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5 février 2025
JOG NGIR SENEGAAL ALERTE SUR LA NÉCESSITÉ D'AUDITER LE FICHIER ÉLECTORAL
Si des soupçons de corruption planent sur le Conseil constitutionnel et que l'opposition réclame des comptes, ce collectif citoyen appelle à se concentrer sur l'essentiel : la régularité des listes électorales
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 28/01/2024
Alors que les candidats non retenus à l'issue du contrôle des parrainages réclament davantage de transparence et qu'une commission d'enquête parlementaire a été ouverte sur des soupçons de corruption au sein du Conseil constitutionnel, l'Initiative citoyenne Jog Ngir Senegaal estime que la priorité doit rester l'audit du fichier électoral.
Dans un communiqué de presse publié le 27 janvier, cette organisation déplore que "le plus important, en vue de la crédibilité de l’élection présidentielle qui doit impérativement se tenir le 25 février 2024, se trouve ailleurs" que dans ces récents développements politiques. Selon Jog Ngir Senegaal, "le conseil constitutionnel a pris sa décision" concernant la validation des candidatures et "il est peu probable qu’elle revienne sur cette décision".
L'initiative citoyenne affirme qu' "en ce moment-ci pour le peuple sénégalais, le plus important est d’obtenir que l’audit du fichier électoral soit fait par des experts sénégalais, en rapport avec la Direction de l’automatisation des fichiers (DAF) et sous le contrôle de la Commission Electorale nationale autonome (CENA)". Elle cite une rencontre qui s'est tenue le 17 janvier dernier entre des experts et des candidats écartés, au cours de laquelle "il avait clairement indiqué que cet audit était bien faisable et avaient rappelé que cela fut le cas en 2000".
L'objectif de cet audit serait de "s’assurer que tous ceux qui avaient voté aux élections législatives de 2022, et qui n’ont pas été légalement radiés, figurent bien dans le fichier mis à jour, aux bons lieux et bureaux de vote, et que les nouveaux inscrits lors de la révision exceptionnelle de 2023 y figurent et qu’ils disposent de leurs cartes d’électeurs".
En conclusion, l'Initiative Jog Ngir Senegaal "invitent donc la CENA, la DAF, la Direction Générale des élections (DGE) et les partis politiques à s’engager pour la réalisation, en extrême urgence, de cet audit qui est indispensable pour la crédibilité de l’élection présidentielle du 25 février 2024".
MACKY SALL EN VISITE À ROME ET À LA BARBADE
Ces déplacements visent à renforcer les relations bilatérales sur des sujets clés
Le chef de l’Etat va prendre part lundi à Rome au sommet Italie-Afrique avant de se rendre à La Barbade pour une visite officielle de trois jours, a appris l’APS de la présidence de la République.
»Le président Macky Sall quitte Dakar ce dimanche 28 janvier pour prendre part au Sommet Italie-Afrique prévu à Rome le 29 janvier’’, annonce la présidence dans un communiqué.
Selon le document, ‘’ce Sommet portera sur des thématiques comme l’énergie, la sécurité alimentaire, l’éducation, la culture, la lutte contre le terrorisme et la migration entre autres’’.
Après l’Italie, le président Macky se rendra, mardi, à La Barbade pour une visite officielle de trois jours.
La Barbade est une ancienne colonie britannique située dans les Iles Caraïbes. Indépendante depuis 1966, elle s’est officiellement affranchie de la Couronne britannique le 30 nombre 2021.
Le retour à Dakar du chef de l’Etat à Dakar est prévu le 1er février.
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OBJECTION AVEC MOCTAR BA
L'expert comptable et cofondateur de l'Académie de la réparation de la ville en Afrique (Areva) est l'invité de l'émission dominicale d'actualité au micro de Baye Omar Guèye sur Sud FM
L'expert comptable et cofondateur de l'Académie de la réparation de la ville en Afrique (Areva) est l'invité de l'émission dominicale d'actualité au micro de Baye Omar Guèye sur Sud FM.
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LE NIGERIA ÉLIMINE LE CAMEROUN
Portés par un doublé de l'attaquant Ademola Lookman et une prestation remarquée de leur star Victor Osimhen, les Super Eagles ont nettement dominé les Lions Indomptables (2-0) grâce à "un fort pressing au milieu de terrain"
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 27/01/2024
Le Nigeria s'est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe d'Afrique des Nations 2023 après avoir battu le Cameroun 2-0 à Abidjan, selon le compte rendu de match publié par l'Agence France-Presse (AFP).
Portés par un doublé de l'attaquant Ademola Lookman et une prestation remarquée de leur star Victor Osimhen, les Super Eagles ont nettement dominé les Lions Indomptables grâce à "un fort pressing au milieu de terrain" et en imposant leur rythme pendant la majeure partie de la rencontre, selon l'AFP.
Osimhen s'est notamment illustré en délivrant la passe décisive sur l'ouverture du score de Lookman à la 36e minute. "Le meilleur joueur africain de 2023 a récupéré le ballon dans les pieds de Gonzalez avant de se défaire du défenseur pour servir idéalement Lookman dont la frappe est passée sous le ventre du portier camerounais", décrit l'agence de presse.
En seconde période, le scénario est resté le même avec une domination nigériane dans l'entrejeu et une défense camerounaise en difficulté. Les Lions Indomptables "n'ont cadré aucune frappe dans cette rencontre" et ont fini par s'incliner sur un nouveau but de Lookman à la 90e minute.
Grâce à ce succès 2-0, le Nigeria prend sa revanche sur le Cameroun qui l'avait battu à trois reprises en finale de la CAN par le passé. Les Super Eagles continuent aussi leur parcours parfait dans cette édition et affronteront l'Angola en quarts de finale, qualifié plus tôt face à la Namibie.
ATTEINTES À LA SÉPARATION DES POUVOIRS
Face aux critiques virulentes de certains acteurs politiques envers des décisions de justice, le plus haut magistrat de la Cour d'appel de Dakar, Amady Diouf, sonne l'alerte et dénonce des obstacles à la démocratie
Les attaques qui visent les institutions judiciaires comme le Conseil constitutionnel, irritent le Premier président de la Cour d’appel de Dakar, qui condamne ces attaques injustifiées et critiques que nourrissent et entretiennent des positions partisanes et le mépris envers les juges.
Enquête parlementaire contre des membres du Conseil constitutionnel, critiques contre cette juridiction par des candidats recalés ont suivi la décision définitive des sept «Sages» sur les candidats à la Présidentielle de 2024. Antérieurement à cela, des juges ont été traités de tous les noms après des décisions rendues dans des affaires impliquant le leader politique Ousmane Sonko. Des faits qui indisposent au plus haut point le Premier président de la Cour d’appel de Dakar, Amady Diouf. Occasion lui a été offerte vendredi d’asséner ses vérités aux contempteurs de la Justice, non sans prévenir des effets néfastes de ces actes sur la vitalité de la démocratie.
Il n’a nommément cité aucune personne ou formation politique, mais a clairement laissé entrapercevoir les destinataires de ses dires. «Les dernières actualités nous donnent l’exemple saisissant du niveau d’incivilité et de déroute morale auquel les juridictions font face. L’une de nos juridictions les plus éminentes est traînée sans gants dans la boue par des acteurs qui aspirent dans le pays à des fonctions éminentes. Le mépris envers les juges dont il ne faut jamais rire ou se complaire, est le signe d’une faillite morale et le début d’un effondrement de la démocratie», a-t-il souligné lors de l’inauguration du Palais de justice de Rufisque, implanté au Pôle urbain de Diamniadio, à proximité de la Sphère ministérielle Habib Thiam.
«Force est de souligner que nous exerçons nos offices dans un contexte où les institutions républicaines, particulièrement la Justice, subissent des attaques injustifiées et des critiques que nourrissent et entretiennent des positions partisanes et la méconnaissance profonde du mode de fonctionnement de la Justice», a-t-il encore noté, s’adressant à ses collègues qu’il a exhorté à «rester fiers d’un métier qui porte les fondations de la liberté et de l’ordre juste».
Il a ainsi rappelé l’obligation aux professionnels de rendre la justice dans le respect de la loi applicable et dans le respect des règles. «Elle ne doit pas rendre service, ni tenter de contenter quiconque ou de chercher vaillamment à déplaire coûte que coûte, juste pour le plaisir de déplaire», a-t-il insisté. Et de poursuivre : «Rien n’est pire comme nous le rapporte l’histoire, qu’une justice rendue que dans le sens, pour ses auteurs, d’épouser l’air du temps ou dans le sens de rechercher une gloire personnelle du juge pour plaire à des éléments du groupe social les plus exaltés dans les réseaux sociaux juste pour bénéficier d’une aura médiatique ou populaire.»
Comme pour dire !
PRÉSIDENTIELLE, TALLA SYLLA REJOINT ALY NGOUILLE NDIAYE
Talla Sylla et son parti vont battre campagne pour Aly Ngouille Ndiaye. L’ex-maire de Thiès a décidé de rejoindre la coalition «Alyngouille2024» pour la future présidentielle.
iGFM - (Dakar) Talla Sylla et son parti vont battre campagne pour Aly Ngouille Ndiaye. L’ex-maire de Thiès a décidé de rejoindre la coalition «Alyngouille2024» pour la future présidentielle.
Sa candidature a été validée par le Conseil constitutionnel. Aly Ngouille Ndiaye qui prépare à présent sa campagne électorale, vient d’accueillir du renfort dans sa coalition. En effet, Talla Sylla, le Président de l’Alliance Jef-Jel a décidé de rejoindre la coalition «Alyngouille2024». Ce que confirme le parti de l’ex-maire de Thiès.
«Dans le cadre de la mise en place d'une plateforme de forces convergentes pour la refondation de la République, la coalition Talla 2024 et l’Alliance Jëf Jël ont, à la suite de larges concertations et échanges, pris la décision de soutenir la candidature du Président Aly Ngouille Ndiaye pour l'élection présidentielle du 25 février 2024», a annoncé l’Alliance Jëf Jël.
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LE CAS HERVÉ RENARD, CE JOURNALISTE IVOIRIEN DIT TOUT
Journaliste à la chaîne ivoirienne NCI, Landry Konan a accordé un entretien à IGFM, à deux jours du choc Côte d'Ivoire-Sénégal en huitième de finale de la Coupe d'Afrique des Nations 2023.
iGFM (Yamoussoukro) Journaliste ivoirien à la chaîne ivoirienne NCI, Landry Konan a accordé un entretien à IGFM, à deux jours du choc des huitièmes de finale de la Coupe d'Afrique des Nations 2023. Suivant l'équipe du Sénégal depuis le début de la compétition, il n'a pas manqué de livrer ses impressions sur les Lions adversaires des Éléphants de Côte d'Ivoire. Il a aussi évoqué le cas Hervé Renard qui a fait couler beaucoup d'encre.
ME CIRÉ CLÉDOR LY DÉFEND LE JUGE COULIBALY
Dans une contribution publiée ce samedi 27 janvier 2024, l'ancien avocat de Karim Wade balaie les suspicions de corruption visant le juge constitutionnel Cheikh Tidiane Coulibaly
«Les Sénégalais se sont réveillés avec la surprise d’une accusation immonde, à l’endroit d’un homme qui a marqué de son empreinte indélébile, ses services dans la magistrature, par son intelligence, la finesse et la clarté de ses décisions.
«Un grenier du savoir qui, du temps du Président SENGHOR au Président Macky SALL, en passant par les Présidents Abdou DIOUF et Abdoulaye WADE, a été l’un des phares de la Justice sénégalaise. Un exemple de courage dans les prises de décisions qui honorent simplement la Vérité qu’il libérait, lorsque la puanteur politicienne envahissait le palais de justice et opprimait les droits humains en cherchant une légitimité judiciaire.
«Cet homme en fin de carrière, qui a honoré la toge de magistrats et qui fut le seul à avoir de sa plume, alors qu’il présidait la chambre pénale de la Cour Suprême, à reconnaître un droit à Karim WADE, droit que lui déniait la loi de procédure de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI), sous le visa des dispositions du droit international des droits de l’homme et des principes généraux du droit.
«Soupçonner cet homme, le très honorable Président Cheikh Tidiane Coulibaly de corruption, celui qui toute sa vie a servi la Justice et conquis le cœur des hommes intègres, est une ignominie foncièrement abjecte.
«Jeter le discrédit sur celui qui, de mon avis et mon ancienneté de plus de 40 années d’exercice de la profession d’Avocats, connaissant les lâches, les larbins, les frileux, les sournois, les flibustiers, les corrompus et les incorruptibles, fait très mal à tous ceux qui connaissent l’homme.
«J’ai très mal de ces médisances et accusations grotesques, envers un Homme de vertu et de valeur, qui fait partie de ceux qui, comme les juges Souleymane Teliko, Amady Ba, Hélène TINE, Ndiémé Seck, Racine LY, Sabassy Faye, Ndongo Fall, Ousmane Racine Thione, les procureurs Ousmane DIAGNE, Ndèye Marème Gueye, Mandiaye Niang, Aïcha Gassama, ont toujours donné aux Sénégalais et aux praticiens du droit, l’espoir qu’avec très peu d’autres de leurs semblables, l’Etat de droit malmené avec une Justice déliquescente, ne s’effondrera cependant jamais.
«Les seuls échanges que j’ai eus avec lui, en dehors des salles d’audience, sont à l’occasion de rencontres fortuites dans le palais de Justice, des bonjours ou des bonsoirs, ou alors d’une seule visite de courtoisie dans son bureau lorsqu’il fut promu Premier Président de la Cour Suprême, visite qui ne dépassa pas 5 minutes.
«Essaie-t-on de lui faire payer une carrière intègre dans l’écurie d’Augias de la Justice Sénégalaise ?
N’a-t-il pas été constant et intransigeant dans l’application de la règle de droit et La Défense des droits et libertés démocratiques au sein du Conseil Constitutionnel au point de devoir payer pour sa témérité ?
«S’il y a eu corruption, dans ce contexte, qui a les moyens et le courage de s’approcher des membres du Conseil Constitutionnel pour tenter d’en corrompre l’ensemble ou quelques-uns ? À qui d’ailleurs pouvait profiter le crime de forfaiture, dans ce contexte et à ce stade du processus électoral ?
«Pourquoi le président de la République qui préside le Conseil Supérieur de la Magistrature et la ministre de la Justice qui en est la vice-présidente surprennent les intelligences, le premier par sa réaction et la deuxième par son mutisme ?
«En tout état de cause, Je me suis senti un devoir de témoignage envers celui qui, jusqu’à l’extinction du soleil, devait être le plus sage des sages qui n’ont pas répondu aux attentes du peuple Sénégalais».
Ciré Clédor Ly
Avocat a la Cour
PRÉSIDENTIELLE 2024, ANTA BABACAR NGOM CONTRE TOUT REPORT
La candidate de l’Alternative pour la Relève citoyenne (ARC) a condamné, vendredi, dans un communiqué, les rumeurs sur le report des élections et les allégations de corruption au Conseil constitutionnel.
« Des rumeurs de report des élections, des allégations de corruption et de manœuvres politiques malsaines suscitent de vives inquiétudes auprès des Sénégalais. En tant que Présidente de l’Alternative pour la Relève Citoyenne (ARC), je tiens à réaffirmer mon engagement indéfectible envers les principes démocratiques qui sont le fondement de notre nation », a-t-elle écrit.
Selon elle, le respect des règles démocratiques et le bon déroulement des opérations électorales dans le respect des droits de chaque candidat sont essentiels pour garantir la légitimité et la transparence du processus électoral, que toutes les voix soient entendues pour que chaque candidat ait une chance équitable de présenter ses idées et programmes aux électeurs.
« Je condamne fermement toute tentative de manipulation politique visant à écarter des concurrents par des moyens illégaux ou non éthiques. De telles pratiques sapent la confiance du public dans nos institutions démocratiques et dévalorisent les efforts de ceux qui travaillent sans relâche pour renforcer notre démocratie. Les allégations de corruption et les irrégularités présumées dans le processus de sélection des candidats doivent être prises au sérieux et faire l’objet d’une enquête approfondie», relève le communiqué de l’ARC.
Par ailleurs, seule candidate à soutenir publiquement la démarche du PDS, Anta Babacar Ngom estime que la création d’une commission d’enquête parlementaire par l’Assemblée nationale est une étape positive dans cette direction, et espère que cette initiative permettra de faire la lumière sur ces allégations. «J’exprime l’espoir sincère que les rumeurs de corruption soient infondées. Si ces allégations s’avéraient exactes, il incomberait alors aux responsables de répondre de leurs actes devant le Peuple », a-t-elle prévenu
Anta Babacar Ngom demande ainsi à tous les candidats éliminés de ne pas se laisser distraire par des manœuvres politiques, mais de s’unir et de former un bloc solide pour défier les candidats du régime sortant. « C’est en unissant nos forces que nous pourrons défendre efficacement les principes de notre démocratie et garantir le respect des règles électorales. Il est essentiel que nous évitions les conflits internes et les attaques interpersonnelles et que nous nous concentrions sur notre objectif commun : une élection libre, juste et transparente », indique-t-elle.
Ce samedi, l’Assemblée nationale se réunit une nouvelle fois pour une éventuelle mise en place d’une commission d’enquête parlementaire.
MENACES CONTRE LE JOURNALISTE AYOBA FAYE, LA CORPORATION SE MOBILISE
la Coordination des Associations de Presse (CAP) dénonce les menaces subies par le journaliste Ayoba FAYE, rédacteur de PressAfrik. Une situation qui incite la CAP à réagir
Dans un communiqué publié ce samedi 27 janvier 2024, la Coordination des Associations de Presse (CAP) dénonce les menaces subies par le journaliste Ayoba FAYE, rédacteur de PressAfrik. Une situation qui incite la CAP à inviter les états-majors politiques à «éduquer leurs militantes et militants au respect de la liberté d’expression en général, de la liberté de presse en particulier». Parce qu’«il est inacceptable que des journalistes soient trainés dans la boue, simplement parce qu’ils ont fait leur travail ou exprimé leur opinion». Le document interpelle, au final, l’État pour que prenne fin les représailles subis par les hommes des médias, dans l’exercice de leurs fonctions. «L’État doit prendre ses responsabilités pour mettre un terme à ces pratiques et protéger les professionnels et professionnelles des médias dans l’exercice de leurs fonctions», note le communiqué de la CAP qui regroupe les organisations faitières de la presse comme le CORED, le SYNPICS, le CDEPS, la CJRS, l’URAC, l’APPEL, l’UNPJS et le CTPAS.
Cette campagne de dénigrement sur les réseaux sociaux dirigée contre notre excellent confrère Ayoba FAYE fait suite à une annonce des délibérations du Conseil constitutionnel avant la publication officielle. Dans son post Facebook, Ayoba écrivait que la candidature de Karim WADE est déclarée irrecevable et que les recours d’Amadou BA contre Bassirou Diomaye FAYE et Cheikh Tidiane DIEYE sont rejetés. L’information s’est révélée exacte à tout point vue et conforme aux décisions plus tard publiées par les 7 Sages. Suffisant pour que des pourfendeurs déchainent les enfers sur notre confrère.
Les journalistes sénégalais, ces derniers temps, payent un lourd tribut au nom du devoir d’informer. Auparavant, Babacar FALL de la RFM et certains chroniqueurs de Walf l’ont aussi été en ce sens.