Genève, 19 avr 2015 (AFP) - Des herbicides sont la cause privilégiée par les experts pour expliquer la maladie mystérieuse qui a tué subitement 18 personnes dans le sud-ouest du Nigeria, a indiqué dimanche l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
"L'hypothèse actuelle est que des herbicides sont la cause" de la maladie, a expliqué un porte-parole de l'OMS, Gregory Hartl, dans un tweet. Il n'a pas précisé comment ces herbicides auraient empoisonné les malades.
Les tests effectués jusqu'à présent n'ont pas décelé de trace d'infections bactériennes ou virales, comme les virus Ebola et de la fièvre jaune, a-t-il ajouté. Les tests ont été réalisés par un laboratoire au Nigeria, a précisé M. Hartl, soulignant que ce pays dispose de "très bon laboratoires".
Cette maladie apparue au début de la semaine a tué 18 personnes dans la ville d'Ode-Irele, dans l'Etat d'Ondo, dans le sud-ouest du Nigeria, selon les autorités nigérianes.
Le porte-parole de l'Etat, Kayode Akinmade, l'avait qualifiée samedi de "mystérieuse". Les symptômes en sont des maux de tête, des pertes de connaissance et de poids, des troubles de la vue, suivis de la mort dans les 24 heures.
Ebola, une fièvre hémorragique d'origine virale, a fait plus de 10.600 morts essentiellement dans trois pays d'Afrique de l'Ouest : Liberia, Sierra Leone et Guinée depuis début 2014 mais a globalement épargné le Nigeria.
LA RÉBELLION NE PARAPHE PAS L'ACCORD DE PAIX D'ALGER
Bamako, 19 avr 2015 (AFP) - La rébellion à dominante touareg a refusé de parapher, en l'état, l'accord d'Alger pour la paix dans le nord du Mali, malgré les pressions de la communauté internationale qui continuait dimanche à exhorter les protagonistes à tous venir le signer le 15 mai à Bamako.
La médiation internationale conduite par l'Algérie a invité samedi toutes les parties à signer "l'accord pour la paix et la réconciliation" lors d'une cérémonie le 15 mai à Bamako, au terme de discussions entamées le 15 avril à Alger.
En dépit du refus de la rébellion à dominante touareg de parapher l'accord, le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a insisté dimanche sur sa signature le 15 mai "avec le soutien de la communauté internationale et la participation de tous les acteurs maliens", y voyant "une nouvelle page de l'histoire de ce pays".
"Dans les accords internationaux, on prévoit le paraphe qui indique que la négociation est terminée, alors que la signature marque le début de la mise en oeuvre", a-t-il expliqué, selon un communiqué publié par l'Agence de presse algérienne (APS).
"Nous avons eu le courage à Alger de prendre nos responsabilités face à la médiation internationale élargie aux USA", a déclaré pour sa part sur son compte Twitter un porte-parole de la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA, rébellion), en évoquant le refus de parapher l'accord.
Dans un message en arabe publié sur son compte Facebook, ce porte-parole fait état de "menaces" à l'encontre de la CMA, assurant que celles-ci ne feront que "renforcer l'adhésion du peuple de l'Azawad à sa cause", en référence à l'appellation du nord du Mali par les rebelles.
Un autre porte-parole de la CMA, Moussa Ag Assarid, joint par l'AFP dimanche, a affirmé que la rébellion avait "pris acte du communiqué de la médiation internationale" sur la signature le 15 mai à Bamako, précisant qu'elle ferait connaître sa position après le retour de la délégation à Alger.
Selon une source occidentale proche du dossier, les rebelles ont demandé, pour parapher le texte comme l'ont déjà fait le 1er mars le gouvernement et les groupes qui le soutiennent, une réouverture des discussions sur son contenu, exigence jugée inacceptable par Bamako et les représentants de la communauté internationale.
La CMA avait annoncé le 14 avril l'envoi d'une délégation à Alger "afin d'exposer, de vive voix, aux acteurs de la médiation internationale les raisons qui ne lui permettent pas de parapher le document", rappelant "les réserves pertinentes remises à la mission internationale, le 17 mars".
Parmi les revendications présentées lors de cette rencontre dans son bastion de Kidal (nord-est) figuraient la "reconnaissance officielle de l'Azawad comme une entité géographique, politique et juridique", la création d'une assemblée interrégionale couvrant cette zone, et un quota de "80% de ressortissants de l'Azawad" dans les forces de sécurité.
DES AFFRONTEMENTS INTERCOMMUNAUTAIRES FONT AU MOINS 23 MORTS DANS LE CENTRE DU NIGERIA
Lagos, 19 avr 2015 (AFP) - Des affrontements entre communautés de pêcheurs et éleveurs ont fait en deux jours au moins 23 morts, dernières victimes en date de ce type de violences récurrentes dans le centre du Nigeria, a annoncé dimanche la police.
"Quelque 23 corps ont été retrouvés à la suite de l'affrontement entre les communautés d'Ologba et Egba dans le district d'Agatu", dans l'Etat de Benue, a déclaré un porte-parole de la police de l'Etat, Austin Ezeani.
Plusieurs villageois ont également été blessés dans le conflit portant sur la propriété d'un étang, a-t-il ajouté. Des médias locaux quant à eux font état de 45 à 60 morts. Les violences entre les communautés voisines ont éclaté vendredi et se sont poursuivies jusqu'à samedi, selon le porte-parole.
La police a été déployée dans la zone, qui "a retrouvé le calme", a assuré M. Ezeani. Il a ajouté que les habitants d'Egba accusaient en outre les villageois d'Ologba d'avoir aidé des éleveurs de l'ethnie fulani qui les ont attaqués le mois dernier, tuant 82 personnes.
"Les gens d'Egba pensent que les éleveurs fulani n'auraient pas pu pénétrer dans leur communauté sans passer par Ologba. Ils sont persuadés que des villageois d'Ologba ont facilité l'attaque des Fulani", a dit le policier.
Des centaines de Nigérians ont été tués dans des attaques et leurs représailles entre agriculteurs et éleveurs fulani au cours des dernières années dans l'Etat de Benue, illustrant des conflits aussi fréquents que meurtriers dans le pays autour des droits de pâturage.
L'Etat de Benue se situe au centre du Nigeria, dans la zone où se mêlent les populations du Sud à majorité chrétien et du Nord à dominante musulmane, une cohabitation qui débouche régulièrement sur des violences entre communautés ethniques et religieuses.
Ces affrontements diffèrent de l'insurrection menée depuis six ans par les islamistes du groupe Boko Haram qui, selon un bilan de l'ONU, a fait, avec sa répression, 15.000 morts et des milliers de déplacés.
DAKAR ABRITE UN FESTIVAL INTERNATIONAL DE LANGUE ET DE CULTURE, SAMEDI
Dakar, 19 avr (APS) – Le président du Centre de dialogue culturel et scientifique ATSA, Mesut Gökcan Ates, a annoncé dimanche la tenue au Sénégal d’un Festival international de langue et de culture qui aura lieu le 25 avril au grand Théâtre de Dakar.
‘’C’est un festival qu'on organise depuis 13 ans à travers le monde et ce sera la première fois qu’il se tient au Sénégal’’, a-t-il précisé autour d’un diner avec quelques journalistes de la presse en ligne au Sénégal.
Il a indiqué que le dialogue est la règle essentielle pour la paix universelle. ‘’En développant le dialogue entre les personnes, les communautés et les Nations, les préjugés et la peur laissent place à la paix et la fraternité’'', a dit M. Ates.
Selon lui, ce festival qui réunit quelque 140 pays, verra le Sénégal, en compagnie de l’Allemagne et de la Roumanie, être les figures de proue de cette manifestation dans leur pays respectif.
‘’Le Sénégal recevra 23 délégations sur 140’’, a encore ajouté le président de Atlantique Turquie Sénégal Association (ATSA) pour le dialogue culturel entre les civilisations.
‘’Le monde n’est pas peuplé que de gens qui lui ressemble. C’est notre maison à nous tous fussions nous être de différentes langues, religions et cultures’’, a-t-il relevé au cours de la discussion, indiquant qu’en tant qu’être humain, nous avons besoin plus que jamais d’amitié.
‘’Nous sommes tous voisins les uns les autres dans ce monde et, connaître celui qui vit à côté de nous et établir le dialogue avec lui est le premier pas vers l’amitié et le premier pas vers la paix’’ a souligné Mesut Gökcan Ates.
Il a aussi informé qu’une conférence de presse se tiendra mercredi 22 avril à 14 heures au rectorat de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) pour présenter le programme du festival international de langue et culture.
UN MARATHON INFORMATIQUE POUR RÉINVENTER L’ACCÈS À L'INFORMATION
Abidjan, 19 avr 2015 (AFP) - Massés pendant 48 heures à Abidjan derrière leurs écrans, une trentaine de jeunes développeurs informatiques, d'ingénieurs et de journalistes se livrent bataille durant un "hackathon", sorte de marathon numérique.
Leur but : faciliter l'accès à l'information en Afrique. Des dizaines d'ordinateurs portables éclairent la petite salle de l'Ecole supérieure africaine des technologies et des communications, basée dans la capitale économique ivoirienne, où se tient la compétition.
Faute de climatisation, les débats se tiennent dans une chaleur étouffante. "On va créer un réseau social pour permettre à chaque citoyen de produire de l'information", lance un jeune développeur.
"Ca existe déjà, ça s'appelle Twitter", lui répond, tranchant, un membre du jury. Sept équipes s'affrontent au "hackathon" - contraction de "hack" (pirater en anglais) et de "marathon" - abidjanais, démarré vendredi et qui s'achèvera dimanche soir.
La trentaine de concurrents a deux jours pour bâtir et affiner ses concepts. La maturation se fait de jour comme de nuit. L'objectif de l'évènement est "d'identifier et d'accompagner des projets qui vont permettre un meilleur accès à l'information dans les pays africains", décrypte Pierre Jalladeau, directeur Afrique de l'agence française de coopération média CFI, co-organisatrice du hackathon.
Car l'Afrique est à la traine des autres continents en terme d'utilisation d'internet et des réseaux sociaux. Même si des pays comme le Maroc, l'Egypte, l'Afrique du sud ou le Kenya, avec la moitié de leur population connectée, sont à des années lumière de la Sierra Leone, de la Somalie ou du Niger, où ce quota est inférieur à 2%, d'après le site internetworldstats.com.
"Analphabétisme" ou "analphabétisme numérique", "délestages" électriques, "faiblesse de la bande passante"... les raisons "objectives" expliquant ce retard sont nombreuses, note Philippe Couve, un expert en charge du hackathon ivoirien.
En Côte d'Ivoire, seules 200.000 personnes sur 23 millions d'habitants disposent d'un abonnement internet, selon le gouvernement ivoirien. Même si les cybercafés pullulent dans les principales villes du pays. - 'Rattrapage' -
Plus d'1,7 million d'Ivoiriens ont ainsi un compte Facebook, affirme Orange, le premier opérateur téléphonique de Côte d'Ivoire. Notamment du fait du très fort taux de pénétration du téléphone portable, évalué à 90% de la population.
"En Afrique on est passé directement au portable, sans passer par le filaire. Ces innovations, ces ruptures vont nous permettre de rattraper un certain retard", estime Mohamed Diaby, blogueur influent et directeur d'une agence web ivoirienne.
D'après une étude de McKinsey, près de 170 millions d'Africains sur le milliard d'habitants du continent utilisaient internet fin 2013, pour environs 70 millions de smartphones. Ils seront 600 millions d'internautes en 2025, dotés de 360 millions de smartphones, prévoit le cabinet de conseil, qui évalue à 300 milliards de dollars les gains de productivité générés par ces avancées technologiques en Afrique.
Les hackathons, que CFI, en partenariat avec l'ONG Code for Africa, organisera ensuite dans onze autres villes du continent, dont Dakar, Antananarivo, Johannesburg, Douala, ou encore Tunis, se veulent un instrument de cette croissance numérique.
Au "hackaton" d'Abidjan, deux jeunes filles planchent sur un service de messagerie vocale qui délivrerait un flash info de 50 secondes en langues locales. Un moyen selon elles de contourner l'illettrisme et le manque d'accès à la presse papier dans certains villages, deux obstacles majeurs à la diffusion de l'information en Côte d'Ivoire.
Moins orienté "news", le projet "Ivoire infos" aspire à contrôler la transparence des appels d'offre dans les travaux publics en Côte d'Ivoire, un secteur en pleine expansion mais à la transparence critiquée par la société civile.
"Nous voulons créer une application pour pouvoir mieux suivre la façon dont l'Etat gère l'argent public", explique Henri Aka, ingénieur informaticien et leader du projet, pour qui le manque de "suivi" des appels d'offre constitue un "frein à l'émergence" de son pays.
A terme, les meilleurs candidats pourraient rejoindre l'un des cinq incubateurs de Côte d'Ivoire, où deux nouvelles pépinières siglées NTIC, devraient prochainement voir le jour.
Ils pourront surtout postuler pour un grand concours panafricain, organisé fin novembre par CFI et Code for Africa, aux perspectives alléchantes. Les lauréats se partageront alors un million de dollars.
L’ATTAQUE DU CAMPUS DE GARISSA EST ‘’INACCEPTABLE’’
Les déclarations du curé de l’église Saint Dominique de Dakar, le frère Maurice Bonfils Yelomé
Dakar, 19 avr (APS) - Le curé de l’église Saint Dominique de Dakar, le frère Maurice Bonfils Yelomé, a qualifié d’ ''inacceptable'' et d’ ''intolérable'' l’attaque terroriste du campus universitaire de Garissa, au Kenya, au cours de laquelle 147 étudiants ont été tués le 2 avril dernier, se demandant ''comment l’Afrique peut se développer, si on tue en masse ceux qui sont censés assurer son avenir''.
‘’Comment pouvons nous nous développer en Afrique, si on tue en masse et de cette manière, [les étudiants] qui sont censés se former pour développer nos pays? , s’est il interrogé, samedi au cours d'un rassemblement.
‘’Tout cela montre que ces tenants des extrémismes sont des fous et des bandits qui prennent le prétexte religieux comme masque. Et c’est pour cela qu’il faut dénoncer ces actes-là’’, a ajouté le curé après la procession silencieuse, en hommage aux 147 étudiants tués, organisée par la Coordination des étudiants catholique de Dakar (CECD) en collaboration avec l’Université Cheikh Anta Diop.
Une centaine de personnes ont marché, après la messe de 18 heures 30, bougie à la main, de l’église St Dominique, jusque devant la Direction du Centre des œuvres universitaire de Dakar (COUD) ‘’où 147 bougies ont été déposées à l’honneur des 147 étudiants'', selon le frère Maurice Bonfils Yelomé.
Chaque bougie était ornée d’une boîte sur laquelle l’on pouvait lire le slogan: ‘’Je suis Kenyan’’.
M. Yelomé a indiqué qu’’’ il y a une folie meurtrière, une haine viscérale gratuite qui se manifeste’’ et qui est inacceptable, soutenant qu’il ne s’agit pas ''d’une affaire des chrétiens, mais de tous les êtres humains''.
Selon lui, les gens qui font des actes terroristes en prétextant l’islam ‘’ne sont pas dans la vérité par rapport à l’islam’’, soulignant que ‘’seul l’amour est capable de changer ce monde et que la haine ne peut que le détruire’’.
Le curé a en outre blâmé le meurtre de 12 chrétiens au large de la Méditerranée.
En effet des médias européens ont rapporté que la police italienne a arrêté jeudi dernier quinze migrants de nationalités ivoirienne, malienne et sénégalaise, soupçonnés d'avoir jeté à la mer une douzaine de leurs compagnons d'infortune de confession chrétienne originaires du Nigeria et du Ghana, pendant la traversée. "L'origine de leur conflit était lié à la religion’’, selon la police.
‘’Les quinze meurtriers présumés ont été arrêtés et incarcérés sous l'inculpation d'’’ homicide aggravé par la haine religieuse ‘’, selon RFI.
Fatick, 19 avr (APS) - Le Comité régional de solidarité des femmes pour la paix en Casamance (USOFORAL) plaide une participation des femmes en tant que médiatrices dans la gestion du conflit en Casamance pour un retour définitif de la paix, a déclaré dimanche à Fatick, son porte-parole, Ngara Diouf.
''Nous ne voulons plus de ce conflit qui a duré 33 ans. L'appel que je lance concerne tous les médiateurs et ceux qui tournent autour de ce conflit", a-t-elle dit.
S'exprimant au terme d'une marche devant les locaux de la gouvernance, Mme Diouf, également présidente de l’ONG Femme-Enfant-Environnement (FEE), a lancé "un cri de cœur à l'Etat pour dire que les femmes veulent la paix".
Selon elle, "les femmes sont les victimes, les femmes sont les mères. La Résolution 1325 du Conseil de sécurité des nations unies stipule que les femmes ont le droit de participer à la gestion des conflits".
"Les femmes ont droit à la paix et ont le droit d'être médiatrices. Et c'est ce que nous réclamons aujourd'hui. Les femmes sont sorties massivement pour montrer qu'elles n'ont plus envie de se taire et que l'affaire de la Casamance concerne tout le Sénégal", a martelé Ngara Diouf.
Le Comité des femmes pour la paix en Casamance exhorte le gouvernement à mener ''des actions qui feront taire ce conflit à jamais" a-t-elle indiqué, précisant que pour cela, "les femmes de Fatick resteront debout" pour la paix dans cette région.
MANKEUR NDIAYE ENTAME LUNDI UNE VISITE OFFICIELLE À VARSOVIE
Dakar, 19 avr (APS) - Le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, Mankeur Ndiaye, entame, lundi, une visite officielle, en Pologne, à l’invitation de son homologue, Grzegorz Schetyna, annonce un communiqué reçu à l’APS.
Au cours de son séjour de quatre jours, M. Ndiaye participera, à Katowice, mardi, au Congrès économique européen en qualité d’invité d’honneur. Il introduira le thème : ‘’Investir au Sénégal et en Afrique’’, selon la même source.
A l’image du Sommet de Davos, le Congrès économique de Katowice, est organisé par le ministère polonais des Affaires étrangères et de l’Economie en collaboration avec les plus grandes entreprises du pays. Il réunit chaque année la communauté économique mondiale, notamment celle de l’Europe centrale, mentionne le communiqué.
Il signale que le ministre rencontrera, entre autres, des investisseurs polonais intéressés par l’agriculture, les mines et le développement des infrastructures au Sénégal.
Avec le ministre polonais des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye ‘’examinera les voies et moyens d’élargir et de renforcer la coopération entre les deux pays par la conclusion de différents accords’’.
Il est prévu dans le programme du ministre une rencontre avec le président du Parlement polonais et le vice-Premier ministre, ministre de l’Economie.
Le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur procèdera, enfin, à l’inauguration officielle du siège de l’ambassade du Sénégal à Varsovie.
L'athlète jamaïcain Usain Bolt, champion olympique, a remporté la course du 100 mètres à Rio, lors de la course de Gala "Mano a Mano", avec un temps de 10,12 secondes.
Momar Seyni Ndiaye, enseignant-formateur, éditorialiste à SenePlus et directeur de publication du quotidien Le Témoin, est au micro de Baye Omar Guèyede Sud FM dans l'émission Objection. Écoutez!