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23 avril 2025
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COHABITATION OU PAS
EXCLUSIF SENEPLUS : Faut-il revenir à la formule des 4 courants politiques au Sénégal? Les idéologies politiques sont-elles mortes? Est-ce la fin des partis? Le PSE peut-il constituer la base d'une plateforme politique? SANS DÉTOUR (Partie 2/4)
De nombreuses questions directes et des répones politiques qui analysent l'espace démocratique sénégalais. Dans cette deuxième partie de Sans Détour, l'ancien ministre d'Etat de Wade aborde avec ses interlocuteurs quelques problématiques qui font de plus en plus irruption dans les discussions chez certains intellectuels africains.
Parmi les multiples interrogations, il y en a une qui pourrait faire débat : faut-il revenir à la formule des 4 courants politiques au Sénégal? Les idéologiques politiques sont-elles mortes ? Est-ce la fin des partis? Le PSE peut-il constituer une base pour une plateforme politique? Les questions fusent de partout et Abdou Fall répond sans détour.
Par ailleurs, Abdou Fall parle de ses rapports politiques avec Macky Sall depuis l'époque du PDS
Sans Détour présenté par Godlove Kamwa et ses éditorialistes Momar Diongue et Samba Dialimpa Badji.
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L'OPPOSITION TEND À UNIR, LE POUVOIR, LUI DIVISE
EXCLUSIF SENEPLUS - Abdou Fall à Sans Détour: Crise de leadership dans l'opposition - Doit-on maintenir un système de multipartisme intégral? Quels sont les contours de la reconfiguration politique à la veille des Législatives? (Partie 1/4)
Il parle avec beaucoup de verve de la dispute de leadership au sein de l'opposition et appelle à une ré-évaluaiton de notre système démocratique où l'on pourrait interroger la pertinence du système de multipartisme intégral.
Dans cette première partie de Sans Détour, l'ancien ministre d'Etat d'Abdoulaye Wade Abdou Fall, aujourd'hui cadre de l'Alliance pour la République (APR) du président Macky Sall, décrypte la reconfiguration politique sénégalaise actuelle, à quelques semaines des Législatives qui font polémiques dans le pays.
Sans Détour est présentée par Godlove Kamwa et ses éditorialistes Momar Diongue (Vision Mag) et Samba Dialimpa Badji (Africa Check).
Sans Détour est une coproduction entre l'école d'image numérique Sup'Imax et le meilleur site sur le net focalisé sur l'info au Sénégal: SenePlus.com.
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CALIXTHE BEYALA SE RACONTE
Son histoire d'amour avec Michel Drucker, les accusations de plagiat qu'elle a subies, son enfance tumultueuse, ses frères et soeurs anglophones et centrafricains, les combats...
Qualifiée de femme autoritaire, c’est sa tessiture vocale qui en donne la preuve. Tellement elle en a dans les "graves". Dans un chœur polyphonique, elle ferait une bonne alto. Tellement, elle en a dans les gravesCalixthe Beyala écrivain polémiste franco-camerounaise est une grande militante anti impérialiste. C’est pour cette cause qu’elle dit avoir créé le Mouvement des Africains-Français dont elle est la présidente.
Calixthe ne récule devant rien et a le courage de ses opinions.Au plus fort de la crise ivoirienne et libyenne, elle a courageusement pris position pour Laurent Gbagbo et Mouammar Kadhafi quand des plus grands dirigeants du continent étaient dans l’autre camp.
Dans cet entretien avec Vox Africa, la journaliste raconte son enfance et son adolescence mouvement, ses amours, ses rapports avec le Cameroun et la diversité que le caractérise , son histoire avec Michel Drucker, son amitié avec François Hollande qui l’a déçue ou Valérie Pércresse qu’elle estime.
La présidente du Mouvement des Africains Français est aussi revenu sur la plupart de ses romans et rebondi sur les accusations de plagiat dont elle a été victime et qui porte notamment sur son livre "Le petit prince de Belville". "Tous les garnds auteurs ont été accusés de plagiat", s'est-elle défendu.
Calixthe Beyala face à Vox Africa. Découverte d'une dame de fer.
Regardez l'entretien
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NAYANKA BELL SE RACONTE
"Iwassado" l'avait propulsée au devant de la scène dans les années 80. Très engagée dans le showbis, aujourd'hui, elle a investi l'hôtellerie après l'immobilier dès le début de sa carrière. Désormais, elle est une femme d'affaires aguerrie
Dans les années 80 Nayanka Bell de son vrai nom Aka Louise de Marillac se révèle aux mélomanes ivoiriens et africains avec son morceau «Iwassado». Ce fut un succès fulgurant. Elle avait à peine de 20 ans. Fort de cet exploit, elle se lance à fond dans le showbiz. Avant l’âge de 26 ans, elle acquiert au moins 6 appartements. Elle enchaine des albums avec de très long espacements.
Propriétaire de maison, elle ne pouvait pas gérer les locataires mauvais payeur. C’est ainsi que parallèlement au showbis, la vedette investit dans l’hôtellerie.
Dans ce numéro de «Elles se racontent», de VoxAfrica, la diva ivoirienne raconte sa vie, ses amours, ses passions avec beaucoup d’émotion.
Découverte d’une diva qui a le business dans le sang
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ABDOU FALL SE RACONTE
EXCLUSIF SENEPLUS : La Nouvelle configuration politique au Sénégal, son parcours politique tumultueux, ses vieilles relations avec Macky Sall, le business des énergies renouvelables, l'ancien ministre d'Etat à Sans Détour - VERSION INTÉGRALE
L’ancien ministre d’Etat d’Abdoulaye Wade, Abdou Fall longtemps resté à l’ombre, est revenu en force au devant de la scène politique sous l’ère Macky Sall. Chef de file du Mouvement And Naoule, cet ex-cadre du Parti démocratique sénégalais, a expérimenté maintes chapelles politiques depuis sa jeunesse.
Du RND au PDS en passant par la CDS, le PLP, il a finalement posé ses valises à l’APR lorsque souffla le vent d’une nouvelle alternance politique au Sénégal après le régime de Wade. Aujourd'hui il est responsable de l'APR à Thiès, sa base politique.
Invité de la grande émission télé Sans Détour du site d'info SenePlus.com, Abdou Fall planche avec les éditorialistes sur la nouvelle configuration politique caractérisée par une myriade de plateformes ou coalitions et des références idéologiques difficilement cernables.
Celui que certains sénégalais voit comme un symbole de la transhumance politique au Sénégal, explique ses choix et parle de ses relations personnelles avec l’actuel président de la République qui lui aussi est devenu une sorte de théoricien de la transhumance.
Opérateur privé dans les énergies renouvelables, Abdou Fall est le Président du Conseil d'administration de société Tenergie Sénégal opérant dans ce secteur.
C’est de tout cela que l'ancien ministre d'Etat discute avec ses interlocuteurs sur le plateau de Sans Détour présenté par Godlove Kamwa et ses éditorialistes Momar Diongue (Vision Mag) et Samba Dialimpa Badji (Africa Check).
Sans Détour est une coproduction entre l'école d'image numérique Sup'Imax et le meilleur site sur le net focalisé sur l'info au Sénégal : SenePlus.com.
Regardez l'émission dans son intégralité !
DES FILMS DE SEMBÈNE OUSMANE À L’AFFICHE À GORÉE ET À ZIGUINCHOR À PARTIR DE JEUDI
Dakar, 3 juil (APS) - Plusieurs films du défunt cinéaste Sénégalais Sembène Ousmane seront à l’affiche sur l’île de Gorée et à Ziguinchor, en Casamance, à partir de jeudi jusqu’à dimanche, annonce un communiqué parvenu à l’APS.
Sur l’île de Gorée, le cycle "Sembène cinéma" projette jeudi les films "Borrom Sarret" (1963) et "Xalat" (1974), "La noire de" (1966) et "Camp de Thiaroye" (1988), de même que "Le mandat" (1968), "Guelewar" (1992), "Ceddo" (1977) et "Emitaï" (1971), samedi et dimanche.
Des courts métrages de "ciné-Ucad" et "ciné-banlieue" seront proposés en premier lors de ces "soirées rétrospectives Sembène Ousmane", qui entrent dans le cadre de la commémoration des 10 ans de la disparition du cinéaste (2007-2017).
Ces mêmes films de l’"Aîné des anciens" en plus de sa dernière production "Moolaadé" (2004) seront montrés à Ziguinchor dans différents endroits notamment à l’Université Assane Seck, au Centre culturel régional, à Kër Sembène Ousmane et "Le Sitöe" (ex-cinéma Vox de Ziguinchor) du jeudi au dimanche.
Selon les initiateurs, "Casamance cinéma" est une reproduction de l’expérience "Gorée cinéma" qui est à son troisième cycle.
Ils s’activent à relancer l’industrie cinématographique en Casamance avec la réhabilitation et la transformation de l’ex-cinéma "Vox" de Ziguinchor en complexe cinématographique "Alin Sitöe Jaataa".
"Il y aura une salle de cinéma, un restaurant et l’école de cinéma Sembène Ousmane ouverte aux pays de la sous-région", souligne-t-on dans le dossier de presse transmis.
Pour les promoteurs, "Sembène cinéma" est un "un hommage au réalisateur sur ses terres", mais aussi "à celui qui a donné au cinéma africain ses lettres de noblesses".
Sembène Ousmane, né en 1923 à Ziguinchor, a été maçon, docker, écrivain, cinéaste, mais également l’auteur de plusieurs livres.
"Le père du cinéma africain" a une riche filmographie distinguée plusieurs fois dans le monde.
157 JOURNALISTES ACCREDITES...POUR COUVRIR LE MARIAGE DE LIONEL MESSI ET ANTONELLA ROCCUZZO
Lionel Messi, 30 ans, et Antonella Roccuzzo, 29 ans, se marient à Rosario (Argentine): le gratin du football, Shakira, leurs enfants Thiago et Mateo seront là pour l’échange des consentements, avant une fiesta animée par des groupes de cumbia. Ils auraient pu choisir pour leurs noces un château en Espagne, une plage de rêve dans les Caraïbes mais ils ont préféré leur ville natale de Rosario (est du pays), port agro-industriel sur la rive droite du Rio Parana où se croisent les tankers chargés de soja cultivé dans la Pampa.
Malgré les 14 heures de vol depuis Barcelone (Espagne), pratiquement tous ses coéquipiers du Barça ont fait le déplacement, dont Neymar, Luis Suarez, Javier Mascherano ou l’arrière-garde française Samuel Umtiti, Jérémy Mathieu et Lucas Digne. Même les petites mains du club, masseurs, préparateurs physiques et responsables de la logistique, ont été conviées au festin par le quintuple Ballon d’or.
En revanche, il n’a pas invité les dirigeants du FC Barcelone, ni Pep Guardiola, ni l’entraîneur sortant Luis Enrique, ni son ancien sélectionneur et rival dans le coeur des Argentins, Diego Maradona. D’anciens coéquipiers en club, comme Cesc Fabregas, Samuel Eto’o, ou de sélection, Angel Di Maria, Ezequiel Lavezzi ou Sergio Agüero, ne pouvaient pas manquer le rendez-vous.
Cérémonie et noce auront lieu à partir de 19h00 locale (22h00 GMT) au Pullman City Center de Rosario, un complexe hôtel-casino situé tout près d’un quartier chaud et pauvre, Las Flores, base de Los Monos, un groupe de trafiquants de drogue qui sème la terreur à Rosario. La sécurité a été renforcée dans les environs, 300 policiers sont postés sur les 21 km qui mènent de l’aéroport à l’hôtel, la municipalité a refait les espaces verts et éloigné les vendeurs ambulants et les laveurs de vitres installés aux feux tricolores.
La liste des invités comporte 260 noms et 157 journalistes sont accrédités pour couvrir l’évènement. La robe de la mariée, créée par la Catalane Rosa Clara, qui a marié la Reine d’Espagne et habille Eva Longoria, est attendue avec impatience. Conçue à Barcelone, elle a voyagé par avion et a été livrée à Rosario, escortée par deux agents de sécurité. Le secret est bien gardé.
Dans une interview accordée au quotidien l’Obs, l’instrumentiste, Habib Faye est largement revenu sur sa relation avec le super étoile en particulier et sur la musique sénégalaise en générale.
Après avoir précisé qu’il n’a jamais intégré le groupe de Waly Seck, l’ex bassiste du groupe de Youssou Ndour affirme qu’«Avec Waly, c’était tout juste une collaboration, comme j’en ai fait avec d’autres. Il m’a sollicité et puisque j’en avais le temps, j’ai accepté…», confie-t-il au journaliste de l’Obs.
En ce qui concerne la comparaison entre Youssou Ndour et Waly Seck, l’instrumentiste se veut clair : «comparaison n’est pas raison. Les carrières et les trajectoires ne sont pas les mêmes et il n y a pas match! A 25 ans, nous avions déjà fait au moins 10 fois le tour du monde et nous nous produisions dans des stades de 200 000 places. Je ne dis pas que personne ne peut le faire mais ce n’est pas encore arrivé… Youssou Ndour et Waly Seck ne boxent pas dans la même catégorie» tonne-t-il.
L'OMBRE DE MACKY A POLLUÉ L'ATMOSPHÈRE
Accord sur le mode de scrutin et désaccords subséquents
La Commission électorale nationale autonome (Cena) s’est démenée comme un beau diable pour trouver un « consensus », ce vendredi, à propos du mode de scrutin, au regard de la pléthore de listes aux législatives. Le Président de l’institution, Doudou Ndir, a estimé qu’un large consensus s’est dégagé sur la modification de l’article L78 du Code électoral afin de pouvoir permettre à l’électeur de choisir au moins cinq des bulletins au lieu de prendre tous les 47 comme l’exige l’actuel code.
Malheureusement, ce que l’on craignait dans cette chronique s’est produit. La Cena a été clouée au pilori par une partie de l’opposition, celle-là plus radicale, qui a trouvé que l’institution était au garde-à-vous face à un Exécutif qui lui aurait dicté la conduite à tenir.
Les critiques ont été acerbes, venant notamment de certains leaders qui ont parlé de « mascarade » et même de violation du protocole de la Cedeao. Les polémiques vont bon train et la tension est loin d’être amorcée.
On peut, cependant, à l’analyse, s’étonner d’une telle démarche de ces coalitions de l’opposition. La solution proposée va manifestement réduire le temps de vote et permettre de rester dans le timing sans coups férir. Cette situation s’imposait au regard de ces 47 bulletins que les électeurs auraient du mal à prendre tous. Mieux, la Cena a convoqué tout le monde et sur les 47, au moins 44 ont répondu présents. La parole a été donnée à tous. Et la solution qui a emporté la majorité a été adoptée. Alors, on ne pouvait pas avoir mieux. La Cena a fait ce qu’elle a jugé conforme à l’intérêt de l’électeur. Sa démarche ne souffre alors d’aucune ambiguïté.
Contestation de principe
Ce qui nous semble évident par contre, c’est que l’opposition voit, en travers la Cena, l’ombre de Macky. Il ne fait aucun doute que la contestation observée n’a été que de principe. Il s’agit d’une pétition de principe contre ce qu’ils considèrent comme la réalisation du vœu de Macky. Rien de plus. La solution proposée étant l’une des moins mauvaises, l’opposition n’a, a priori, aucun intérêt à s’y opposer si ce n’est pour démontrer au Président de la République qu’elle ne lui fera aucun cadeau.
Elle reste convaincue que la proposition vient du camp présidentiel et ne veut pas apparaître naïve aux yeux d’un adversaire dont elle redoute la fourberie.
S’il y a en effet une réserve à formuler, c’est celle du leader du MPC, Ali Mohamed Séga Camara, qui a estimé que la Cena n’était pas compétente à procéder à la modification des règles électorales.
Celui qui a défié Macky en mettant en place sa propre liste, nous a confié que le rôle de la Cena est de superviser le processus électoral et non de l’organiser.
En clair, pour notre interlocuteur, il appartient au Ministre de l’Intérieur de procéder à la convocation des partis pour discuter de la modification éventuelle des règles.
A l’en croire et pour bien d’autres, le fait que les autorités se cachent derrière la Cena, trahit un dessein forcément malsain.
C’est ce qui a été à la base du tohu-bohu auquel on a assisté.
Rôle du Ministère de l’Intérieur
Bien sûr, on peut légitiment se demander pourquoi le Ministère de l’Intérieur n’a pas lui-même organisé les concertions pour la modification.
Mais, là aussi, les autorités peuvent penser que la Cena était l’institution la plus crédible pour taire la suspicion et aboutir à un consensus.
Toutefois, si cette démarche n’entre pas dans le cadre des compétences de la Cena, on peut estimer qu’il y a eu méprise.
Mais cette méprise n’a aucun impact dès lors que la Cena elle-même ne va pas procéder à la modification en question. Il appartiendra au Président de la République de saisir l’Assemblée nationale parce qu’il s’agit d’une loi.
Et tout indique que Macky va tirer les conséquences de ce qui s’est passé le vendredi afin de demander la modification de l’article L78, malgré la levée de boucliers suscitée.
Une situation favorisée par le fait que tout le monde est en campagne électorale anticipée.
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