Dakar, 5 août (APS) – La Nigériane Favour Ofili et l’Ivoirienne Jessika Gbaï ont obtenu, lundi, leurs qualifications pour la finale du 200 mètres aux Jeux olympiques de Paris 2024.
Favour Ofili a terminé deuxième de la première série, derrière la championne olympique du 100 m, la Saint-lucienne, Julien Alfred (21’98 secondes). La Nigériane a terminé avec un chrono de 22’05 secondes.
L’Ivoirienne Jessika Gbaï a franchi la ligne d’arrivée avec un temps de 22’36 secondes. La championne d’Afrique en titre du 200 m a terminé troisième de sa demi-finale.
La finale du 200 m se tiendra, mardi, à 19h 40 mn.
JO 2024, CHEIKH TIDIANE DIOUF EN DEMI-FINALES
Dimanche, il avait terminé cinquième de sa série avec un chrono de 45 secondes 59.
L’athlète sénégalais Cheikh Tidiane Diouf s’est qualifié, lundi matin, pour les demi-finales de l’épreuve des 400 mètres des Jeux olympiques Paris 2024, en se faisant repêcher parmi les deux meilleurs deuxièmes de la course, a constaté l’envoyé spécial de l’APS.
Le champion d’Afrique en titre du 400 mètres a terminé deuxième de sa série avec un chrono de 45 secondes 03.
Le sociétaire de l’AS Douanes, dont c’est la première participation aux JO, a réalisé sa meilleure performance personnelle qui est de 45 secondes 03.
Les demi-finales prévues à 17h35 lui donneront l’occasion de continuer son apprentissage du haut niveau.
Dimanche, il avait terminé cinquième de sa série avec un chrono de 45 secondes 59.
Le slalomer sénégalais Yves Bourhis a lui échoué à atteindre les quarts de finale du kayak cross dans la course contre-la-montre, alors que Louis François Mendy s’est qualifié pour les demi-finales des 110 m haies après avoir réalisé un chrono de 13 secondes 31. Il a remporté sa série en réalisant sa meilleure performance de l’année.
Le natif de Grand-Yoff, un quartier de la banlieue de Dakar, porte-drapeau du Sénégal à la cérémonie d’ouverture des JO de Paris, va disputer la demi-finale mercredi à partir de 17h10.
JO’BURG PORTE LA FLAMME
CAMP 20e édition de la Bwb Africa (3 au 6 août) - La Nba et la Fiba ont lancé, ce samedi, la 20e édition de la Basketball Without Borders à Johannesburg, en Afrique du Sud.
La Nba et la Fiba ont lancé, ce samedi, la 20e édition de la Basketball Without Borders à Johannesburg, en Afrique du Sud. Un camp prévu du 3 au 6 août, destiné aux jeunes talents africains et qui continue d’être un socle pour le développement du basket sur le continent.
Lancé en 2003 à Johannesburg en Afrique du Sud, le camp de la Basketball Without Borders (Bwb) Africa fête, cette année, sa 20e édition. Comme un symbole, c’est la capitale sud-africaine qui abrite la présente édition, ouverte samedi à l’American International School de Jo’burg, pour quatre jours. D’ailleurs, c’est la 16e fois que le pays de Nelson Mandela accueille les jeunes talents africains à travers un programme mondial de développement du basket et de sensibilisation communautaire. Organisé conjointement par la Nba et la Fiba, le camp Bwb 2024 va réunir 60 garçons et filles de 24 pays africains dont cinq espoirs de la Nba Academy Africa.
Amadou Gallo Fall : «Ce camp a été le précurseur de tout ce que nous avons construit sur le continent»
Un long chemin parcouru pour le président de la Basketball Africa League (Bal), Amadou Gallo Fall. «Il y a eu beaucoup d’activités significatives pendant ces 20 ans où on a vu énormément de talents émerger. Ce camp a été le précurseur de tout ce que nous avons construit sur le continent. L’aboutissement, c’est la Basketball Africa League. C’est ce qui continue à nous donner de l’énergie, parce qu’il n’y a pas de limite par rapport à ce que l’Afrique peut apporter sur la scène mondiale», s’est-il réjoui à l’issue de la conférence de presse d’ouverture du camp.
Pour le patron de la Bal, la Bwb «va continuer à déceler de nouveaux talents, mais surtout d’être une locomotive dans le domaine de l’engagement communautaire»
Avec six pensionnaires venus du Sénégal, il a salué la présence constante de jeunes Sénégalais dans les camps. «Le Sénégal a toujours été l’un des tops pays en termes de potentiel. Maintenant, il faut que ce potentiel se traduise dans les résultats des équipes nationales. Il faut travailler pour développer tout ce qui est autour, à travers des programmes, des ambitions à la hauteur du talent naturel qui existe au Sénégal», souligne-t-il.
Gorgui Sy Dieng, Joël Embiid, Pascal Siakam…
Présent au début de l’aventure, le directeur des Opérations de la Nba Africa, Kita Matungulu, mesure le chemin parcouru. «On a commencé avec un camp de basket, on a ensuite fait des Ligues de juniors Nba, aujourd’hui, on a la Bal. Et quand on voit un jeune comme le Sud-Soudanais Khaman Maluach, ancien pensionnaire de la Nba Academy, qui était le meilleur joueur du camp de l’année passée, c’est une fierté», a-t-il confié, soulignant le rôle de la Nba, de la Fiba, mais aussi des différentes autorités fédérales et autres partenaires qui œuvrent pour le développement du basket africain.
Pour rappel, le camp Bwb Africa a servi à former des talents devenus des joueurs de la Nba, à l’image de l’ancien capitaine des Lions, Gorgui Sy Dieng (2009), Joël Embiid (2011) ou encore Pascal Siakam (2012). Ces derniers ont été cités en exemples aux campeurs de l’édition de 2024.
Au total, 13 anciens participants de la Bwb Africa ont été recrutés par la Nba depuis le premier camp en 2003. Pendant ces quatre jours, les jeunes campeurs prendront part à différentes activités, des concours à trois points, des jeux à 5 contre 5 et des sessions de développement de compétences de vie et de leadership. En attendant de connaître les meilleurs joueurs de la présente édition, les campeurs poursuivent leur perfectionnement auprès de joueurs, légendes et entraîneurs actuels et anciens de la Nba, de la Wnba et de la Fiba.
KABA DIAWARA LIMOGÉ !
Kaba Diawara n'est plus sélectionneur de l'équipe nationale de football de Guinée. La Fédération Guinéenne de Football (FGF) a annoncé, son limogeage, ce dimanche. Ci-dessous le communiqué complet.
iGFM (Dakar) Kaba Diawara n'est plus sélectionneur de l'équipe nationale de football de Guinée. La Fédération Guinéenne de Football (FGF) a annoncé, son limogeage, ce dimanche. Ci-dessous le communiqué complet.
"La Fédération Guinéenne de Football (FGF) informe l’opinion publique, les supporters du Syli National, et l’ensemble des partenaires qu’il a été mis fin à la collaboration avec le sélectionneur de l’équipe nationale Syli A, M. Kaba Diawara, ainsi qu’avec l’ensemble de son staff technique", informe l'instance.
Objectif non atteint
"Cette décision a été prise en raison de l’absence de réalisation des objectifs sportifs qui avaient été fixés contractuellement. L’objectif initialement assigné au staff sortant était de faire progresser le Syli National A parmi les 10 meilleures nations africaines au classement FIFA au cours d’une période d’évaluation de deux ans. Malheureusement, cet objectif n’a pas été atteint, ce qui a conduit à la nécessité d’une réorientation stratégique", explique la Fédération.
Un directoire placé et coordonné par Michel Dussuyer
"Pour garantir une transition efficace et assurer la continuité dans la préparation des prochaines échéances, il a été décidé de mettre en place un directoire transitoire chargé de la gestion technique du Syli A. Ce directoire sera en place jusqu’à au moins novembre 2024, période correspondant à la fin des qualifications pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025.
Ce directoire sera placé sous la supervision du Directeur Technique National (DTN) et sera coordonné par M. Michel Dussuyer, ancien sélectionneur du Syli National, reconnu pour sa grande expérience et sa réputation dans le milieu du football. Sa connaissance approfondie du football africain et son expérience passée à la tête de l’équipe nationale constituent un atout majeur pour cette période transitoire.
Le directoire inclura également M. Charles Paquille, ancien assistant du sélectionneur national, lequel assumera les fonctions de sélectionneur. Sa proximité avec les joueurs et sa compréhension des dynamiques internes de l’équipe seront cruciales pour maintenir la cohésion et la performance de l’équipe. M. Souleymane Camara, actuel sélectionneur du Syli des joueurs locaux, fera aussi partie de ce directoire en tant qu’assistant de M. Charles Paquille, apportant son expertise et sa connaissance des talents locaux, ce qui permettra de renforcer encore davantage le lien entre les joueurs évoluant à l’étranger et ceux du pays", souligne le communiqué de la Feguifoot, indiquant qu'elle est convaincue que ece directoire transitoire saura maximiser le potentiel des talents présents au sein de notre sélection, tout en insufflant un nouvel élan indispensable pour atteindre les objectifs sportifs ambitieux que nous nous sommes fixés."
Pour rappel, Kaba Diawara qui s’en va deux ans après son arrivée, avait remplacé Didier Six.
LOUIS FRANÇOIS PEUT ENCORE MIEUX FAIRE
El hadji Amadou Dia Ba, le seul médaille olympique sénégalais (argent sur 400 m haies à Seoul en 1988), croit en Louis François Mendy
(PARIS, France) - El hadji Amadou Dia Ba croit à Louis François Mendy. Selon le seul médaille olympique sénégalais (argent sur 400 m haies à Seoul en 1988), le hurdler sénégalais qui a remporté sa série (7eme au classement général) alors qu’il était aligné au couloir 9, peut encore mieux faire pour attendre la finale prévue ce mercredi 8 aout au stade V
Vous venez d’assister à la course de Louis François Mendy. Quelle analyse en faites-vous ?
Un plaisir parce que gagner sa série, ça fait toujours plaisir et ça donne confiance. Il est confiant depuis un moment. Là, il a couru un peu esseulé. Parce qu’il était à l’extérieur (couloir 9). Il a couru tout seul. Ce qui est une bonne chose déjà mais quand il aura un bon couloir, il pourra aller beaucoup plus vite et vraiment se lâcher. Il peut mieux faire.
C’est un bon espoir donc en perspective des demi-finales ?
Oui, c’est un bon espoir parce que quand tu gagnes une série, tu auras un bon couloir et tu es un peu relâché. Je pense que lui dans sa tête, comme on s’est dit, il faut aller jusqu’au bout et chaque course compte pour lui. Chaque course, il faut y aller. Là, il est allé. Il a gagné sa course et j’ai vu les temps des autres séries, il est classé 8ème sur l’ensemble des séries. Donc, c’est vraiment de bon augure. Il est allé se concentrer. Il sait ce qu’il doit faire.
La finale d’abord, le sacre après ?
La finale et après on verra. Il faut qu’il rentre en finale déjà et ce serait bon après.
Vous êtes très content parce que c’est un athlète issu du centre dont vous êtes le directeur ?
Oui je suis très content. Ça me fait plaisir. Nous l’avons dans le centre depuis 2017. Il a grandi dans le centre. Donc, c’est un plaisir. Et c’est toujours ce que je dis, il faut aider le centre parce qu’il y a d’autres athlètes sénégalais, quand ils auront une bourse, pourront rentrer dans le centre. Il y aura de l’espoir si Louis François le fait. Gina Basse (Gambie) aussi et d’autres comme Saly (Sarr) qui est aussi dans le centre. Maintenant, il faut leur trouver une autre étape parce que dans ce centre, on leur ouvre la porte pour qu’ils puissent aller plus loin. Il faut leur trouver de bons entraineurs, aller à l’extérieur pour pouvoir faire ce qu’il faut faire. Mais le centre, c’est un bon démarrage pour nos athlètes.
La stratégie pour les haies, c’est quoi ?
Il ne faut pas toucher les haies. Il faut courir sur les haies. Les gens pensent qu’on saute les haies mais il faut courir sur les haies parce que dès que tu touches une haie, tu perds des 100ème. A chaque fois, c’est ce que je dis à Louis, ne touches des haies, il faut y aller parce que les haies, ça se court.
Est-ce que vous attendiez à le voir remporter cette série ?
Oui ! Pourquoi pas ? Depuis des années, on s’entraine. Il a été à Tokyo. Il a pris un peu d’expérience. Il a gagné les Jeux africains, les Championnats d’Afrique. Il a gagné des meetings. Il est très confiant.
Mais depuis son faux départ aux mondiaux de Budapest, on a l’impression... Même aujourd’hui, on l’a vu patienter pour ne pas connaître le même sort ?
Il a fait un très bon départ. Ça, c’est une histoire oubliée. Maintenant, il sait ce qu’il faut faire. Il est dans sa bulle et je pense que c’est bon.
JO 2024 BASKET, LE NIGERIA ENTRE DANS L’HISTOIRE
Les Super Eagles deviennent la première équipe de basket africaine qualifiée pour les quarts de finale des Jeux Olympiques, après leur victoire sur le Canada.
Dakar, 4 août (APS) – Le Nigeria a validé, dimanche, sa place pour les quarts de finale du tournoi féminin de basket des Jeux olympiques de Paris 2024 après avoir battu 79-70 le Canada, une qualification historique.
Le Nigeria est la première équipe africaine à accéder à cet étape d’un tournoi de basket aux Jeux olympiques.
Les D’Tigress qui avaient besoin de ce succès pour assurer leur place en quart de finale ont livré un match très solide, du début à la fin.
Les joueuses de Rena Wakama n’ont à aucun moment douté de leur capacité à gagner face à un adversaire qui avait perdu tous ses matchs.
Les Nigérianes s’étaient inclinées devant les Françaises, sur le score de 54 points à 75, jeudi lors de leur deuxième rencontre au tournoi.
Elles avaient obtenu une victoire historique contre l’Australie (75-62), lors de la première journée.
Les quarts de finale se joueront, mercredi.
L’ALGÉRIENNE KAYLIA NEMOUR DÉCROCHE LA PREMIÈRE MÉDAILLE D’OR POUR SON PAYS
Grande favorite de cette finale, elle a réalisé une performance de 15 700 devant la Chinoise Qin Qiyuan (15 500), deuxième, l’Américaine Sunisa Lee, obtient la troisième place (14 800).
Dakar, 4 août (APS) – La gymnaste algérienne Kaylia Nemour a décroché la médaille d’or en remportant, dimanche, la finale de l’épreuve de barres asymétriques des Jeux olympiques de Paris 2024.
À 17 ans, elle offre à l’Algérie sa première médaille de ces JO Paris 2024 et la troisième en or pour l’Afrique, après l’Afrique du Sud en natation et l’Ouganda au 10 000 mètres.
La Franco-Algérienne Kaylia Nemour, a choisi il y a deux ans de représenter l’Algérie après des tensions avec la France.
Grande favorite de cette finale, elle a réalisé une performance de 15 700 devant la Chinoise Qin Qiyuan (15 500), deuxième, l’Américaine Sunisa Lee, obtient la troisième place (14 800).
MENDY EN DEMIE-FINALE DES 110M HAIES AUX JO DE PARIS
Le natif de Grand Yoff ambitionne de décrocher une deuxième médaille olympique pour le Sénégal après celle en argent d’Amadou Dia Ba obtenue en 1988 à Séoul
L’athlète sénégalais Louis François Mendy s’est qualifié dimanche pour les demi-finales des 110 m haies des Jeux olympiques de Paris après avoir réalisé un chrono de 13 secondes 31, a constaté l’envoyé spécial de l’APS
Louis François Mendy a notamment remporté sa série et réalisé sa meilleure performance de l’année.
Le natif de Grand Yoff, un quartier de la banlieue de Dakar, porte-drapeau du Sénégal à la cérémonie d’ouverture des JO de Paris, va disputer la demi-finale mercredi à partir de 17h10.
Louis François Mendy ambitionne de décrocher une deuxième médaille olympique du Sénégal après celle en argent d’Amadou Dia Ba obtenue en 1988 à Séoul (Corée du Sud).
Cheikh Tidiane Diouf (400 m) va disputer, les qualifications dans sa catégorie, cet après-midi à 17h45 au Stade de France.
Participant pour la première fois aux JO, le sociétaire de l’AS Douanes va essayer d’améliorer ses performances et continuer son apprentissage du haut niveau.
YVES BOURHIS TENTERA SA CHANCE EN KAYAK CROSS CONTRE LA MONTRE
Le céiste sénégalais participera au kayak cross à 16h40 GMT à Vairés, cherchant à redorer son image après ses récentes contre-performances.
Yves Bourhis se prépare pour une nouvelle épreuve aujourd’hui. Le céiste sénégalais participera au kayak cross contre la montre à 16h40 GMT à Vairés, cherchant à redorer son image après ses récentes contre-performances.
Lors de la finale de canoë slalom, Bourhis avait initialement terminé à la 12ᵉ place avec un temps de 95.78. Cependant, une pénalité de 50 secondes l’avait relégué à la dernière place du classement. Mardi, il a de nouveau connu la déception, se classant 22ᵉ sur 24 concurrents lors des préliminaires de kayak slalom.
Ce sera une opportunité pour lui de se racheter et de montrer ses compétences sur cette nouvelle épreuve.
JO PARIS 2024, ONZE ATHLÈTES AFRICAINS QUALIFIÉS POUR LES DEMI-FINALES DU 100M
Le sprinter botswanais Letsile Tebogo, vice-champion du monde 2023 du 100 mètres à Budapest a terminé deuxième de sa série en 10’01 secondes. Il est l’un des grands espoirs africains de remporter une médaille en athlétisme.
Dakar, 3 août (APS) – Onze athlètes africains ont validé, samedi, leurs tickets pour les demi-finales du 100 mètres, aux Jeux olympiques de Paris.
Les demi-finales du 100m sont prévues, dimanche à partir de 18h05 GMT.
Le sprinter botswanais Letsile Tebogo, vice-champion du monde 2023 du 100 mètres à Budapest a terminé deuxième de sa série en 10’01 secondes. L’Athlète de 21 ans est aussi aligné pour le 200 mètres. Il est l’un des grands espoirs africains de remporter une médaille en athlétisme.
Le Camerounais Emese, avec un chrono de 9.98 secondes, a franchi , la ligne d’arrivée, de sa série en deuxième position. Le médaillé d’argent, lors des Championnats d’Afrique de la discipline tenue à Douala au Cameroun a été devancé de peu par l’Américain Kenneth Bednarek, l’un des grands favoris de ce 100 mètres.
Le reste des athlètes est composé de trois Sud-africains Akani Simbine, Shaun Maswanganyi et Benjamin Richardson, de deux Nigérians Favour Ashe, Kayinsola Ajayi,
Deux Ghanéens Benjamin Azamati-Kwaku, Abdul-Rasheed Saminu, un Libérien Emmanuel Matadi, et le Kényan Ferdinand Omanyala, sont toujours dans la course aux médailles.