, le chef de l’Etat a informé qu’il se rendra les 18 et 19 octobre 2024 dans la région de Kédougou, pour notamment visiter les zones sinistrées le long de la Falémé et apporter la solidarité aux populations concernées. Il est revenu sur l’assistance de l’Etat aux populations sinistrées par les crues des fleuves Sénégal, Gambie et leurs affluents et sur la nécessité d’actualiser les plans de prévention et de résilience contre les risques de catastrophes naturelles. A cet effet, il a exprimé la compassion de la Nation aux populations sinistrées et demandé au Gouvernement d’intensifier la mise en œuvre du plan d’urgence de riposte et de secours ainsi que la préservation des cultures, du bétail et des différentes activités économiques des zones touchées. Au regard des dégâts importants constatés et des risques de récurrence du phénomène lié aux changements climatiques, le chef de l’Etat a indiqué au Gouvernement la nécessité d’actualiser les dispositifs nationaux de protection civile adaptés. A ce titre, lit-on sur le communiqué, Diomaye a relevé l’urgence d’intégrer le principe directeur de la prévention des risques par un suivi systématique de la situation hydrologique nationale en relation étroite avec l’Omvs et l’Omvg. D’où la nécessité de concevoir des plans d’aménagement adaptés des localités établies le long des fleuves et de leurs affluents et de mettre en œuvre des plans de résilience pour endiguer les effets des crues sur les habitations et les activités économiques.
Sonko montre la voie au gouvernement
Le Premier ministre a indiqué hier au gouvernement la voie menant à un « Sénégal souverain, juste et prospère » et en premier lieu sa déclinaison en un plan quinquennal 2025- 2029. A cet effet, Ousmane Sonko a demandé aux ministres de prendre résolument en charge quatre principaux défis. Il s’agit de l’appropriation du Référentiel au sein des différents départements ministériels ; la mise en œuvre du plan quinquennal 2025-2029, notamment la déclinaison des objectifs stratégiques en objectifs opérationnels, programmes et projets assortis de plans de performance annuels et d’indicateurs appropriés ; la gestion, au niveau des départements ministériels, de la transversalité des programmes et projets grâce à la définition d’une cartographie précise des processus types d’une administration publique moderne et le renforcement des capacités des ministères en matière de conduite de plans stratégiques.
Le FONSIS dégage 5 milliards pour les PME
Une enveloppe de 5 milliards de francs CFA a été allouée à Taysir Finance par le Fonds souverain d’investissements stratégiques (FONSIS), à travers son Fonds islamique de relance. Selon un communiqué reçu à «L’As », ce financement vise à soutenir les petites et moyennes entreprises (PME) sénégalaises en leur offrant un accès à des financements aux meilleures conditions du marché, avec un taux attractif de 5,5%. Cette initiative vise à accélérer la relance des activités des PME, de stimuler la création d’emplois et de favoriser la croissance économique. Elle s'inscrit dans les efforts du FONSIS pour redynamiser le tissu existant de PME/PMI et renforcer l’entrepreneuriat, rapporte le document. Le Fonds islamique de relance, doté de 20 milliards FCFA, a été mis en place par le FONSIS, en collaboration avec la Banque Islamique de développement (BID) et l’État du Sénégal. Le président du Conseil d'administration de Taysir Finance, Adama Cissé, est « heureux » de participer à cette initiative qui renforce leur capacité à soutenir les PME et le secteur informel, notamment à travers la microfinance.
Guèye lâche le chien contre son voisin
Maçon de son état, J. Guèye a lâché son Pitbull contre un élève en classe de sixième qui a couru de toutes ses forces pour monter sur un camion et échapper au chien. Mais il a été retrouvé dans le camion par le canin. Le maçon a demandé au chien de ne pas mordre le potache qui était déjà malmené. Les éléments de la brigade de recherches de la police des Parcelles Assainies en patrouille dans le secteur qui sont tombés sur la scène sont alors descendus pour tirer l’élève des griefs du chien qui se faisait de plus en plus menaçant. Ils ont interpellé J. Guèye qui est conduit au commissariat. Interrogé sur les faits, le mis en cause déclare jouer avec le chien avant de présenter ses excuses. Il est placé en garde à vue et déféré au parquet pour mise en danger de la vie d’autrui.
Conduite en état d’ébriété
D. Djité se repose à la citadelle du silence pour conduite en état d’ébriété, mise en danger de la vie d’autrui suivi des dégâts matériels par accident de la circulation. Le mis en cause a percuté un véhicule avant de blesser une dame qui tentait de traverser la route. Il est placé en garde à vue à la Police des Parcelles assainies et déféré au parquet.
Crise au CEM 19 des Parcelles Assainies
La tension est montée d’un cran au Collège d’enseignement moyen de l’unité 19 des Parcelles assainies. Le Principal de cet établissement public, Birame Sène et les parents d’élèves sont à couteaux tirés. Ces derniers ont déposé une plainte contre le Principal pour sa gestion. Une pétition a été également initiée pour réclamer son départ. Les parents d’élèves dénoncent la cherté des inscriptions qui sont fixées à 19 mille 500 francs en violation de l’arrêté du ministre de l’Éducation nationale. Pour le moment, Birame Sène a opté pour le silence.
19,6 milliards de l’UE contre l'émigration clandestine
L'Union européenne va débourser 19,6 milliards de Fcfa pour lutter contre l'émigration clandestine. Selon Jutta Urpilainen, commissaire européenne aux partenariats internationaux, c’est en réponse à la demande du gouvernement que l'Union européenne a approuvé une enveloppe de 30 millions d'euros pour contribuer à prévenir les départs irréguliers et à sauver des vies sénégalaises. Les fonds seront utilisés pour aider les autorités sénégalaises à secourir les migrants en danger et à lutter contre le trafic de migrants et la traite des êtres humains. A l’en croire, ils serviront également à sensibiliser la population aux dangers de la migration clandestine. Jutta Urpilainen ne veut plus voir de tragédies en mer. Elle renseigne que la Commission européenne finance déjà un projet de 3,7 milliards de Fcfa visant à renforcer la capacité des forces de sécurité sénégalaises à lutter contre l'immigration clandestine, la traite des êtres humains et le trafic de migrants. Elle promet que l’Union Européenne va continuer à créer davantage d'opportunités pour les jeunes du Sénégal afin de construire un avenir durable et inclusif.
LES INQUIETUDES DU FMI SUR L’ETAT DES FINANCES PUBLIQUES SENEGALAISES A LA UNE DE LA PRESSE DU JOUR
L’état des finances publiques continue de préoccuper les quotidiens, qui se font l’écho des résultats de l’évaluation du Fonds monétaire international (FMI) relative aux comptes publics du Sénégal.
Dakar, 17 oct (APS) – L’état des finances publiques continue de préoccuper les quotidiens, qui se font l’écho des résultats de l’évaluation du Fonds monétaire international (FMI) relative aux comptes publics du Sénégal.
Le FMI ‘’confirme le gouvernement’’ au sujet de la ‘’situation catastrophique’’ des finances publiques, rapporte le quotidien Source A. Selon ce journal, une mission de l’institution financière internationale a conclu que le déficit budgétaire et la dette publique du Sénégal étaient ‘’estimés comme étant nettement plus élevés que ce qui était indiqué précédemment dans les lois de finances et de règlement’’.
‘’Dépêchée en urgence à Dakar du 9 au 16 octobre 2024 pour examiner le rapport de l’Inspection générale des finances (IGF) qui révèle que le déficit budgétaire et la dette publique sont bien plus élevés que les estimations fournies par les autorités sortantes pour la période 2019-2023, la mission du FMI a confirmé les conclusions de l’IGF’’, lit-on dans les colonnes de Sud Quotidien.
Le FMI dit même s’inquiéter ‘’des niveaux du déficit et de la dette’’, note le journal Le Quotidien, ajoutant que l’institution de Bretton Woods dénonce surtout ‘’les emprunts opérés auprès des banques locales, qui ne sont pas couvertes’’.
Des ‘’signes de tensions dans l’exécution du budget’’
La situation décrite est à ses yeux ‘’un risque pour tout le système bancaire’’, ce qui conduit WalfQuotidien à relever ‘’les sombres prédictions du FMI’’, lequel préconise des mesures ‘’audacieuses et rapides’’. ‘’D’après le FMI, le déficit budgétaire devrait s’aggraver et les recettes fiscales vont continuer de baisser’’, rapporte le même journal.
L’info relève que le FMI, en raison de cette situation, préconise des ‘’mesures audacieuses’’ pour la ‘’viabilité des finances publiques’’, au regard de ‘’l’environnement difficile’’ et des ‘’signes de tensions accrues dans l’exécution du budget’’, écrit Bés Bi Le Jour.
Les quotidiens traitent aussi de la campagne de levée de fonds que le Pastef, le parti au pouvoir, a décidé de lancer pour financer sa campagne en vue des élections législatives du 17 novembre prochain.
Une ‘’grande collecte de fonds’’ qui sera ponctuée par ‘’un méga-meeting, samedi, au Dakar Arena, pour démontrer la force de frappe militante et financière de Pastef’’, affirme Vox Populi.
Les ministres et directeurs généraux membres de Pastef doivent cotiser un million de francs au moins, les maires et les autres élus doivent participer à raison de 100.000 francs chacun, les jeunes du parti étant invités à offrir 1.000 francs chacun, selon le quotidien Les Échos.
‘’Ousmane Sonko mobilise ses troupes’’, constate le quotidien Libération, selon lequel le chef de Pastef a misé sur une campagne de levée de fonds pour se démarquer des ‘’pratiques des anciens régimes’’ dans ce domaine et prévenir les risques de blanchiment d’argent et de détournement de fonds.
Bakel dans une situation d’‘’urgence humanitaire’’
Pendant ce temps, la situation sociale du pays est ‘’en ébullition”, constate WalfQuotidien, qui décrète la ‘’fin de l’état de grâce’’ pour le duo Bassirou Diomaye Faye-Ousmane Sonko, le chef de l’État et le Premier ministre.
‘’Le monde socioprofessionnel est en passe de renouer avec les contestations. Après un temps d’accalmie, plusieurs syndicats annoncent la fin de l’état de grâce, avec des mouvements d’humeur’’, ajoute le journal.
Sur des questions telles que l’emploi, l’agriculture, la pêche ou la réduction du train de vie l’État, le président de la République a donné des ‘’directives’’, à l’occasion du Conseil des ministres qu’il a présidé ce mercredi, rapporte Le Soleil.
Concernant la question des inondations dans certaines zones du pays dont Matam (nord), Bakel et Tambacounda (est), le quotidien L’As annonce que l’État a dégagé ‘’huit milliards de francs CFA pour les sinistrés’’.
Le chef de l’État, après avoir fait part de ‘’la compassion de la nation envers les populations sinistrées’’, a ‘’demandé l’intensification de la mise en œuvre du plan d’urgence de riposte et de secours’’, rapporte Vox Populi.
Bassirou Diomaye Faye a donné aussi ‘’des instructions en vue de la préservation des cultures, du bétail et des activités économiques des zones touchées’’, selon le même journal.
L’Observateur s’intéresse surtout à la situation de Bakel, à la suite du débordement du fleuve Sénégal, ce qui a plongé ce département dans une situation d’‘’urgence humanitaire’’.
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LES UNES DE LA PRESSE DE CE JEUDI 17 OCTOBRE 2024
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