(SenePlus) - Selon un rapport du New York Times (NYT), Sean Combs, figure emblématique de l'industrie musicale américaine, a été placé en détention fédérale mardi dernier après s'être vu refuser une libération sous caution. Le producteur de musique, connu sous les noms de scène Diddy et Puff Daddy, fait face à des accusations de trafic sexuel et de racket.
Le contraste est saisissant entre la vie de luxe de Combs et sa nouvelle réalité. Le New York Times rapporte : "Quand Sean Combs a volé de Miami à New York ce mois-ci pour se préparer à une inculpation fédérale attendue, il a laissé derrière lui son vaste manoir avec ses multiples piscines, son spa et sa maison d'hôtes sur une île artificielle."
Désormais, Combs est détenu au Metropolitan Detention Center (MDC) de Brooklyn, un établissement abritant plus de 1 200 détenus et réputé pour ses conditions difficiles. Un avocat cité par le journal décrit le MDC comme "une prison fédérale surpeuplée, en sous-effectif et négligée qui est un enfer sur terre."
Les avocats de Combs ont tenté en vain d'obtenir sa libération sous caution. Selon le NYT, ils ont proposé une caution de 50 millions de dollars, garantie par sa résidence de Miami. Dans une lettre adressée à la juge, ils ont qualifié les conditions de détention au MDC d'"horribles", citant des cas de contamination alimentaire et plusieurs suicides survenus ces dernières années.
Cependant, la juge Robyn F. Tarnofsky est restée inflexible, convaincue par les arguments des procureurs fédéraux. Emily A. Johnson, procureure, a déclaré lors de l'audience : "La séquence des événements montre clairement qu'on ne peut pas prendre la parole de l'accusé pour argent comptant".
Les accusations portées contre Combs sont graves. Le New York Times indique que "les procureurs l'accusent d'avoir contraint des femmes à participer à des soirées sexuelles élaborées avec des prostitués masculins et d'avoir utilisé la violence et l'intimidation pour les empêcher de le dénoncer."
L'ampleur de l'enquête est considérable. Les procureurs ont notamment émis plus de 300 assignations à comparaître devant le grand jury et collecté plus de 90 téléphones portables, ordinateurs portables et comptes de stockage électronique dans le cadre de l'affaire.
Pour l'instant, Sean Combs, enregistré sous le numéro 37452-054, restera détenu au MDC. Son équipe juridique a annoncé son intention de faire appel de la décision de détention. En cas d'échec, le producteur pourrait passer des mois au MDC en attendant son procès.
IDRISSA SECK DEMANDE AU GOUVERNEMENT DE DÉCLENCHER LE PLAN ORSEC
Le leader de Rewmi demande à l’Etat de mettre en place un plan national pluriannuel de lutte contre les inondations dont Touba bénéficiera d’un programme spécial.
La forte pluie qui s’est abattue à Touba le lundi 16 septembre et qui a fait trois morts ne laisse pas indifférent le leader du parti Rewmi.
Dans une note, Idrissa Seck, qui a tout d’abord exprimé sa compassion aux sinistrés, a demandé au gouvernement de déclencher le Plan d’organisation des Secours en Cas de Catastrophes (Plan ORSEC) afin de leur venir en aide.
Prenant en compte le statut spécial de Touba et ses problèmes en matière d’assainissement, Idrissa Seck et ses camarades demandent à l’Etat de mettre en place un plan national pluriannuel de lutte contre les inondations dont Touba bénéficiera d’un programme spécial.
Pour lui, ce plan doit se faire de manière consensuelle pour trouver une solution structurelle aux inondations.
CHARLES ÉMILE ABDOU CISS
AIDA M’A TUÉ
Qui a bien pu demander à Mme Aida Mbodj de retirer la parole à 262 personnes du groupe Diomaye Président : qui en sont les commanditaires? On n’aura jamais peut être la réponse.
Qui a bien pu demander à Mme Aida Mbodj de retirer la parole à 262 personnes du groupe Diomaye Président : qui en sont les commanditaires? On n’aura jamais peut être la réponse. Personnellement, je ne pensais pas Mme Aida Mbodj capable d’exécuter, au vu et au su, de tous ces responsables, ses menaces dans un contexte pareil.
Nous avons été bien naïfs.
Que nos compatriotes se rappellent ce 17 septembre 2024, Mme Aida Mbodj s’est emparé d’un « pilon digital » pour neutraliser la coalition Diomaye Président : plus de débats, plus de propositions.
Cet acte décrète vraisemblablement la fin de la coalition Diomaye Président qui agonisait depuis le lendemain de l’élection présidentielle victorieuse.
Toutes les propositions et documents visant à créer une synergie avec la population n’ont pas connu de retour favorables, la proposition de créer un organe de fonctionnement permettant d’améliorer son dynamisme n’a pas été validé.
Grâce aux échanges digitaux, la coalition Diomaye continuait à survivre jusqu’à ce fatal 17 septembre 2024 :
Que restera-t-il de cette coalition victorieuse ? juste rappeler qu’un samedi 27 janvier 2024 répondant à l’appel du Président de la République puis des responsables du PASTEF, nous nous étions réunis à l’hôtel Azalai et engagés à faire renaitre le Sénégal suivi de la signature le 1er février 2024 de la Charte officielle énonçant les règles de fonctionnement de la coalition et le respect mutuel des engagements pour les différentes élections à venir (présidentielle, législative, locale) : depuis lors que d’eaux a coulé sous les ponts.
Ci-gît la coalition Diomaye Président!!!
TOUBA, SERIGNE MOUNTAKHA MBACKÉ DÉBLOQUE 200 MILLIONS FCFA POUR LES SINISTRÉS
En plus de cette contribution, le khalife a lancé un appel à toutes les bonnes volontés, les exhortant à faire preuve de solidarité et de soutien envers les habitants de la cité religieuse.
Face aux inondations qui ont durement frappé la ville sainte de Touba, le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, a mobilisé une aide financière de 200 millions FCFA pour venir en aide aux victimes. Cette annonce a été faite ce mercredi par son porte-parole, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr, lors d’une déclaration publique.
En plus de cette contribution, le khalife a lancé un appel à toutes les bonnes volontés, les exhortant à faire preuve de solidarité et de soutien envers les sinistrés de la cité religieuse. Dans un geste de générosité, Serigne Mountakha Mbacké a également annoncé qu’il entreprendra la construction gratuite de maisons pour les familles touchées par ces intempéries.
Ce geste témoigne de l’engagement du khalife général des mourides à soutenir la communauté dans ces moments de difficulté, en plaçant l’entraide et la fraternité au cœur de l’action humanitaire.
CHUTE DRASTIQUE DE LA VENTE DES JOURNAUX IMPRIMÉS
Tandis que certains lecteurs nostalgiques continuent de soutenir la presse papier, les défis auxquels elle est confrontée soulignent la nécessité de réinventer le modèle traditionnel pour répondre aux nouvelles attentes du public.
Foisonnement de la presse en ligne, réseaux sociaux, désintérêt pour la lecture : la presse imprimée voit depuis quelques années ses ventes connaître une chute libre à cause des bouleversements liés à un certain nombre de facteurs, dont l’essor des nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Debout sur l’un des trottoirs de l’avenue Malick Sy, près du quartier de la Médina, un homme scrute le ballet incessant des véhicules qui arpentent la chaussée.
Tous les jours, dès le lever du soleil, il exécute les mêmes gestes. Il exhibe les tabloïds, les ‘’soleils’’, appellation générique que lui et ses collègues donnent à tous les tabloïds dakarois. Une habitude qui remonte à l’époque où le quotidien national ”Le Soleil” était pratiquement le seul quotidien à paraître au Sénégal et qui est demeurée depuis lors chez beaucoup de vendeurs de journaux.
L’homme enserre sous son bras une pile de journaux et tient un petit lot qu’il exhibe de sa main pour attirer la curiosité des passants et des automobilistes.
Sans arrêt, le vieil homme scande : ‘’Lisez les infos, il faut lire’’.
Mais ici, c’est au petit bonheur la chance. Car si certains automobilistes s’arrêtent parfois pour s’acheter des journaux, d’autres par contre font souvent la sourde oreille et sans même le moindre regard, continuent leur route.
‘’La vente de journaux est réduite maintenant à une affaire de clients. Seuls les habitués achètent’’, lâche-t-il, l’air dépité.
Actuellement, renchérit-il, ‘’il n’y a que les amoureux de la presse écrite qui achètent les journaux. Ces jeunes que je vois là ne lisent plus. La lecture est une question d’habitude. Et la plupart d’entre eux n’ont pas cette habitude. Si ce n’est qu’avec eux, le déclin de la presse écrite est garanti’’.
Le Coronavirus, facteur aggravant
Le vieux marchand de journaux indique que c’est la période de la crise sanitaire liée au coronavirus qui a aggravé la situation dont les symptômes n’ont cessé d’empirer avec l’essor sans précédent des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Contraints au confinement, des lecteurs assidus avaient déserté les kiosques pour se rabattre sur la presse en ligne et les réseaux sociaux.
Avec l’explosion des sites d’information en ligne, la presse papier a vu une bonne partie de ses lecteurs changer d’habitude.
Mais tous n’ont pas succombé à cette nouvelle tendance. Selon Samba Watt, certains d’entre eux demeurent encore de fidèles lecteurs et continuent à acheter les quotidiens, comme au bon vieux temps.
Khalifa Dramé appartient à cette catégorie de lecteurs restés assidus. Se targuant d’être de l’ancienne génération, il dit ‘’ne pas se retrouver avec le digital’’.
‘’Ce qui est digital peut être bon, mais ça ne me donne pas le feeling de la lecture. Avec le papier, je retiens ce que je lis, ma concentration s’accroît. Je suis très nostalgique de tout ça, je ne veux pas que cela disparaisse’’, fait-il valoir, tenant une dizaine de quotidiens dans l’une de ses mains.
Selon lui, le danger du digital est que les choses sont fugaces, compte non tenu de la disparition des emplois.
Chute drastique des ventes quotidiennes
Vendeur de journaux, Ndongo Ndiaye confie que ses ventes quotidiennes ont ‘’touché le fond’’.
‘’Il n’y a plus qu’une clientèle composée de personnes âgées. Le reste a trouvé la solution dans les applications’’, tente-t-il d’expliquer.
Surnommé Papi à cause de son âge avancé, ce vendeur de journaux considère le désintérêt du public pour les médias imprimés comme une sérieuse alerte.
C’est une ‘’alerte sur la stricte nécessité de réinventer et de réconcilier la presse écrite avec le public’’, estime Papi, établi au rond-point de Keur-Massar, dans la banlieue dakaroise.
Mais c’est aussi une ‘’alerte sur l’urgence de quitter cette vie miséreuse de marchand malheureux, avant de périr avec le soleil que j’ai promu pendant des lustres’’, s’alarme presque le vieux vendeur, les cheveux en bataille, conséquence du vent qui souffle presque sans arrêt.
Yves Ndong, ancien agent municipal devenu vendeur de journaux, confie que sa clientèle s’est rétrécie comme peau de chagrin. Seuls les fidèles parmi les plus fidèles sont restés. Il s’agit des clients auxquels il livre la presse chaque jour à l’aube, précise-t-il.
‘’En dehors de ces derniers, je ne gagne pas grand-chose dans la rue ou dans les kiosques que je fréquente’’, confesse le bientôt sexagénaire.
‘’Quelques fois, Dieu m’est témoin, on est contraint de retourner les journaux aux fournisseurs qui y voient une stratégie de notre part de leur soutirer des sous, alors que ceci n’est que la résultante des mauvaises performances de vente’’, se désole-t-il.
Si elle constate cette évolution, Mai Saliou, une jeune étudiante rencontrée près de l’université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar, ne semble guère s’en émouvoir. Maï Saliou ne cache guère son penchant pour la presse digitale dont elle loue le caractère pratique et la simplicité.
De l’avis d’un journaliste qui a requis l’anonymat, un certain nombre de facteurs peuvent expliquer cette chute des ventes des journaux.
Il cite, en premier lieu, l’apparition des sites d’information et le taux d’analphabétisme. S’y ajoutent, dit-il, un désintérêt pour la lecture, le penchant sensationnel de certains titres et le déficit de qualité.
Il pointe aussi un système de distribution très peu efficace ou encore un lectorat concentré en milieu urbain.
TROIS SUSPECTS ARRÊTÉS APRÈS LE VOL DE 20 MILLIONS FCFA À SANGALKAM
Dans la nuit du 13 au 14 septembre 2024, une boutique de transfert d’argent et de vente de téléphones a été la cible d’un gang armé
Dans la nuit du 13 au 14 septembre 2024, une boutique de transfert d’argent à Sangalkam et de vente de téléphones portables et accessoires a été cambriolée par une bande de plusieurs malfrats. Le Haut-commandement de la Gendarmerie, qui a aussitôt ouvert une enquête, annonce ce mercredi l’arrestation de trois (3) des auteurs présumés de ce vol avec effraction.
“Les investigations menées par la Compagnie de Rufisque, appuyée par la Section de Recherches de Dakar ont abouti à l’interpellation, ce 17 septembre vers 03 heures, de trois (03) suspects présentant des indices graves et concordants qui présument de leur participation à ce cambriolage”, lit-on dans le document publié par les services de communications de la Gendarmerie nationale.
La gendarmerie de rappeler que l’enquête suit son cours et que “les malfaiteurs encagoulés à bord d’un véhicule Pick-up, armés de fusils de chasse, auraient emporté une forte somme d’argent estimée à 20 millions de francs CFA et des téléphones portables”.
LE MINISTRE DES FINANCES ET LE CDEPS AMORCENT UN DIALOGUE POUR ALLÉGER LA PRESSION FISCALE SUR LA PRESSE
Le ministre Cheikh Diba a dit sa volonté de décrispation, informe le président du Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal, Mamadou Ibra Kane, à travers un communiqué.
iGFM - (Dakar) Le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a rencontré le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) pour échanger sur la situation de la dette fiscale des entreprises de presse.
A l’issue de cette entrevue, un vent de décrispation a été noté sur le bras de fer entre le gouvernement et les entreprises de presse. «Le ministre a dit sa volonté de décrispation des rapports (…) avec la presse sénégalaise », informe le président du Cdeps Mamadou Ibra Kane, à travers un communiqué.
En réponse aux doléances du Cdeps, le ministre Cheikh Diba dit être disposé à faire des propositions à son gouvernement. « Après le plaidoyer de Me Doudou Ndoye sur l’urgence d’une main levée sur les comptes bancaires, le ministre a promis, dès le début de la semaine prochaine, des mesures pour examiner favorablement toutes les mesures fiscales préconisées pour desserrer l’étau sur les entreprises de presse », lit-on dans le document.
Pauline Thiam, Maimouna Ndour Faye et Alassane Samba Diop, tous membres du Cdeps, ont rappelé à l’autorité la nécessité du paiement des contrats échus au bénéfice des entreprises de presse.
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LES IMAGES DE L'ATTAQUE TERRORISTE À BAMAKO
L'aéroport Modibo Keita a tremblé sous les balles. Le fleuron de l'aviation présidentielle, symbole de puissance, s'est vu réduit à une carcasse fumante sur le tarmac
L'aube du 17 septembre à vu Bamako s'éveiller dans un cauchemar orchestré. Des ombres meurtrières se sont faufilées dans la capitale malienne, semant le chaos et la mort.
L'école de gendarmerie, sanctuaire de l'ordre, est devenue en quelques instants un enfer de flammes et de cris. Puis, comme un deuxième coup de tonnerre, l'aéroport Modibo Keita a tremblé sous les balles. Le fleuron de l'aviation présidentielle, symbole de puissance, s'est vu réduit à une carcasse fumante sur le tarmac.
Cette chorégraphie macabre, revendiquée par les sbires d'Al-Qaïda, a laissé la ville KO. Le bilan, aussi flou que glaçant, se compte en dizaines de vies fauchées.
Mais au-delà des chiffres, c'est l'audace de cette opération qui frappe. En paralysant les forces d'élite avant de frapper le cœur du pouvoir, les assaillants ont démontré une stratégie aussi efficace que terrifiante.
Cette attaque, survenant dans le sillage d'une cuisante défaite militaire dans le Nord, sonne comme un sinistre rappel : le Mali, malgré ses efforts, reste prisonnier d'une spirale de violence dont l'issue semble, plus que jamais, incertaine.
DOLEEL PIT-SÉNÉGAL SONNE LE TOCSIN
Le mouvement dénonce ce qu'il perçoit comme des manœuvres de l'ancien régime pour reprendre le pouvoir, avec la complicité surprenante de certains acteurs politiques, dont la Confédération pour la Démocratie et le Socialisme
Doleel PIT-Sénégal ngir defaraat reewmi dresse un tableau sans concession des forces en présence dans le paysage politique national, pointant du doigt ce qu'il considère comme des trahisons et des compromissions. Il fustige notamment l'alliance entre la CDS et les figures de l'ancien régime.
"Les laquais de l’ancien régime à l’assaut de la révolution citoyenne
Depuis l'élection du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye le 24 mars 2024, accompagnée de la nomination de Ousmane Sonko comme Premier ministre, le Sénégal est en plein bouleversement politique. La révolution citoyenne que représente ce duo, porté par les idéaux de Pastef et adoubé par les Sénégalais, a redonné espoir à une nation longtemps maintenue sous le joug néocolonial et impérialiste. Mais tout le monde n'est pas prêt à voir ce projet aboutir. Les figures de l'ancien régime, Macky Sall et Amadou Ba, bien que déchus du pouvoir, n’ont pas dit leur dernier mot. En effet, ils comptent sur les élections législatives du 17 novembre 2024 pour annuler les acquis de cette révolution populaire.
La Confédération pour la Démocratie et le Socialisme (CDS), autrefois porteuse des espoirs d’une gauche progressiste, a sombré dans une trahison silencieuse, choisissant de s’aligner derrière ces figures usées du pouvoir, plutôt que de défendre les idéaux qu’elle prétendait incarner. Au lieu de se battre pour le projet d’émancipation citoyenne porté par la nouvelle équipe dirigeante, la CDS a préféré s'allier à l'ancien régime, espérant reprendre pied dans l’appareil d’État par la petite porte des législatives.
Ce qui est frappant, c’est que la CDS, au lieu de proposer une alternative claire pour soutenir le projet de renouveau démocratique et économique de Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a choisi de faire le jeu de ceux qui ont méthodiquement exploité les travailleurs sénégalais. Macky Sall et Amadou Ba incarnent tout ce que la révolution citoyenne cherche à détruire : la soumission aux intérêts étrangers, la domination néocoloniale, et le mépris des aspirations populaires. Alors que Pastef promet de rétablir la souveraineté nationale en rompant avec la Françafrique et en refondant les structures économiques pour le bénéfice des Sénégalais, la CDS s’accroche au passé, soutenant une bourgeoisie compradore qui a toujours privilégié ses propres intérêts.
Amadou Ba, fonctionnaire milliardaire sans convictions, n’a jamais représenté autre chose que la continuité du système corrompu de Macky Sall. Et pourtant, la CDS, incapable de proposer un véritable programme pour les travailleurs et les opprimés, a décidé de se ranger derrière cet homme, dans une tentative désespérée de faire la roue de l’Histoire à l’envers à l’envers. Là où Bassirou Diomaye Diakhar Faye et Ousmane Sonko incarnent l’avenir, la CDS préfère s’enliser dans le passé, sacrifiant le monde du travail sénégalais sur l’autel des alliances politiciennes.
La lâcheté de la CDS est d’autant plus flagrante qu’elle se dérobe à ses responsabilités dans un moment crucial de l’histoire sénégalaise. Elle aurait pu se rallier à la révolution citoyenne, soutenir le projet de Pastef et se battre pour que le Sénégal prenne enfin en main son destin. Mais non, elle a préféré se complaire dans son rôle de figurant de l’ancien régime, espérant récupérer quelques miettes de pouvoir en soutenant leurs anciens compères de BBY lors de ces élections législatives dont ils espèrent qu’elles vont annihiler les acquis de la révolution.
Le peuple sénégalais, cependant, ne se laissera pas tromper. La victoire de Bassirou Diomaye Diakhar Faye et la nomination de Ousmane Sonko sont le fruit d’un long combat pour la justice, la souveraineté et la dignité. Le projet de Pastef n’est pas qu’un simple changement de visages au sommet de l’État ; c’est une transformation profonde des structures économiques et politiques du pays. Il s’agit de rompre avec des décennies de domination étrangère et de reconstruire un État au service de tous les Sénégalais, pas seulement d’une élite privilégiée.
Le 17 novembre 2024, les Sénégalais auront à choisir entre la poursuite de cette révolution citoyenne ou un retour en arrière, symbolisé par Macky Sall, Amadou Ba et leurs laquais, comme la CDS. Le choix est simple : continuer sur la voie de la souveraineté, de la justice sociale et de la démocratie, ou permettre à l’ancien régime de reprendre le contrôle et de détruire ce que le peuple a si durement acquis."
APRÈS BOURGES FOOT 18, SADIO MANÉ VA ENCORE INVESTIR EN FRANCE
Associé à l’entrepreneur berrichon Sébastien Pillard, avec lequel il vient de créer la société SM10 France, l’international sénégalais est en passe de faire l’acquisition d’un hôtel particulier du centre-ville de Bourges.
iGFM (Dakar) Patron du Bourges Football Club, la star mondiale du ballon rond Sadio Mané souhaite investir dans le Cher. Associé à l’entrepreneur berrichon Sébastien Pillard, avec lequel il vient de créer la société SM10 France, l’international sénégalais est en passe de faire l’acquisition d’un hôtel particulier du centre-ville de Bourges, avec pour but de le transformer en complexe de luxe.
L’investissement de Sadio Mané à Bourges devrait largement dépasser le cadre du football. La star mondiale du ballon rond ne compte pas se contenter du costume d’actionnaire majoritaire de la société par actions simplifiée (SAS) SM10 Pro Bourges, statut faisant de lui le patron du Bourges Football Club.
Vers l'acquisition d'un hôtel particulier qui sera transformé en complexe de luxe
Sadio Mané est visiblement tombé sous le charme du département du Cher. Quasi un an après avoir être devenu actionnaire majoritaire du club de Bourges Foot 18 en National 2, l’international sénégalais (107 sélections, 43 buts) est sur le point d’acquérir un hôtel particulier pour le transformer en complexe de luxe, informe Le Berry Républicain.
Un investissement de plusieurs millions d’euros
L’idée est de faire sien L’Hôtel des Méloïzes, également appelé hôtel des Finances, dans le centre-ville de Bourges et de le transformer en un établissement haut de gamme. L’ambitieux projet, d’un coût total estimé à plusieurs millions d’euros d’après le quotidien départemental français, englobe, entre autres, un restaurant gastronomique, des solutions d’hébergement de luxe et un espace de bien-être.
Populaire pour ses ouvrages dans le caritatif au Sénégal depuis plusieurs années, Sadio Mané dévoile petit à petit sa facette d’homme d’affaires au nez creux. Avec son associé Sébastien Pillard, un entrepreneur berrichon avec lequel il vient de créer la société SM10 France portant ses initiales, l’ailier de 32 ans a flairé le bon coup. « Sadio Mané souhaite, comme moi, investir sur le territoire. Et si nous travaillons ensemble sur ce magnifique dossier, c’est parce que nous sommes conscients que la demande est forte », a confirmé Pillard.
Les deux hommes sont entrés en contact par l’intermédiaire de Cheikh Sylla, ami de la star et président de BF18. Toujours selon Le Berry Républicain, le complexe ouvrira ses portes en 2026. L’ancien de Liverpool est également entré au capital du groupe Sesyclau, un cador du commerce dans le Berry, ajoute la même source.