Baadoolo - Corona, souniou 1000 milliards !
Corona, tardé nga ! Rien ne nous arrêtera. Sénégalais yi guemeutouniou leu. Tu es revenu avec ton business ? Nos 1000 milliards d’abord. Même la justice a mis le masque pour qu’on n’identifie pas ces visages démasqués par la Cour des comptes. Tu trouveras le gel de tous tes accessoires. Nous avons fait d’autres tests au Conseil constitutionnel. Sur les 93, seuls 21 sont positifs. Nous avons préféré le bulletin de vote au bulletin du ministère de la Santé. Nioo la gueuneu baadoolo.
Pensions de retraite L’Ipres annonce une hausse de 10%
L’Institution de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) a informé, hier, dans un communiqué que les pensions allouées aux retraités vont augmenter de 10%. Et ce, à compter de ce 1er janvier 2024. Cette décision fait suite aux recommandations du Conseil d’administration rendues publiques après la séance tenue mardi dernier. Le Directeur général, Amadou Lamine Dieng, a indiqué que l’Ipres a également décidé que les pensions seront payées le 5 de chaque mois. L’institution s’est dite engagée pour «l’amélioration continue du service public de gestion des pensions de retraite au bénéfice des allocataires».
Contrôle fiscal des entreprises Le Forum civil interpelle l’Etat
Les Litiges d’intérêt public (Lip) concernant l’entreprise Barrick Gold pour 120 milliards de FCFA et la société Sabodala gold operations (Sgo) pour 150 milliards de FCFA ont attiré l’attention du Forum civil. L’Organisation interpelle le ministre des Finances et du Budget et demande à la Direction générale des impôts et domaines de produire un rapport de redevabilité sur le contrôle fiscal. Dans une déclaration, Birahime Seck et Cie notent qu’«il est apparu que des procédures de redressement fiscaux ont été engagées à l’endroit de plusieurs sociétés exerçant des activités ou établies ou possédant des actifs au Sénégal. Il s’agit de Eiffage (2 milliards 900 millions FCFA), Philip Morris (3 milliards 700 millions FCFA), Grands Moulins de Dakar (12 milliards FCFA), Ericsson Sénégal (5 milliards FCFA), Barrick Gold (120 milliards de FCFA) et Sabodala Gold Operations (150 milliards de FCFA)». Le bureau exécutif de la Section sénégalaise de Transparency international dit «suivre avec attention le dénouement des cas des entreprises Eiffage, Philip Morris, Grands Moulins de Dakar et Ericsson Sénégal en cours d’instruction au niveau de la Justice», et déplore qu’il est fait état de «paiements cumulés de Barrick Gold de 9 milliards 678 millions 167 mille 296 FCFA au titre de redressements fiscaux» dans le rapport Itie 2021.
Le journaliste de la Rfm cible de menaces après son commentaire La Cap invite l’Etat à protéger Babacar Fall
Le Journaliste Babacar Fall de la Rfm est la cible d’attaques et de menaces après son commentaire sur la dernière sortie du chef de l’État critiquant les revues de presse au Sénégal. Dans un communiqué, la Coordination des associations de presse (Cap) rappelle aux « auteurs de ces insultes, attaques et menaces verbales » que le commentaire est un «genre journalistique reconnu et couramment utilisé dans la profession ». Elle exprime son «soutien» et sa «solidarité» au Directeur de la Rédaction de la Rfm et l’«encourage à porter plainte». Mais aussi, la Cap demande aux autorités de protéger le journaliste et d’ouvrir une enquête «dans les meilleurs délais afin d’identifier et de traduire devant la justice les auteurs de ces menaces injustifiées».
Le directeur de la prévention sur le retour du Covid-19 «Pas de quoi s’alarmer»
Le Covid-19 est de retour au Sénégal. 34 cas ont été signalés dans certaines parties du pays. Le directeur de la Prévention conseille aux populations de respecter les mesures barrières. Le docteur Mamadou Ndiaye, interrogé par iRadio, hier, assure que : «Par rapport à hier (mercredi), il n’y a pas de variation en tant que tel. Cela évolue en dents de scie. Pour l’instant, les cas ont repris légèrement. Il n’y a pas de quoi s’alarmer». Il a précisé qu’il n’y a pas encore de cas graves ni de décès. Toutefois, Dr Ndiaye a donné une prescription : «Dés que l’on se sent un peu grippé, des toux, éternuements, des douleurs respiratoires, une petite fièvre, il faut aller se faire consulter par la structure de santé la plus proche pour faire un test. Si le test est positif, il faut d’abord s’isoler et ensuite prendre des mesures par rapport à son entourage pour ne pas contaminer sa famille mais, également, à chaque fois, respecter les mesures barrières».
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DE QUOI VOTRE AUDACE EST-ELLE LE NOM ?
"Où sont les grands leaders ? Où est la vision politique ?", s'interroge Penda Mbow. Pour cette figure intellectuelle, la multiplication des candidatures à la présidentielle révèle une crise du leadership politique que le parrainage n'a pas su résoudre
La présidentielle de 25 février ne rassure pas grand nombre d’observateurs de la vie politique pour des raisons bien évidentes. Dans cette entrevue exclusive, Penda Mbow, observatrice avertie de la vie politique sénégalaise et grande figure de la société civile livre sa fine analyse sur le processus électoral et expose ses craintes, ses doutes et son incompréhension sur cette floraison de candidature et le processus de validation qui pose question.
En effet, l’ouverture de dépôt de parrainage révèle une kyrielle de candidatures qui défie le bon sens. Le parrainage a quelque chose de mystérieux. En effet des acteurs et actrices avec une expérience politique réelle, des appareils politique échouent à faire valider leur parrainage tandis que des novices sans expérience ni envergure, passent sans encombre le filtre.
Des partis politiques insignifiants, irrespectueux de la loi et qui auraient dû être dissouts purement et simplement continuent de souffler le chaud et le froid dans l’arène de politique. Ils sont autorisés à présenter leurs candidats alors qu’on s’est permis de dissoudre un vrai parti politique influent qui a un vrai poids politique. Pour Penda Mbow, beaucoup de zone d’ombre méritent un éclairage, ne serait-ce qu’a posteriori et pour la postérité. Cela est d’autant plus urgent que presque personne ne comprend comment ça marche concrètement
Cette ’universitaire prolifique et figure de proue de la société civile sénégalaise se désole d'une expérience démocratique qui semble en panne, une démocratie qui prend des allures d’une ploutocratie (système politique tenu par le pouvoir de l’argent et des riches) et qui mérite que l’on marque une pause pour se réorganiser avant de repartir de plus belle sur de nouvelles bases. C’est peut-être le moment plus que jamais d’appliquer le résultats des Assises nationales et le recommandations de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI).
UN OFFICIEL PRÔNE UNE RÉFORME DE L’AGENCE JUDICIAIRE DE L’ÉTAT
Alioune Dione, un des conseillers techniques du ministre des Finances et du Budget , a souligné jeudi à Saly (Mbour, ouest) la nécessité de réfléchir à une organisation de l’Agence judiciaire de l’Etat adaptée aux nouveaux défis et enjeux sécuritaires.
Saly, 11 jan (APS) – Alioune Dione, un des conseillers techniques du ministre des Finances et du Budget , a souligné jeudi à Saly (Mbour, ouest) la nécessité de réfléchir à une organisation de l’Agence judiciaire de l’Etat (AJE) adaptée aux nouveaux défis et enjeux sécuritaires.
”Face aux nouveaux défis, aux nouvelles menaces et surtout à la perspective de mettre au cœur de la stratégie de défense de l’État, la prévention, il fallait réfléchir sur une nouvelle organisation adaptée de l’Agence judiciaire de l’État”, a dit M. Dione, lors de l’ouverture d’un atelier sur la mutation institutionnelle de cette institution.
”A l’heure actuelle, nous avons simplement le décret de 1970, mais nous n’avons pas de textes d’application“, a relevé M. Dione.
Selon lui, en dehors d’un texte d’application de 2014 qui “donne certaines prérogatives“, et faisant suite au décret qui réorganise complètement la direction de l’Agence judiciaire de l’Etat, il n’y a pas ni organisation ni arrêté.
“Nous nous sommes rendu compte que la gestion du contentieux de l’État est dispersée. Il y a plusieurs administrations qui interviennent dans le contentieux, telles que l’administration fiscale et l’administration douanière et tout cela ne donne pas une cohérence globale“, a-t-il ajouté.
Cet atelier est, selon l’officiel, une occasion de “réfléchir sur la nécessité de mise en place cette cohérence globale pour articuler l’action de l’État autour de dynamiques qui sont communes“.
Le premier volet de cette rencontre est institutionnel, et le deuxième est fonctionnel, a-t-il noté, précisant qu’il s’agit de voir “comment traduire dans les faits la réorientation stratégique de la défense de l’État autour de la centralisation“.
Un autre élément important porte sur la perspective, selon lui.
”De plus en plus, c’est la prévention qui est privilégiée dans la gestion des contentieux, et il fallait justement consacrer une place à cette mission de prévention dans le cadre des fonctions de l’agent judiciaire de l’État“, a dit Alioune Dione.
KÉDOUGOU, D’IMPORTANTS DÉGÂTS MATÉRIELS CAUSÉS PAR UN INCENDIE À LA GARE ROUTIÈRE
Un violent incendie a causé d’importants dégâts matériels à la gare routière de Kédougou, ce jeudi, dans la soirée aux environs de 20 heures, a appris l’APS de source policière.
Kédougou 11 jan(APS) – Un violent incendie a causé d’importants dégâts matériels à la gare routière de Kédougou, ce jeudi, dans la soirée aux environs de 20 heures, a appris l’APS de source policière.
Plusieurs objets ont été emportés par les flammes, a indiqué la même source sans plus de détails.
Des agents des sapeurs pompiers et du commissariat central sont encore sur le lieu de l’incendie, ajoute-t-elle.
MACKY SALL ET GHAZOUANI ÉVOQUENT DES STRATEGIES POUR AMÉLIORER LES LIENS BILATÉRAUX
Le Président Sall en visite officiel en Mauritanie a été accueilli par son homologue Mohamed Ould El Ghazaouani. Les deux chefs d’État ont amorcé une série de discussions au palais présidentiel mauritanien.
Le Président Macky Sall a effectué une arrivée en Mauritanie, entamant une visite officielle de 48 heures.
Accueilli chaleureusement par le Président Mohamed Ould El Ghazaouani, les deux chefs d’État ont amorcé une série de discussions au palais présidentiel mauritanien.
Les échanges ont principalement gravité autour du renforcement des relations économiques et commerciales entre le Sénégal et la Mauritanie, avec des sujets clés tels que le partage du champ gazier GTA, le pont de Rosso, et les accords de pêche en discussion avancée.
Cette visite souligne l’importance du lien séculaire d’amitié et de coopération entre les deux nations, renforcé par un banquet officiel en l’honneur du Président Sall.
La coopération bilatérale a été au cœur des discussions, mettant en lumière des projets avancés tels que le partage du champ gazier et le pont de Rosso.
Après un tête-à-tête initial à l’aéroport de Nouakchott, les présidents SALL et El Ghazaouani ont poursuivi leurs échanges au palais présidentiel.
La conclusion de cette visite d’amitié et de travail est prévue vendredi, selon l’annonce de la présidence sénégalaise, témoignant de l’engagement continu pour renforcer les liens entre le Sénégal et la Mauritanie.
TRUMP SEUL EN TÊTE AVANT L'OUVERTURE DES PRIMAIRES RÉPUBLICAINES
À quelques jours du caucus de l'Iowa, le favori des sondages peut compter sur l'inertie de ses adversaires, d'autant que Chris Christie, le plus virulent d'entre eux, abandonne la course. Analyse et commentaires de René Lake sur VOA Afrique
À quelques jours du caucus de l'Iowa, le favori des sondages peut compter sur l'inertie de ses adversaires, d'autant que Chris Christie, le plus virulent d'entre eux, abandonne la course. Analyse et commentaires de René Lake sur VOA Afrique. Une intervention à suivre dès la 13e minute du journal.
À suivre également, les innovations du Salon de l'électronique de Las Vegas et les dernières actualités de la CAN 2023 qui s'ouvre le 13 janvier 2024 en Côte d'Ivoire.
SITUATION POLITIQUE NATIONALE, CE QUE PROPOSE HADJIBOU SOUMARE
La situation politique actuelle du Sénégal est marquée par un processus électoral décrié par de nombreux hommes politiques. L'ancien Premier ministre a pris sa plume pour s’exprimer et faire une proposition.
iGFM - (Dakar) La situation politique actuelle du Sénégal est marquée par un processus électoral décrié par de nombreux hommes politiques. Plusieurs candidats déclarés, dont le dossier de parrainages a été invalidé, ont jeté le doute sur le travail du conseil constitutionnel et sur le fichier électoral. Dans une telle situation, Hadjibou Soumaré a pris sa plume pour s’exprimer et faire une proposition. Ci-dessous sa tribune.
Chers amis Patriotes,
Je vous remercie de votre position très louable, de grands défenseurs de notre démocratie aujourd'hui chahutée. Toutefois je me permets d'apporter ma modeste contribution à cette grande œuvre de salut public, dont les jalons viennent d'être posés par votre éminente assemblée.
Le Premier mot qui me revient est qu'en ces moments difficiles que traverse notre pays, nous avons le devoir impérieux de faire très ATTENTION aux manoeuvres dilatoires d'un régime à bout de souffle, pour faire accepter au peuple l'idée d'un report des élections. Report pour vider le <> pré-électoral créé de toute pièce, avec comme véhicule un parrainage qui n'a pas encore livré tous ses secrets.
Les thuriféraires commis à cette tâche, ont commencé depuis longtemps à emprunter le stimulus à Pavlov pour normaliser cette idée dans la conscience des Sénégalais.
Le Peuple Sénégalais a suffisamment souffert, pour voir sa souffrance prolongée, peut être inconsciemment, par nous qui devons incarner ce désir de changement véritable de modèle de société.
Qui d'entre nous ne s'est pas ému de cette inflation de candidatures à l'élection Présidentielle de Février prochain,
- qui d'entre nous n'a pas eu d'arrière pensée de candidatures bénies par ce régime,
- qui d'entre nous n'a pas eu d'arrière pensée, pour ne pas dire fait le constat, que les Sages du Conseil Constitutionnel ont peut être travaillé avec un fichier non conforme à ce qui devait être,
- qui d'entre nous a eu accès au fichier issue de la dernière mise à jour,
- qui d'entre nous n'a pas pensé à priori qu'une élection non transparente et à haut risque pouvait être la conséquence de tous ces actes posés en amont du processus électoral.
Mais je me suis toujours dit, comme vous d'ailleurs, que la préservation de la paix sociale dans notre pays, au-delà de la préférence du maintien d'un confort personnel, en valait la peine.
Fort de tout cela, conscient que cette inflation naturelle ou suggérée de candidatures ne pouvait que nous desservir et faire le jeu du chef de l'exécutif, je vous exhorte à dépasser nos égos et à créer une grande coalition dénommée <>. Nous devons montrer que notre coalition est animée par des femmes et des hommes responsables et que notre pays est une GRANDE DEMOCRATIE et il le restera malgré la volonté manifeste de diviser les Citoyens par des pratiques d'un autre âge. La politique c'est d'abord l'élégance Républicaine.
Faire avaliser l'idée d'un report des élections est le but ultime de toute cette stratégie. L'occasion m'a été donnée plus d'une année avant, d'attirer l'attention. Je n'avais pas été <> ou compris tellement on était loin du 25 février. Le moment est peut être devenu favorable pour mettre aux goûts du jour cette idée. Ne soyons pas les faire-valoir d'une telle forfaiture. C'est connu de tous, ils sont dans une réelle incertitude du lendemain d'élection.
Le Droit a semble-t-il été dit, laissons les organiser la compétition avec les Sénégalais qui ont passé le filtre du parrainage.
Nos sorts de Candidats ou pas, importent moins que la souffrance que vivent les familles des Sénégalaises et des Sénégalais. Notre Coalition <>, structure de veille, veillera à la sauvegarde du vote des Citoyens. C'est pour cette raison, qu'aucune force ne doit pouvoir par des subterfuges, nous faire assumer le portage du REPORT DES ELECTIONS.
<> j'avais dit, choisissons dès maintenant d'être des acteurs de ces élections par l'amplitude et la puissance de nos votes, pour un réel changement du mode de Gouvernance politique, économique et sociale.
Que l'histoire ne retienne jamais que c'est nous qui avons été demandeurs.
L'alibi pour un report de ces élections est tout trouvé....<>. Poussé à l'extrême, cet alibi peut contenir l'idée <> dans la procédure de validation.
Notre devoir est de rester à côté du Peuple pour lequel nombre de nos camarades se sont sacrifiés.
Pensons à ceux d'entre eux qui sont en prison pour avoir défendu l'idée d'un pays démocratique et libre de son destin.
De par la loi si nous ne sommes pas Candidat, nous devons tout simplement en prendre acte. C'est le Sénégal et les Sénégalais notre seule préoccupation.
Cette posture n'entame en rien notre combat de voir:
- moins de Sénégalais dans la pauvreté extrême,
- moins d'enfants Sénégalais scolarisés dans les conditions les plus précaires avec 6000 abris provisoires,
- moins de Sénégalais voir leur besoin d'accès aux soins non satisfait,
- moins d'agriculteurs non bénéficiaires des intrants au profit d'autres inconnus au bataillon,
- moins de pasteurs et de pêcheurs ne pouvant plus faire face aux besoins de leur famille par le fruit de leur travail,
- moins d'entreprises prises dans l'étau d'une concurrence déloyale fruit d'une mondialisation mal maîtrisée et d'un État ne défendant pas suffisamment les intérêts nationaux,
- un développement déséquilibré des terroirs qui fragilise nos jeunes et leur fait miroiter un monde meilleur ailleurs .
Il y a suffisamment de Patriotes parmi les élus candidats pour porter les idéaux de ce nouveau Sénégal.
N'alimentons pas l'inflation, contenons la autour de dignes fils de notre pays, qui sont prêts à œuvrer pour améliorer la vie de millions de nos compatriotes, assainir les mœurs politiques d'enrichissement sans cause.
Exigeons plutôt de ceux qui en ont la charge, d'organiser des élections libres et transparentes, dans la paix comme lors des élections législatives de 2022.
Je rappelle que le seul cas de figure envisagé par notre Constitution pour un éventuel report des élections est: - en cas de décès d'un Candidat - cas pour lequel nous prions le tout puissant que cela n'arrive.
En cas de recours contre un Candidat, peut-être les Constitutionnalistes pourraient nous édifier. Mais pour éviter toute interprétation de la loi, de grâce ne le faisons pas, chers compatriotes pour donner un alibi.
Évitons de réagir à la provocation; le schéma du report théorisé à souhait mis à nu, il nous sera servi, peut être après ces quelques lignes, qu'une telle idée n'a jamais germé dans leur esprit de bonne foi.
Vive le Sénégal.
CHEIKHE HADJIBOU SOUMARE
Président de Démocratie et République.