Le journaliste Adama Gaye ne compte nullement laisser le régime de Macky Sall abuser des Sénégalais dans la gestion du pouvoir. Que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans les médias traditionnels, Adama Gaye est de plus en plus engagé avec des critiques acerbes porter contre les Faye Sall.
C'est le cas dans cette entretien sur la Tfm.
Un graffiti de Messi et Ronaldo s'embrassant fait fureur avant le Clasico
Un graffiti montrant le footballeur argentin Lionel Messi embrassant le Portugais Cristiano Ronaldo faisait fureur vendredi à Barcelone, à deux jours du match entre le Barça et le Real Madrid, crucial pour le classement du championnat espagnol.
L’œuvre a été peinte sur un abribus en plein-centre de Barcelone par l'artiste de rue italien Tvboy, profitant de la coïncidence de date entre la rencontre entre les deux clubs historiques espagnols, comptant pour la 33e journée de la Liga, et de la fête des amoureux en Catalogne, qui tombent tous les deux dimanche.
On y voit les deux stars, rivales sur le terrain, enlacées et s'embrassant tendrement, un ballon de football à leurs pieds. Messi, sur la pointe des pieds pour embrasser Ronaldo, plus grand, tient une rose dans les mains.
De nombreux touristes prenaient vendredi des photos de l’œuvre, également très commentée sur les réseaux sociaux et dans la presse.
"J'ai cherché un message d'espoir et d'optimisme. Avec tous les affrontements qu'il y a eu dans le monde du football, entre les supporters, j'ai voulu dire +il faut prendre tout ça avec calme, ironie+. Le sport, ce doit être que du plaisir", a expliqué l'artiste à l'AFP.
"Messi et Cristiano sont rivaux, je sais que jamais ils ne s'embrasseraient. Mais l'art doit représenter un monde idéal, surprendre, provoquer", a-t-il ajouté.
Tvboy, dont le vrai prénom est Salvatore, est un Milanais d'origine, installé depuis 13 ans à Barcelone, dont il utilise certaines rues en guise de galerie d'art.
Il y avait déjà peint Messi en Messie, mais aussi le pape François en Superman, Pablo Picasso tel le personnage de Pokémon Pikachu, Vincent Van Gogh en "hipster" ou Salvador Dali en graffeur.
Lors de la dernière campagne électorale américaine, l'artiste avait dessiné un baiser entre le candidat républicain et désormais président Donald Trump et sa rivale démocrate Hillary Clinton, inaugurant ainsi la série "L'Amour est aveugle", à laquelle appartient aussi l'étreinte entre Ronaldo et Messi.
Neymar, Brady et James parmi les sportifs les plus influents, selon Time Magazine
Le Brésilien Neymar, joueur du FC Barcelone, Tom Brady, le quarterback des New England Patriots, et LeBron James, champion NBA avec les Cleveland Cavaliers, figurent parmi les sept sportifs les plus influents au monde dans la liste annuelle des 100 personnalités du magazine Time.
Un autre joueur de football américain, le quarterback Colin Kaepernick, la multiple championne olympique de gymnastique aux Jeux de Rio, Simone Biles, ainsi que le directeur général des Chicago Cubs (baseball) Theo Epstein, et le champion MMA, Conor McGregor, complètent la liste des sept sportifs à se faufiler parmi les leaders politiques et économiques, les scientifiques et artistes les plus marquants.
Dans un commentaire, l'ancien capitaine de la sélection anglaise David Beckham a écrit que Neymar "est un footballeur qu'on ne rencontre qu'une fois par génération".
Brady a enlevé son 5e Super Bowl en février, après avoir aidé les Patriots à refaire leur retard de 25 points dans le troisième quart-temps avant de battre les Atlanta Falcons en prolongation.
De son côté, James a été l'artisan du retour gagnant des Cavaliers, menés 3-1 par les Golden State Warriors en finale de NBA. "C'est de la poésie en mouvement", a résumé Rita Dove, écrivain, vainqueur du prix Pulitzer et du trophée des poètes américains.
PAR L'ÉDITORIALISTE DE SENEPLUS, MOMAR SEYNI NDIAYE
QUI PARLAIT DE DYNASTIE FAYE SALL?
EXCLUSIF SENEPLUS — Avec un oncle édile à Pikine, un frère maire, un beau-frère ministre, une kyrielle de parents à la tête de directions stratégiques, il n'en fallait pas plus pour crier à la dynastie Faye Sall
Dans notre continent où la tentation népotique est légion, il n'est pas banal qu'un Président de la République, alors que rien ne l'y contraint, décide d'écarter son frère et son oncle, maires régulièrement élus de deux grandes agglomérations de postuler à la députation. Le Président Macky Sall s'est plié à cette délicate obligation morale, en acceptant, certainement, pour l'avoir suscité, le retrait des candidatures potentielles aux élections législatives d'Aliou Sall et Abdoulaye Timbo.
Cet acte courageux prend une valeur symbolique forte et donne plus de couleurs à l'image d'un Président souvent taxé de pratiques claniques. Dès en 2012, le Président Wade avait malencontreusement agité cette accusation. Mais, il n'avait réussi ni à empêcher l'élection confortable du Président Sall, encore moins à opposer les Sénégalais autour de ce thème sordide.
Pis, un des conseillers du Président Sall, écarté pour des écarts de langage, s'est amusé à dresser sur une base patronymique la liste des PCA, ministres DG, ambassadeurs nommés depuis 2012. Tirant les conclusions de cette comptabilité morbide, il présidait l'imminence d'un État dominé disait-il, par 70 familles toutes issues de la même ethnie. Aujourd'hui ce conseiller reconverti à la Primature après maintes génuflexions a dû ravaler son tableau.
Récemment au cours d'un entretien radiophonique, Ousmane Sonko avait fait une pareille évocation, avec plus de retenue. Mais, l'allusion était suffisamment claire pour passer inaperçue. D'autres voix moins autorisées n'ont pas résisté à cette évocation. Mais à la faveur de l'opportune parenté à plaisanterie, notre ciment national à résisté à toutes les tentatives de dessouder la cohésion nationale.
Il est vrai qu'à chaque changement de régime, le jeu d'alliances et de mésalliances remorque les vieux réflexes du repli identitaires et de l'instinct grégaire. Dans l'histoire du Sénégal, ces approches réactionnaires, n'ont jamais pris une ampleur démesurée. Certes, la famille, les proches ont été toujours considérés, comme le premier cercle d'exercice d'une autorité et disons-le, le socle de la société. La parentalité se présente alors, quelle que soi la lignée, comme une valeur cardinale et un instrument essentiel, pour préserver les bijoux de famille, en valeurs et en biens.
Mais la notion de famille élargie, de parenté par alliance, de cohabitation et de bon voisinage, valorisée par les religions, a dressé un solide rempart contre la tentation à l'exclusion et à la stigmatisation. Il n'empêche depuis l'indépendance, les parents ont été omniprésents dans l'entourage présidentiel, certes à des degrés divers On oublie souvent que le Président Senghor qu'on disait si républicain avait de manière subreptice promu un bataillon important de frères, demi-frères, cousins, neveux et alliés dans l'administration, les chancelleries et les organisations internationales.
Maguette Diouf chargé de la modernisation de l'État siégeait aux conseils des ministres à côté de son frère Chef de l'État. Et nombre de ses cousins s'étaient reconvertis dans les affaires et profitaient des aubades des marchés publics. Les amis et proches du clan Diouf étaient casés dans des stations avec des revenus confortables, alors même qu'une catégorie de Sénégalais naturalisés, proche de son épouse, restait quasiment intouchable dans le monde des affaires.
Arrivé au pouvoir en 2000, Abdoulaye Wade a voulu tout simplement instauré une dévolution monarchique du pouvoir au profit de son fils, Karim, avec le résultat qu'on sait. Non sans avoir mis le pied à l'étrier à des neveux dans les institutions et les affaires. Aujourd'hui, les indexations de tentation dynastique n'épargnent pas le Président Sall. Avec un oncle édile municipal à Pikine, un frère maire, actionnaire et président de nombreuses structures politiques et associatives, englué dans l'épineux dossier du pétrole avec Pétrotim, un beau-frère ministre de l'hydraulique et de l'assainissement, une kyrielle de parents et alliés à la tête de directions stratégiques, il n'en fallait pas plus pour crier à la "dynastie Faye Sall."
Même si cette sensation n'a jamais été perçue comme une frustration endémique, il n'en reste pas moins vrai qu'il y a du ressenti partagé dans les catégories populaires. La pudeur légendaire des celles-ci les prévenant contre toute manifestation d'hystérie et même toute évocation publique de ce qui a pu être considéré comme une entorse aux ruptures promises par le Président Sall en 2012. L'exemple ou plutôt le contre-exemple de Wade était suffisamment parlant pour servir de leçon aux futurs acteurs de la seconde alternance. La République avait failli basculer dans le désordre à cause de cette fâcheuse inclinaison à gérer le pouvoir en régie familiale.
Et pourtant, dans l'entourage du Président Sall, on réfute cette accusation, en arguant que tout dans son parcours social, scolaire, universitaire et politique va à l'encontre de cette propension sectaire. Soit. D'où vient alors cette sensation qu'une tentation grégaire de gestion du pouvoir est rampante au Sénégal depuis 2012 ?
Facile d'accuser les médias d'avoir amplifié des rumeurs quand la fulgurance promotionnelle de certains parents et proches fait débat. La décision du Président Sall de stopper cette spirale sonne comme un coup d'arrêt à toutes les appétences boulimiques qui s'emparent de ses proches, trop enclins à accumuler démesurément, biens, pouvoirs et postes. Une attitude patrimoniale contre laquelle, tout s'insurge. Le message présidentiel est rassurant et rétablit le besoin de moralisation de la politique.
L'immixtion tentaculaire de la famille dans les décisions administratives politiques, comporte des dangers d'enrichissement illicite et toutes ses conséquences judiciaires postérieures. Elle alimente les argumentaires des opposants, qui l'agite comme un épouvantail, en souvenir du douloureux épisode wadien de 2011.
Cette capillarité accumulatrice de biens et de pouvoir détourne les attentions des citoyens sur les enjeux économiques et sociaux et les focalise sur ces pires aspérités sociétales. Il ne fait aucun doute que les résultats économiques du Plan Sénégal Emergent sont en train d'opérer des transformations sociales importantes dans notre pays, et ce, dans de nombreux domaines.
La cristallisation sur ces facteurs subjectifs gêne la visibilité gouvernementale sur l'impact progressif de ses résultats. Il s'y ajoute, que l'image, les représentations qu'elle induit et la perception qu'elle porte de manière presqu'indélébile, est plus forte que la réalité.
Certes, rien n'interdit aux parents proches du Président de briguer des mandats électifs et de bénéficier de la confiance du Président pour la gestion de responsabilités administratives ou politiques. S'ils étaient dans l'opposition, la question ne se poserait pas. Mais comment les Sénégalais verraient, un État, dirigé par un chef bien élu, une assemblée nationale comportant des députés, proches parents, membres du bureau, un ministre maire, et autres alliés dans d'autres postures de pouvoir ou d'enrichissement ? Cette image est forcément dévalorisante, et désastreusement négative. Même si, au demeurant, ni la compétence, ni l'engagement de ces Sénégalais à part entière ne sont en cause.
Il ne s'agit nullement d'un délit de faciès ou de parentalité. Mais de moralité, cette règle non écrite qui vaut son pesant d'or dans le tissu relationnel national et la perception globale des citoyens.
Il reste ce que la loi permet parfois, l'honneur et la dignité peuvent l'interdire. Il en est ainsi du reste pour la religion. Le recadrage présidentiel s'inspire de cet élan moral, qui donne à un homme la possibilité de comprendre ce proverbe wolof : "Ku sexluwul, barilé", ou en d'autres termes, celui que rien ne répugne, ni insupporte, forcément accumule tout. Mais à quel prix !
Oui, Monsieur le Président, vous avez bien raison de freiner cette frénétique propension à la subjectivation du débat politique. Il n'y a que les zélateurs d'un autre âge pour s'en offusquer, invoquant la loi et sa norme impersonnelle et universelle, pour justifier l'encombrement familial, dont ils se plaignent en privé.
Le délit de consanguinité n'existe pas certes. Il serait même abject car le partage d'un même ADN ne saurait brider la carrière de personnes de même sang. Mais l'image d'une république genre Gondouana est plus corrosive qu'une bénigne entorse à un principe. Chapeau M. L.e Président ! Vous avez compris le message populaire.
Le groupe Sac City est composé de Mo Djamil et Dou 2 jeunes artistes résidant dans la capitale Sénégalaise plus précisément à Sacré Cœur d'ou le nom de Sac City. Après leur single vidéo "Khalébi Néna" qui a cartonné sur les réseaux et sur des chaines internationales tel que Bblack ou le clip était "Coup De Coeur" avec des passages sur d'autre chaine Africaine 'RTI2, ESPACE TV, TRACE AFRICA Etc.)
Le groupe Sac City revient avec le single clippé Balma, fait dans un style slow mix tradi-moderne avec des instruments Africains comme la flûte et le tama en plus des instruments modernes est juste dans le bon tempo pour décrire et parler d'amour. C'est aussi une sorte d'enseignement pour les couples du monde et à travers ce clip nous démontrons que des problèmes du genre peuvent arriver à tout le monde à tout moment et surtout ils peuvent se régler juste en sortant le petit mot magique "Balma".
Sachant que chez nous au Sénégal les gens sont soucieux de leur fierté, nous essayons à travers ce son et ces images d'inciter les gens à mettre de côté leur fierté et de demander pardon quand il le faut.
L'ex-footballeur français Djibril Cissé a annoncé jeudi sa mise en examen dans l'affaire de chantage à la sextape visant Mathieu Valbuena, dans laquelle l'attaquant du Real Madrid Karim Benzema est également mis en cause.
"Le 24 février 2017, M. Djibril Cissé a fait l'objet d'une mise en examen. Celle-ci est intervenue dans le cadre de la procédure en cours engagée à la suite de la plainte déposée par son ami M. Mathieu Valbuena pour des faits de chantage à la sextape", affirme-t-il dans un communiqué transmis par son avocat à l'AFP et confirmant une information du Parisien.
Vente de l'AC Milan: Berlusconi restera "toujours le premier tifoso"
Silvio Berlusconi, qui a vendu jeudi l'AC Milan à des investisseurs chinois après 31 ans de présidence, a assuré dans une lettre publiée sur le site internet du club qu'il en resterait "toujours le premier tifoso".
"Je laisse aujourd'hui, après plus de 30 ans, le titre et la charge de président du Milan. Je le fais avec douleur et émotion mais en étant conscient que le football moderne implique pour être compétitif au plus haut niveau européen et mondial des investissements et des ressources qu'une famille seule ne peut plus assumer", écrit Berlusconi, qui avait pris les commandes du club lombard en 1986.
S'adressant aux tifosi du club, l'ancien chef du gouvernement italien assure ensuite qu'il restera "toujours le premier tifoso du Milan, l'équipe que mon père m'a appris à aimer quand j'étais enfant".
"Je ne pourrai jamais oublier les émotions que le Milan a su m'offrir et a su nous offrir à tous. Je n'oublierai jamais toutes les personnes grâce auxquelles j'ai eu la chance de présider ce club qui a tellement gagné", ajoute Berlusconi.
L'ancien président du club a ensuite proposé ses encouragements aux nouveaux propriétaires chinois du club. "Je leur souhaite cordialement et sincèrement d'obtenir des résultats encore plus extraordinaires que ceux que nous avons obtenus", a-t-il écrit.
- Tristesse de Baresi -
Arrigo Sacchi, l'entraîneur avec lequel le Milan de Berlusconi a connu ses plus grands succès, et notamment les deux Ligues des champions consécutives de 1989 et 1990, a de son côté salué "l'amour pur" de Berlusconi pour son ancien club.
"Berlusconi a tant de choses en tête, la politique en premier lieu, qu'il avait du mal à tout suivre. Mais le football doit lui être reconnaissant", a déclaré Sacchi à la Rai.
L'ancien capitaine Franco Baresi, qui a fait toute son immense carrière au Milan, a lui reconnu "un peu de tristesse".
"C'est une époque spéciale qui se termine pour moi qui suis resté tant d'années avec Berlusconi. J'ai connu plus de joies que de douleurs. Maintenant, il faut regarder devant même si après tant d'années, un changement comme celui-là provoque de la tristesse. Mais je suis convaincu que le président a bien pesé les choses et que le bon moment était arrivé", a-t-il dit, lui aussi à la Rai.
Interrogé sur Radio 24, le sélectionneur de l'Italie Giampiero Ventura a lui classé l'AC Milan de Berlusconi et Sacchi parmi les "trois équipes qui, ces 30 dernières années, ont écrit l'histoire du football, avec Barcelone et l'Ajax de Cruyjff".
Officialisée hier dans les locaux de la Télévision futurs médias (Tfm), l'affiche Balla Gaye 2-Gris Bordeaux a enregistré son premier face à face. Celui-ci a tenu toutes ses promesses avec des échanges houleux entre les deux lutteurs.
Le combat entre Balla Gaye 2 et Gris Bordeaux a été officialisé par le promoteur Luc Nicolaï, dans les locaux de la Télévision futurs médias (Tfm). Une occasion pour les deux lutteurs d'annoncer d'entrée la couleur.
Premier à engager la bataille psychologique, Balla Gaye 2, l'ancien "Roi des arènes", dira avoir attendu pendant longtemps la tenue de ce combat. Pour son grand retour, il dit être revenu pour "tuer" son adversaire. "C'est un combat que tout le Sénégal attendait. Et personnellement, j'en ai tellement rêvé. Je reviens de Gadaye et je serai encore plus dangereux que par le passé", dira le lutteur de Guédiawaye.
De son côté, Gris Bordeaux ne s'est pas laissé impressionner. "Je veux que tu me dises de quel côté ça va chauffer", réplique le 3e Tigre de Fass, avant de lancer une autre flèche. "Balla est un lutteur qui parle beaucoup. Je le laisse parler. Je vais lui clouer le bec. Il sait à quoi s'attendre", lance Gris Bordeaux.
Une réaction qui sera très mal appréciée par le champion de Guédiawaye. "Je suis plus fort que toi. Je lutte mieux que toi et je suis plus technique que toi. Tu verras ce que tu n'as jamais vu de ta vie", dira de son côté, Balla Gaye 2. C'est dans ce contexte que Gris Bordeaux a sollicité le soutien de ses parents lébous. "Le combat commence aujourd'hui. Que les 12 Penc dont je suis issu le sachent", fera savoir Gris Bordeaux.
Un cachet de plus de 220 millions
Parlant du cachet des deux lutteurs, le promoteur a tenu à préciser qu'il a dépensé plus de 220 millions de francs Cfa. "On a parlé de 130 millions. Il faut faire attention quand on écrit certaines choses dans la presse. Chacun des lutteurs a reçu une proposition de plus de 50 millions d'un sponsor en plus de leur cachet. Donc, le cachet dépasse largement ce qui a été dit", a tenu à préciser Luc Nicolaï.
Ce dernier promet d'ailleurs de ressusciter la lutte, en léthargie depuis quelques années, à travers cette affiche. A noter que le combat est prévu le 1er janvier 2018 au stade Demba Diop. "C'est un jour très spécial qui a marqué beaucoup d'événements dans l'arène", a encore soutenu le promoteur de lutte mbourois.
Allemagne: Aubameyang menacé de sanctions pour son masque de catcheur
Pierre-Emerick Aubameyang le facétieux s'est attiré les foudres de ses dirigeants de Dortmund en célébrant un but samedi avec un masque de catcheur, publicité déguisée pour son équipementier Nike, alors que son club est sous contrat avec le concurrent Puma.
"C'est d'une rare bêtise. Cette fois ça va être plus compliqué pour lui", a tonné le patron du Borussia Hans-Joachim Watzke, alors que le buteur gabonais avait déjà été rappelé à l'ordre en mars pour avoir joué avec le logo de Nike dessiné sur son crâne.
Puma, qui n'avait pas publiquement réagi à l'époque, a cette fois publié un communiqué: "Nous sommes convaincus que le Borussia Dortmund tirera les conséquences correctes de cet incident", déclare dimanche la firme allemande, qui laisse entendre qu'une sanction serait la bienvenue.
Alors qu'il venait de donner l'avantage à son équipe sur la pelouse de Schalke (1-1), Aubameyang s'est saisi d'un masque noir orné de deux éclairs orange et l'a enfilé avant d'embrasser ses partenaires, hilares.
Le masque en lui-même ne porte pas la marque de Nike, mais c'est le même masque qu'Aubameyang porte dans une publicité pour la marque, et le rapprochement a rapidement été fait.
Les dirigeants du Borussia lui reprochent en outre d'avoir écopé avec cette célébration d'un carton jaune parfaitement idiot. Le Gabonais, en tête du classement des buteurs avec 24 réalisations cette saison, en est à son troisième, et le règlement prévoit un match de suspension après cinq avertissements dans la saison.
Dortmund redoute désormais qu'Aubameyang soit averti encore deux fois prochainement, et suspendu pour un match décisif de fin de saison, éventuellement qualificatif pour la Ligue des champions.
Sur Twitter, le joueur de 27 ans a joué les naïfs: "Moi arrogant? Allez les gars, c'est ma façon de vivre (...) Je suis comme un enfant qui aime jouer au foot", a-t-il écrit en anglais.
Me arrogant? Come on guys this is the way i live!! this is my world im like a kid who enjoy to play football keep going Team #AUBAMANpic.twitter.com/jCTpG6ZZwi