AMICAL CONTRE LE MEXIQUE LE 30 MAI : le Sénégal présentera son équipe A’
Comme face à la Colombie, le Mexique se contentera de l’équipe nationale A’ du Sénégal pour préparer la Copa America prévue en juin au Chili
En lieu et place des poulains d’Aliou cissé, ce sera l’équipe A’ du sénégal que les Tricolores vont croiser, le samedi 30 mai prochain au stade victor Manuel zoque de Mexico. la fsf qui a reçu la demande a donné une suite favorable aux dirigeants mexicains. À la seule différence que pour cette rencontre, le sénégal sera dans l’impossibilité de faire voyager son équipe A à une distance de 8618 km qui séparent dakar de Mexico.
«Non seulement la distance à parcourir est énorme, mais aussi cette date n’est pas propice pour la libération des joueurs. Parce que le Sénégal sera de plain-pied dans la préparation de son premier match contre le Burundi, comptant pour la 1ère journée des éliminatoires de la CAN-2017. C’est pour toutes ces raisons que nous avons décidé de faire voyager l’équipe A’ pour répondre à l’invitation du Mexique», apprend-on du côté de la fsf. les deux pays se sont croisés en amical, le 17 mars 2012, à san francisco aux etatsunis. si le Mexique avait présenté son équipe première, le sénégal a, pour la circonstance, déplacé une équipe à ossature locale, dirigée par joseph Koto. la rencontre s’était soldée par un score de 2-1 en faveur des Mexicains
MATCH AMICAL DU 30 MAI : Quel coach pour les lions A’ ?
La Fédération sénégalaise de football qui déplacera l’équipe A’ pour le match Mexique / Sénégal du 30 mai prochain à Mexico, va désigner l’entraîneur qui conduira ce groupe pour cette rencontre amicale.
si la fédération sénégalaise de football attendra jusqu’au vendredi pour se prononcer sur la question, en marge de sa réunion du comité exécutif (coMeX), le directeur technique national lui pense que l’équipe A’ n’existe pas dans l’organigramme de la fédération. «On va essayer de faire en sorte qu’on présente une équipe qui ne sera pas loin de l’équipe A. On fera comme lors du match amical contre la Colombie, c’est-àdire amener quelques joueurs de l’équipe olympique en y greffant quelques professionnels expatriés. Mais, l’équipe A’ n’existe pas donc on ne peut pas parler de cette catégorie », a-t-il dit. pour l’entraîneur qui dirigera cette sélection, Mayacine Mar a fait dans le clair obscur. «On ne sait pas celui qui dirigera cette équpe. Je ne saurai vous dire si c’est Aliou Cissé ou un autre entraîneur. Comme je vous l’ai dit, il n’y a pas d’équipe A’ dans l’organigramme de la FSF. Donc, il ne peut pas y avoir un entraîneur pour cette catégorie. Les gens ont tendance à appeler cette équipelà A’. En réalité, ce n’est pas l’appelation appropriée parce qu’elle n’existe pas. Mais le moment venu, on communiquera sur la question. C’est à partir de là que vous saurez le nom de l’entraîneur qui va conduire l’équipe au Mexique. Aujourd’hui, je ne peux rien vous dire allant dans ce sens», a conclu le dtn.
Ndef Leng : Remise drapeau ce matin
En prélude au gala de lutte simple qu’elle organise le vendredi 17 avril au stadium Iba Mar Diop, l’Ong Ndef Leng tient une conférence de presse ce mardi 14 avril à l’hôtel Fleur de Lys du Plateau, à partir de 10 heures. À l’occasion, il y aura une remise du drapeau Aimé Soudame Sène, PDG de Hertz Sénégal.
Les amateurs de lutte simple endeuillés
L’Association des amateurs de lutte simple, dont Doudou Faye est le président, est endeuillée. Ousmane Ndour, qui a saisi la rédaction de Sunu Lamb, informe qu’Ousmane Sarr est décédé samedi dernier, suite à un accident de travail. L’enterrement a eu lieu dimanche à Faoye. Sunu Lamb présente ses condoléances à la famille du défunt ainsi qu’aux amateurs de lutte.
Lac 1 remporte la victoire sur Tapha Guèye…
Avant le coup d’envoi du combat Papa Sow / Lac 2, les deux anciens lutteurs, Moustapha Guèye et Lac 1, ont tous les deux donné les derniers conseils à leurs poulains respectifs. Mais au finish, Lac 2 est venu à bout de Papa Sow. Ainsi, Lac 1 a battu Tapha Guèye.
… Qui rend visite à Papa Sow
Au lendemain de sa défaite devant Lac 2, Papa Sow a reçu la visite de Tapha Guèye. Le directeur technique de l’écurie Fass était certainement venu remonter le moral à son poulain. Et le Puma de Fass a dû bien apprécier.
Ngagne Diagne se muscle
Le chroniqueur de lutte à la RFM et TFM, Ngagne Diagne, s’est donné à coeur joie dans la salle de musculation de l’Olympique club, samedi dernier. Peut–être que la structure GFM Entertainment est en train de monter son combat. Reste à savoir contre quel adversaire.
Gris 2 inconsolable
Le jeune Fassois était inconsolable dimanche dernier au stade Demba Diop après la chute de son co-équipier Papa Sow. Le jeune frère de Gris Bordeaux avait du mal à réaliser ce qui venait de se passer. Gris 2 a versé beaucoup de larmes
Baye Mandiaye / Djiné Mory en Gambie
Le promoteur gambien, Lamine Thiam, organise un grand gala de lutte avec frappe le 19 avril 2015. Le grand combat opposera Hoyontan (Gambie) à Yakhya Jammeh (Gambie). En combat spécial, Baye Mandiaye de l’école Balla Gaye croisera le fer avec Djiné Mory de la Gambie. Ce gala aura lieu à l’Independance stadium de Bakau.
Wouli Wouliwaat / Amadou Camara, le 19 avril
«Le promoteur Aziz Ndiaye a ficelé mon combat contre Amadou Camara de l’écurie Bathie Séras. Il aura lieu le 19 avril prochain à Kaolack, en lever de rideau de Bruce Lee / Baye Mandione», a informé hier Wouli Wouliwaat de l’écurie Baol.
Lac 2 et Papa Sow n’ont pas écopé d’avertissement
L’arbitre Babacar Diop n’a pas donné d’avertissement à Papa Sow de Fass et à Lac de Guiers 2 de Walo. Il s’est juste limité à les réprimander verbalement. Comme quoi, les deux lutteurs peuvent s’assurer que leur reliquat au CNG va leur revenir entièrement.
Le Pds crie à…
Le Parti (ex) «dolécratique» sunugaalien (Pds) crie à l’usurpation. Selon les libéraux, un constat général se dégage : «depuis plus de 3 ans après son élection, (SMS) n’inaugure que les projets de (Wax waxeet Wade), ne pose que des premières pierres et repeint les projets de (3W) aux couleurs de son parti pour se les approprier». La Commission communication du Pds en veut pour preuves, «les bus réceptionnés par (SMS) et peints aux couleurs de l'Apr». C’était le 4 avril dernier, jour de la célébration de la fête de l’indépendance. Selon Mayoro Faye & Cie, ils «ont été commandés et achetés en 2011 sur instruction de (3W). La convention financière a été signée et négociée par (Rimka)».
…L’usurpation
Ils soulignent que «les bus devaient être livrés en 2012. Christian Salvy alors Dg de (Ndakaaru demul dikkul) avait même négocié les spécificités techniques». Pour faire plus proche encore, les libéraux citent «la centrale électrique de Kahone que (SMS) a inaugurée», hier. Ils soutiennent qu’elle «a été financée et construite dans le cadre du Plan Takkal avant son élection» (de SMS). «C'est là également un projet lancé par (Rimka)», disent les libéraux qui renseignent que cette centrale «était déjà inaugurée en 2008 avec 60 mégawats de la Banque islamique de développement (Bid)». En début 2010, renseignent-ils, «un autre financement a permis une extension achevée en 2013. (SMS) attend 2015 pour l’inaugurer. Qu’est-ce qu’il cherche ?» Question des libéraux ?
Asphyxie au gaz
C’est maintenant clair au sujet de nos trois comptriotes décédées la semaine dernière au Maroc dans leur appartement. Souleymane Jules Diop, le Secrétaire d’Etat aux Sunugaaliens de l’extérieur, renseigne que «selon les conclusions de l'enquête dirigée par le Directeur de la Police judiciaire du Maroc, et suivant les rapports des médecins légistes, de la Police judiciaire et de la Police scientifique du Maroc, Seynabou Ndoye, Adja Arame Guèye et Sophie Guèye trouvées inertes dans la cuisine de leur appartement à Casablanca, au Maroc, le 7 avril au matin, sont décédées de manière accidentelle, par asphyxie suite à une intoxication au gaz». L’officiel sunugaalien renseigne par ailleurs s’être entretenu, en fin de matinée hier avec les parents des victimes pour les informer des résultats de l’enquête et de l'autopsie. Il leur a, en outre, réitéré le soutien de SMS et les condoléances attristées du Premier ministre Momo Dionne et de l'ensemble du gouvernement. SJD informe que l’arrivée des corps des trois victimes est prévue le mercredi à 2 heures du matin, par vol de la compagnie Royal Air Maroc.
Apr de Zig
L’Apr Ziguinchor - par le biais de Vieux Ansou Sané, Secrétaire général de l’Anrac - s’est glorifiée hier, du ralliement de trois responsables de l’Union des centristes du Sunugaal (Ucs) à l’Apr. «Le fait marquant de ce week-end politique reste la vague de ralliement de responsables et de militants de l’Ucs des quartiers de Boucotte, Kadior, Lyndiane Coboda et Soucoupapaye, avec à leur tête, Atab Soumaré, ancien attaché de cabinet d’Abdoulaye Baldé. Boubacar Gassama, Conseiller municipal de l’Ucs, Balla Diallo, responsable de l’Ucs à Lyndiane Coboda et Madame Fatou Kiné Gassama, responsable des femmes de l’Ucs à Soucoupapaye font aussi partie de cette vague de démissionnaires», a indiqué Vieux Ansou Sané de la cellule de communication de l’Apr à Ziguinchor, dans un communiqué. Il poursuit en indiquant que «d’autres responsables et des Conseillers municipaux de l’Ucs ont fini de prendre contact avec le Ministre Benoît Sambou et devront incessamment annoncer leur ralliement à l’Apr».
Transhumance
Ce proche de Benoît Sambou d’aller plus loin sur ces éventuels ralliements de proches d’Abdoulaye Baldé. «Ils se disent tous convaincus des actions et des initiatives du chef de l’Etat en faveur de la Casamance et déçus par le management et les méthodes de gestion de la Mairie et de l’Ucs par l’actuelle Maire Abdoulaye Baldé». Seulement, cité parmi les transhumants par le camp de Benoîit Sambou, l’ex-chef de cabinet du maire Abdoulaye Baldé n’a pas mis du temps pour démentir cette information. «C’est archifaux, je n’ai pas quitté l’Ucs pour l’Apr», dément, le responsable de l’Ucs à Boucotte, Atab Soumaré qui souligne : «Benoît Sambou m’a reçu dans le cadre du décès du ministre Landing Sané parce que ce sont les enfants du défunt qui lui ont remis mon numéro compte tenu de mes relations avec leur père». Visez la suite
Démenti
«C’est la Présidence qui doit prendre en charge le rapatriement de la dépouille de Landing Sané et donne également un million et une tonne de riz pour les funérailles», précise, M. Soumaré que nous avons câblé. Un autre qui a également apporté un démenti à ce communiqué des Apéristes de Ziguinchor, c’est bien le conseiller municipal de l’Ucs, Boubacar Gassama. Joint par téléphone, il précise n’avoir jamais rejoint l’Apr. «C’est faux, je suis et je reste jusqu’à preuve du contraire à l’Ucs. Si je dois rallier l’Apr, je ne le ferai pas entre quatre murs. Tout Ziguinchor sera au courant de ça. Sachez que ce n’est pas vrai», rejette, M. Gassama, responsable politique Ucs à Kadior (Ziguinchor). Et face à cette situation, l’on se demande à quel jeu jouent aujourd’hui les responsables de l’Apr et ceux de l’Ucs à Ziguinchor ?
Coupure d’électricité
Après avoir inauguré la nouvelle centrale électrique de Kahone en soutenant que cette centrale va «nous permettre de disposer, d’une part, de suffisamment de puissance pour satisfaire la demande et d’autre part, de réserves suffisantes pouvant être exportées», Kor Marième ne se doutait pas de la mauvaise surprise qui l’attendait. Eh bien! juste après cette inauguration, SMS s’est rendu à Sing Sing pour la pose de la première pierre de l’Université Baye Niasse. Figurez-vous qu’au beau milieu du discours de la mairesse de Kaolack, l’électricité s’est éclipsée pendant une dizaine de minutes. Et pourtant, à Kahone, SMS avait invité les travailleurs l’électricité à ne plus couper le courant quand ils sont en grève parce disait-il «cela entraîne des conséquences graves», avant de souligner que «le (Sunugaal) émergent qu’on veut par l’électricité». Hélas, son message est tombé dans l'oreille de sourd puisque 2 heures plus tard, il sera privé d’électricité.
SMS et le «mbaxal»
Le chef de l’Etat a révélé, hier, ses talents d’humoriste. Et ce ne sont pas ceux qui étaient à Kahone pour le lancement de la centrale électrique qui diront le contraire. En effet, parlant de la commercialisation de l’arachide, Kor Marième Faye s’est montré très taquin. «L’arachide peut servir à beaucoup de choses. Vous n’êtes pas sans savoir que sans «noflaye», il n’est pas possible de cuisiner un ‘mbaxalu Saloum’ ou du ‘Mboum’. Donc, il faut préserver ce secteur»,a dit SMS. avant d’ajouter : «Je vais m’arrêter là sinon mes cousins (à plaisanterie) vont me déshabiller». Des mots qui ont fait rire à l’assistance qui en avait besoin puisque tenaillée par la chaleur.
SMS menace
Le président de la République a encore mis en garde ses camarades. Mais cette fois-ci c’est dans le domaine de la bonne gouvernance. Pour SMS qui présidait, hier, le forum économique de Guinguinéo, on ne peut pas développer un pays sans Etat de droit. De ce fait, il lance à ses collaborateurs : «Quand on vous confie des fonds, il faut les gérer sinon vous allez rendre compte». Il faut relever que le grand absent à ce forum économique et dont tout le monde parle de son rapprochement avec SMS, c’est sans nul doute, Jules Ndéné Ndiaye. Est-ce une stratégie politique ou bien est-ce par mépris ? Wait and see.
Thierno Abibou Daha
Ce mardi 15 avril marque le 7e anniversaire de la disparition de Thierno Abibou Mountaga Daha Tall, celui-là même qui avait succédé à Thierno Mountaga Tall. Le défunt Khalife de la famille omarienne était considéré comme le grand chantre dialogue islamo-chrétien. Thierno Abibou Daha était d’ailleurs un grand ami de feu le Cardinal Hyacinthe Thiandoum, de Monseigneur Théodore Andrien Sarr et surtout de l’abbé Jacques Seck. Des prières seront dites aujourd’hui en sa mémoire. Et pour marquer ce 7e anniversaire, une grande cérémonie religieuse lui sera dédiée le 2 mai prochain, à Thiès, au quartier Mbambara.
Dg du Coud
Revenons sur le Grand prix de course hippique dimanche à Thiès doté du drapeau de la communauté universitaire catégorie course hippique dont Cheikh Oumar Anne le Directeur général du Centre et des œuvres universitaires de Dakar (Coud), était le parrain. Et c’est pour repréciser le sens des propos qu’il avait tenus au sujet de la réduction du mandat présidentiel. Selon lui, «le débat sur le mandat présidentiel devrait être clos avec la décision de (SMS) d’aller vers un référendum en 2016». Il dénonce d’ailleurs, la «volonté de quelques manipulateurs qui voudraient régler des problèmes avec cette question en considérant qu’ils peuvent s’y appuyer pour créer les conditions de leur accession au pouvoir». Mais prévient-il, «ça ne passera pas. Ils veulent nous contraindre à poser le débat. Le débat ils peuvent le poser autrement, mais pas sur la question du respect par (SMS) de son engagement».
Dg du Coud (bis)
A l’en croire, cette question-là, dit-il, est définitivement réglée. «Maintenant dans toutes les démocraties du monde, des questions de ce genre peuvent se poser, les gens en débattent sereinement en défendant peut être même des positions partisanes, politiques, mais il ne faut pas embarquer le peuple (sunugaalien) dans un débat pour dire que le président respecte ou pas son engagement. Le président a clos le débat». Maintenant, indique le responsable apériste de Ndioum : «C’est un autre débat qu’il faut poser, posons-le et débattons sur la pertinence d’un mandat de 5 ans ou de 7 ans, mais pas impliquer le président dans ces genres de combat. Allons au référendum. Si le référendum ne leur convient pas parce qu’ils savent qu’ils ne sont pas majoritaires dans ce pays, mais tant pis pour eux, il ne faut pas en vouloir au camp du président qui est majoritaire».
Appels entrants…
La polémique sur la hausse ou non des appels entrants internationaux n’est pas loin de s’estomper. Elle rebondit même. Après les révélations de Rfm sur cette hausse, c’est l’Etat qui était monté au créneau lors du dernier Conseil des ministres pour dire, par la voix de Yaya Abdoul Kane, ministre des Postes et télécommunications qu’«aucune mesure d’ordre juridique, économique ou technique relative à une augmentation des tarifs de communication n’a été prise». Aussitôt après la Sonatel a également démenti «formellement» toute augmentation des tarifs des clients finaux dans les pays de la sous-Région et de la Diaspora de manière générale. La Sonatel a parlé de repositionnement de ses tarifs de reversement sur les communications internationales qui ne concernent que les opérateurs.
…Le Dg de l’Artp…
L’opérateur historique a assuré que «contrairement aux rumeurs, ce repositionnement n’entraîne donc aucune augmentation des tarifs à l’international de (ses) clients finaux».
Seulement, hier, le Directeur général de l’Artp ? Abdou Karim Sall qui était l’invité de Tfm a pris le contrepied de tout le monde pour confirmer la hausse. «Nous avons appris depuis un certain temps qu’il y a eu une hausse des tarifs. En février, Artp avait saisi l’ensemble des opérateurs pour demander à ce qu’il nous soit communiqué les tarifs qui sont appliqués sur le trafic venant de l’international. Nous avons reçu des opérateurs notamment d’Orange que le tarif qui était appliqué était de 125 francs».
…Confirme la hausse
Il ajoute qu’ «à partir du 7 avril, nous avons appris qu’il y a une hausse sur ce tarif qui est appliqué de 150 francs, c'est-à-dire de 0,23 euro. Ce qu’il faut considérer par rapport à cela pour ce qui concerne les tarifs, ce sont les opérateurs qui négocient et qui fixent les tarifs. Ce n’est ni l’Etat ni le régulateur qui fixent les tarifs internationaux». M. Sall dit son étonnement que «la Sonatel parle de rééquilibrage ou de repositionnement des tarifs». Selon lui, dire dans ces conditions qu’il ne peut pas y avoir une augmentation des tarifs de l’international, le laisse prudent. «La répercussion n’est pas maîtrisée par l’opérateur en face. Sonatel ne peut pas affirmer de manière définitive qu’il ne peut pas y avoir de répercussion parce que ce n’est pas elle qui fixe les tarifs des consommateurs qui sont à l’étranger».
VIDEO
"GORÉE CINÉMA"
Festival de promotion du cinéma africain – Ouverture : le 2 mai sur la plage de l'Île avec la projection du film "Fièvres", Étalon d'or de Yennenga du dernier Fespaco
Le 2 mai 2015 s'ouvrira à Gorée la première édition du Festival Gorée Cinéma. Le but de cet événement mensuel est "de réunir tous les mois, les acteurs du cinéma africain et panafricain, afin de favoriser échanges et innovations audiovisuelles".
Organisé en partenariat avec la mairie de Gorée, ce festival choisit de faire la promotion du cinéma africain en combinant l’organisation de projections proposées à la population sénégalaise, et la mise en valeur de l'existence d'une filmographie et d'une relève artistique sénégalaise et panafricaine.
Ce seront donc principalement les œuvres de jeunes artistes et réalisateurs, dont le regard s’est penché sur le continent africain, qui seront diffusées lors de ces projections mensuelles.
"Nous accueillerons le plus souvent possible, artistes et cinéastes de talent et du monde entier, afin de favoriser l'essor de la transmission des passions et des savoirs."
"Notre ambition est de contribuer à faire de cette île, tête de proue de l'histoire de tout un peuple, un maillon fort de la création contemporaine sénégalaise et panafricaine."
La soirée d’ouverture du 2 mai 2015, accueillera le film Fièvres et son réalisateur, Hicham Ayouch, salué par l’Etalon d’or de Yennenga lors de la dernière édition du Fespaco. Elle se tiendra également en présence de son excellence Taleh Barrada ambassadeur du Royaume du Maroc au Sénégal, de Monsieur Mbagnick Ndiaye ministre de la Culture et de la Communication et de Maître Augustin Emmanuel Senghor, Maire de Gorée.
Les films des futures programmations seront le fruit d’une sélection effectué par le comité d’organisation du festival. L’inscription d’une œuvre est ouverte au public et le formulaire disponible directement sur le site www.goreecinema.com. Une fois sélectionnées, les œuvres pourraient bénéficier, en plus d'une projection publique, d'une plus large diffusion employant les nouveaux médias numériques
Gorée Cinéma se veut être un moment festif, convivial pour tous. Les projections auront lieu tous les premier samedi du mois sur la plage de Gorée et souhaitent rassembler une population aussi large que diversifiée.
"C'est aussi une scène de choix pour quiconque cherche à aller à la rencontre d'un public nouveau et éclectique…"
AU MOINS 2.000 FEMMES ET FILLETTES ENLEVÉES PAR BOKO HARAM AU NIGERIA,
Lagos, 13 avr 2015 (AFP) - Le groupe islamiste armé Boko Haram a enlevé au moins 2.000 femmes et fillettes au Nigeria depuis le début de l'année dernière, a estimé Amnesty International mardi, un an après l'enlèvement des 276 lycéennes de Chibok.
Le kidnapping, le 14 avril 2014, de 276 adolescentes du lycée de cette petite ville du nord-est du Nigeria - dont 219 sont toujours portées disparues - a suscité une émotion sans précédent à travers le monde. Mais s'il a été très médiatisé, c'est loin d'être le seul crime de ce type commis par Boko Haram, rappelle l'organisation de défense des droits de l'homme.
Amnesty affirme avoir listé 38 cas d'enlèvement de masse commis par le groupe islamiste, sur la base de nombreux témoignages, notamment de femmes et jeunes filles ayant réussi à s'échapper.
"Il est difficile d'estimer combien de personnes ont été enlevées par Boko Haram", mais "le nombre de femmes et de fillettes enlevées est sans doute supérieur à 2.000" assure Amnesty dans un nouveau rapport.
Amnesty cite une source militaire de haut rang, qui affirme que les otages de Chibok ont été séparées en trois ou quatre groupes et gardées dans différents camps de Boko Haram.
Certaines d'entre elles se trouveraient dans la forêt de Sambisa, dans l'Etat de Borno, d'autres autour du lac Tchad et dans la chaîne de montagnes qui sépare le Nigeria du Cameroun, et d'autres (environ 70) auraient été emmenées au Tchad voisin.
L'armée nigériane a déjà affirmé par le passé savoir où se trouvent les lycéennes, mais qu'une opération de sauvetage serait trop risquée. On n'a aucun signe de vie des otages depuis la vidéo diffusée en mai 2014 par Boko Haram, qui montrait une centaine de lycéennes voilées, récitant des sourates du Coran.
Le chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, a déclaré avoir converti les adolescentes qui n'étaient pas musulmanes et les avoir toutes "mariées de force".
Des femmes et les fillettes enlevées lors d'autres kidnappings de masses ont dit à Amnesty avoir été détenues dans des conditions horribles, dans des prisons surpeuplées. Elles disent avoir été mariées de force, avoir été obligées à cuisiner, à faire le ménage...
Et plusieurs d'entre elles disent avoir été violées. Selon une militante des droits de l'homme qui a rencontré 80 ex-otages, 23 d'entre elles ont été violées avant leur arrivée sur le camp ou après leur mariage forcé.
Une jeune femme de 19 ans enlevée en septembre 2014 raconte: "J'ai été violée plusieurs fois, quand j'étais dans le camps. Parfois ils étaient cinq. Parfois trois, parfois six".
"Ca a continué, pendant tout le temps où j'y étais. Ca se passait toujours la nuit (...) Certains étaient d'anciens camarades de classe de mon village. Ceux qui me connaissaient avaient tendance à être encore plus violents avec moi".
D'autres ex-otages ont affirmé avoir été obligées d'apprendre à se servir d'armes à feu et à fabriquer des bombes artisanales. L'une d'entre elles a même rapporté avoir été envoyée sur le front pour mener une attaque contre son propre village.
Selon Amnesty, pour qui Boko Haram devrait être poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité, plus de 4.000 personnes ont été tuées par le groupe islamiste l'année dernière, et au moins 1.500 personnes ont été tuées au cours du premier trimestre 2015.
NICARAGUA : SUSPICION D'EBOLA, UN EMPLOYÉ DE L'AMBASSADE US EN QUARANTAINE
Managua, 13 avr 2015 (AFP) - Les autorités sanitaires du Nicaragua ont annoncé lundi avoir placé en quarantaine un employé de l'ambassade américaine, une mesure de précaution car il aurait été en contact avec des malades d'Ebola en Afrique, ce que nie l'ambassade.
Agé de 51 ans, il s'agit d'un "fonctionnaire de l'ambassade américaine et citoyen américain, qui a confirmé avoir été dans des centres de santé où sont soignés des patients d'Ebola au Liberia", a déclaré le chef du département Epidémiologie du ministère de la Santé, Carlos Saenz, en conférence de presse.
L'ambassade américaine à Managua a confirmé par la suite, dans un communiqué, que son employé "s'est rendu récemment au Liberia", mais a nié qu'il ait été "en contact avec des patients d'Ebola".
Avant de rentrer au Nicaragua, "le fonctionnaire américain a été examiné par le Centre de contrôle des maladies situé à Atlanta" aux Etats-Unis, ce qui a permis de "confirmer qu'il ne présentait aucun symptôme de cette maladie", a ajouté l'ambassade.
Le ministère nicaraguayen de la Santé "a donné son feu vert à son retour au pays et sa reprise du travail", a aussi assuré la représentation diplomatique.
Les autorités locales ont reconnu que l'employé, dont l'identité n'a pas été révélée, ne présentait aucun symptôme et que les mesures avaient un caractère préventif. Elles ont toutefois demandé aux Etats-Unis d'"envoyer un avion avec l'équipement nécessaire pour que (cet employé) soit transféré à son pays d'origine", a indiqué Carlos Saenz.
"Nous suivons toutes les procédures nécessaires pour pouvoir garantir que cette personne soit transférée, dans les conditions requises pour ce cas, vers un hôpital de son pays d'origine", a expliqué la Première dame et porte-parole du gouvernement, Rosario Murillo, à des médias officiels.
En attendant son transfert, le ministère a décidé d'isoler l'employé, via l'installation d'un cordon de sécurité autour de son logement, tandis qu'un suivi clinique est assuré deux fois par jour.
Selon Rosario Murillo, il "a été au Liberia au cours des trois derniers mois" et est arrivé dimanche au Nicaragua. Ce pays d'Amérique centrale, l'un des plus pauvres de la région, avait décrété l'an dernier l'état d'alerte sanitaire, en raison du risque d'Ebola.
Au moins 16 sans-papiers africains avaient ainsi été placés en quarantaine, mais au final aucun cas n'a été détecté, ni ailleurs en Amérique latine.
MALALA APPELLE LE MONDE À FAIRE PLUS POUR LA LIBÉRATION DES LYCÉENNES DE CHIBOK
Lagos, 13 avr 2015 (AFP) - Malala, la jeune lauréate pakistanaise du prix Nobel de la paix, a appelé lundi les dirigeants nigérians et la communauté internationale à faire plus pour la libération des lycéennes enlevées à Chibok l'an dernier et toujours otages des islamistes de Boko Haram au Nigeria.
Presque un an jour pour jour après le kidnapping massif des jeunes filles dans un lycée du nord-est du Nigeria, on est toujours sans nouvelle de 219 d'entre elles.
Ce rapt, puis les propos choquants tenus par le chef de Boko Haram Abubakar Shekau promettant dans une vidéo de les "vendre comme esclaves" ou de les "marier de force", avaient suscité une vague d'indignation internationale.
Selon les derniers chiffres du Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) publiés lundi, près de 800.000 personnes parmi les 1,5 millions de déplacés par les violences de Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, sont des enfants.
Plus de 300 écoles ont été détruites ou gravement endommagées entre janvier 2012 et décembre 2014, avec 196 enseignants et 314 écoliers tués sur cette même période dans la région.
Les enfants du nord-est du Nigeria sont de plus en plus la cible d'enlèvements, de violences sexuelles, et de mariages forcés. Ils sont également exploités comme "armes de guerre", enrôlés de force ou utilisés kamikaze pour des attentats-suicide, toujours selon l'Unicef.
"A mon avis, les dirigeants nigérians et la communauté internationale n'ont pas fait assez pour vous aider", a déclaré Malala Yousafzai dans une lettre ouverte aux adolescentes otages, à la veille de l'anniversaire de leur enlèvement.
"Mes courageuses soeurs", écrit-elle, "ils doivent faire beaucoup plus d'efforts pour votre libération. Avec beaucoup d'autres, je fais pression sur eux pour que vous soyez libérées".
La lettre de Malala, qu'elle présente comme "un message de solidarité et d'espoir", est publiée alors qu'une série d'initiatives est prévue dans le monde pour marquer les douze mois de captivité des lycéennes, telles que des marches, prières et veillées.
Le 14 avril 2014, des combattants de Boko Haram avaient pénétré dans un dortoir du lycée de Chibok, une ville de l'Etat de Borno dans le nord-est du Nigeria où l'insurrection islamiste faisait rage depuis des années, et avaient emmené 276 adolescentes.
Cinquante-sept jeunes filles étaient parvenues à échapper à leurs ravisseurs par la suite. Les autorités nigérianes, en particulier le président Goodluck Jonathan, battu à l'élection présidentielle du 28 mars dernier, avaient été très critiquées pour leur insensibilité et leur inaction apparentes devant le sort tragique des jeunes filles.
- 'Ne perdez pas espoir' -
Une campagne internationale relayée par les réseaux sociaux avec le message "Ramenez-nous nos filles" (Bring back our girls) s'était déroulée pendant plusieurs semaines pour faire pression sur les autorités nigérianes.
Pour Malala, il y a maintenant "des raisons d'espérer". "Les forces nigérianes regagnent des territoires et protègent davantage d'écoles", écrit-elle. "Le nouveau président élu du Nigeria Muhammadu Buhari a promis de faire de votre libération une priorité, et que son gouvernement ne tolérera pas les violences contre les femmes et les filles", a-t-elle ajouté.
"J'attends avec impatience le jour où je pourrai embrasser chacune d'entre vous, prier avec vous et fêter votre libération avec vos familles. Jusque là, restez fortes et ne perdez jamais espoir. Vous êtes mes héroïnes", écrit Malala.
Âgée de 17 ans, gravement blessée en 2012 par les balles des taliban qui refusent que les filles aillent aillent à l'école - à l'instar de Boko Haram, dont le nom signifie "l'éducation occidentale est un péché" - Malala a été récompensée par le prix Nobel de la paix en 2014 et est devenue une championne de la défense du droit des femmes à l'éducation.
Elle a annoncé qu'un fonds monté à son nom permettra aux lycéennes de Chibok de poursuivre leur scolarité après leur libération. Malala avait déjà lancé un appel en leur faveur en février, au 300e jour du rapt, et s'était rendue au Nigeria en juillet 2014 pour pousser les autorités à agir.
TROIS NIGÉRIANS TRAVAILLANT POUR BOURBON ENLEVÉS AU LARGE DES COTES DU NIGERIA
Paris, 13 avr 2015 (AFP) - Le groupe français de services maritimes à l'industrie pétrolière Bourbon a annoncé lundi que les trois membres d'équipage d'un de ses bateaux avaient été enlevés le 8 avril au large des côtes du Nigeria.
"Un crew boat (navire destiné à transporter des employés d'installations marines, nldr), le Surfer 1440, a été arraisonné dans la nuit du 8 avril au large des côtes du Nigeria. Les trois membres d'équipage de nationalité nigériane ont été enlevés", indique-t-il dans un bref communiqué.
Il ajoute qu'une cellule d'urgence basée au Nigeria a été immédiatement mise en place. "Bourbon Interoil Nigeria est en contact avec les familles, les soutient et les tient régulièrement informées", souligne Bourbon, se refusant à d'autre commentaire.
BURKINA : TOUS LES COURANTS POLITIQUES DOIVENT ÊTRE REPRÉSENTÉS AUX ELECTIONS D'OCTOBRE
Ouagadougou, 13 avr 2015 (AFP) - Tous les courants politiques burkinabè, dont celui favorable à Blaise Compaoré, doivent participer aux élections d'octobre, alors qu'un nouveau code électoral promulgué vendredi interdit aux proches du président déchu d'y concourir, a déclaré lundi l'ambassadeur des Etats-Unis au Burkina Faso.
"Le peuple doit avoir l'opportunité de choisir son candidat" lors d'élections présidentielle et législatives "coordonnées, consensuelles et inclusives", a déclaré Tulinabo Salama Mushingi devant des journalistes.
"C'est aux électeurs de décider qui seront leurs élus. S'ils n'aiment pas tel ou tel candidat, ils ne vont pas voter pour lui", a insisté l'ambassadeur américain à l'issue d'une rencontre entre le gouvernement burkinabè et les diplomates en poste à Ouagadougou.
Les élections d'octobre sont cruciales pour le Burkina Faso, pays pauvre du Sahel. Elles doivent permettre de le doter de nouveaux dirigeants à l'issue d'une "transition démocratique" d'un an, mise en place après la chute de Blaise Compaoré en octobre après 27 ans de règne.
Les députés du Conseil national de transition (CNT), l'assemblée intérimaire, ont voté mardi dernier une révision du code électoral rendant "inéligibles" les personnes ayant "soutenu un changement inconstitutionnel portant atteinte au principe de l'alternance politique".
Cette loi, promulguée vendredi par le président Michel Kafando, fait référence à la tentative de révision de la Constitution de la fin octobre 2014, destinée à permettre à M. Compaoré de se maintenir au pouvoir, et qui avait finalement causé sa chute à l'issue d'une insurrection populaire.
La rencontre entre gouvernement et diplomates, dont les ambassadeurs des Etats-Unis, de France et de l'Union européenne, visait à leur expliquer le nouveau code électoral et les raisons des interpellations depuis une dizaine de jours de dignitaires du régime déchu, selon le ministre délégué à la Coopération régionale, Moussa Nébié.
La loi électorale "ne vise que les personnes qui ont attenté à la Constitution jusqu'au bout de l'obstination. Les anciens partis, notamment le CDP (Congrès pour la démocratie et le progrès, ex-parti présidentiel) ne sont pas exclus du jeu politique", a affirmé M. Nébié.
Une quinzaine de proches de l'ex-président, dont quatre anciens ministres et un ancien Premier ministre, ont été interpellés, principalement pour "malversations", a déclaré lundi le ministre de la Sécurité (Intérieur) Auguste Denise Barry.
Ces interpellations se sont faites "dans le cadre d'audits réalisés après la chute de Compaoré", a précisé M. Barry. Certains prévenus ont été remis en liberté, a-t-on appris de sources sécuritaire et judiciaire.
Dakar, 13 avr (APS) – La journée internationale des jeunes filles dans le secteur des TIC sera lancée dans la commune de Tassette (Thiès) où prés de 250 jeunes filles seront sensibilisées sur les sciences d’ingénierie et mathématiques, a indiqué la coordonnatrice de la cellule genre du ministère des Postes et des Télécommunications, Bitilokho Ndiaye.
''Nous voulons contribuer au renforcement des connaissances et des capacités des jeunes filles et jeunes femmes en matière de TIC en commençant dans les zones rurales. Cette année, la Journée sera lancée au CEM de Tassette’’, a-t-elle dit, lundi, lors d’un point de presse.
La journée internationale des jeunes filles dans le secteur des TIC sera lancée officiellement, le 23 avril au Grand théâtre de Dakar. Un concours pour les jeunes sur des projets de développement intégrant les TIC dénommé ‘’Concours d’entreprenariat Jiggen ci Tic’’ est également prévu.
Pour cette 4ème Edition, Bitilokho Ndiaye a souligné que l’objectif est de sensibiliser 3 000 jeunes filles aux métiers des TIC et de faciliter l’accès, le maintien et la réussite des jeunes filles dans les matières scientifiques.
‘’Cette journée est organisée pour aider les jeunes filles et jeunes femmes de 11 à 35 ans à se préparer à choisir une profession technologique. Elle donne des informations sur les offres de bourses, de formations et de stages ainsi qu’à des concours et des prix en rapport avec les TIC’’, a expliqué Mme Ndiaye.
A cet effet, elle a indiqué que le ministère des Postes et Télécommunications s’emploie à attirer davantage de jeunes filles dans le secteur des TIC au moment où les professions de ce secteur figurent parmi les 20 emplois les mieux rémunérés aux côtés des chirurgiens, pilotes et des juristes.
Bitilokho Ndiaye a rappelé le Parc des technologies numériques qui va créer à terme 60 000 emplois dans le secteur des TIC au Sénégal dont 40% sont destinés aux femmes.
La coordonnatrice de la cellule genre a également tenu à encourager ''la génération actuelle de jeunes filles à s’intéresser aux technologies afin d’avoir des retombées positives pouvant favoriser l’émergence''