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28 novembre 2024
People
FAADA FREDDY INVITE AU GOSPEL JOURNEY
Les 12 et 13 janvier prochain, le chanteur de daradji family convie les mélomanes spectacle de sons, rythmes et voix qu'il offrira d'abord à l'hôtel Pullman puis au grand théâtre national
Le Quotidien |
Mame Fatou Kébé |
Publication 08/01/2018
Un pur spectacle de sons, rythmes et voix capable de faire vibrer les plus âgés aux plus jeunes. C’est ce que va offrir l’artiste Faada Freddy lors de ses concerts «Gospel journey» prévus le vendredi 12 janvier à 20h en avant-première au Pullman Teranga et le samedi 13 janvier prochains à 20h au Grand Théâtre national. Après une tournée européenne, c’est autour de Dakar de savourer une fois encore les rythmes du premier opus du chanteur de Daradji Family, Faada Freddy. Ce sera un spectacle aux accents folk et reggae intitulé «Gospel journey». Deux dates sont retenues. Le vendredi 12 janvier 2018 à 20h en avant-première au Pullman Teranga et le lendemain à 20h au Grand Théâtre national. « Bois Sakré présente Gospel journey pour la première fois à Dakar. A la croisée des chemins, entre soul, folk, gospel et reggae, Faada Freddy offre un pur spectacle de sons, rythmes et voix capable de faire vibrer les plus jeunes aux plus âgés», lit-on dans un communiqué qui annonce l’évènement. Environ 3 000 personnes sont attendues durant ces deux jours de spectacle live, annonce également le document. Il précise qu’«une partie des recettes seront reversées à l’Association Village pilote, comme contribution au renforcement des besoins matériels et aux conditions de vie pour une meilleure prise en charge des enfants de la rue». S’agissant du nouvel album de Faada Freddy, le dossier de presse rappelle qu’après être resté pendant plusieurs semaines dans le top des charts iTunes, Spotify, Deezer avec son Ep Untitled, «Faada Freddy sortait en janvier 2015 son 1er album solo Gospel journey. Un album composé sans le moindre instrument, uniquement avec des voix et des percussions corporelles». Entre battements de chœurs, claquements de doigts, beatboxing, l’artiste «enchante avec sa voix unique au service d’une pop music millimétrée, à la fois innovante et empreinte de toute l’âme de la soul. Subtil mélange entre Bobby Mc Ferrin, Otis Redding, Bob Marley et Michael Jackson», précise-t-on. Le document de presse souligne également que «Gospel journey», «recèle d’hymnes pop aux mélodies accrocheuses qui donnent une irrésistible envie de sourire, chanter voire même de danser». «Mais surtout, l’homme est un formidable show-man. Sur scène, Faada Freddy virevolte, danse, exulte, communie avec le public», glorifie-t-on. Non sans omettre d’être poétique, affirmant que «les lumières dansent autour de lui et ses musiciens talentueux partagent et accompagnent cette transe. Quant au public, il est littéralement happé de la première à la dernière note». Rendez-vous est pris !
Témoignages de quelques riverains de l'île de Ngor sur la célébre chanteuse française France De Gall. Selon eux, la star part laissant derrière une population triste mais surtout les enfants car elle leur consacrait beaucoup de son temps. c'est quelqu'un qui a beaucoup fait dans le social.
Voir vidéo.
UN SEUL SÉNÉGALAIS PARMI LES 50 ESPOIRS 2018
Malang Sarr qui évolue à Nice, figure sur la liste de l'UEFA des joueurs qui pourraient faire bonne impression cette année
L’UEFA a publié cette semaine une liste de 50 jeunes joueurs à suivre en 2018 et susceptibles de devenir incontournables en 2019.
Malang Sarr est le seul « sénégalais » de la liste. Âgé de 18 ans, le défenseur central évolue à Nice depuis ses cinq ans mais il pourrait prochainement quitter la Côte d’Azur, pisté notamment par des clubs étrangers.
Cette distinction pourrait peut être relancer l’intérêt de Aliou Cissé pour ce binational.
Elle était d'une générosité extraordinaire et très discrète - C'était la première à participer pour faire avancer l'île et pour participer aux actions caritatives
A trois minutes de pirogue de Dakar, la petite île de N'Gor, surnommée "N'Gor la belle", pleurait dimanche la chanteuse française France Gall, qui y possédait une maison, tandis que son restaurant, dans un quartier résidentiel de la capitale sénégalaise, a gardé les volets baissés.
Sur l'île, qui s'orthographie également Ngor, des vigiles empêchaient de s'approcher de la modeste demeure d'un étage aux murs jaune clair de la chanteuse décédée dimanche matin, a rapporté un vidéaste de l'AFP.
Les ruelles de N'Gor, îlot de tranquillité face à l'océan Atlantique prisé par les surfeurs, étaient pratiquement vides par cette journée fraîche et venteuse.
Emilie, une touriste italienne, pour qui France Gall "était tout" s'y est tout de même rendue. Elle explique s'être sentie "déboussolée" à l'annonce de son décès d'une récidive d'un cancer.
Abdoulaye Diallo, artiste-peintre qui tient une galerie d'art sur l'île, connaissait celle qui, dans la chanson "Babacar", évoquait la détresse et la pauvreté d'une mère sénégalaise et de son fils qu'elle avait rencontrés.
"Elle était d'une générosité extraordinaire et très discrète. C'était la première à participer pour faire avancer l'île et pour participer aux actions caritatives", se souvient-il.
Sur la terre ferme, sur la corniche des Almadies, le cabanon-crêperie-restaurant que possédait France Gall, le Noflaye Beach, n'a pas ouvert dimanche.
"Pour cause de décès de France Gall, le restaurant est fermé pour deux jours", indique une affiche.
A travers la porte de l'établissement, situé en bord de mer, le gérant, visiblement ému, refuse de parler aux journalistes. "C'est trop douloureux", lâche-t-il simplement.
Le président français Emmanuel Macron a présenté dimanche ses condoléances à la famille de la chanteuse, mais aussi aux habitants de Ngor.
L'artiste française (70 ans) décédée ce dimanche 07 janvier 2018 à Paris, vivait au Sénégal, pays qu'elle a découvert en 1985 grâce à son ami Daniel Balavoine. "Je me suis sentie bien là-bas, et petit à petit, j'ai eu des amis, j'ai acheté un cabanon...", raconte-t-elle. Voir vidéo.
Son fils accusé de "trahison" par un Steve Bannon obnubilé par le "vrai ennemi chinois", Ivanka Trump qui révèle les secrets capillaires de son père: le livre de Michael Wolff qui sort aujourd'hui, fourmille d'anecdotes sur l'entourage du président
Donald Trump Jr. accusé de "trahison" par un Stephen Bannon obnubilé par le "vrai ennemi chinois", Ivanka Trump qui révèle les secrets capillaires de son père: le livre de Michael Wolff ("Le feu et la fureur: dans la Maison Blanche de Trump") qui sort aujourd'hui aux Etats-unis, fourmille d'anecdotes sur l'entourage du président.
Des extraits ont été publiés mercredi par le Guardian, le Washington Post et le New York Magazine.
Ingérence russe
"Les trois personnes les plus importantes de la campagne ont pensé que c'était une bonne idée de rencontrer un gouvernement étranger dans la Trump Tower, dans la salle de conférence du 25e étage, sans avocats. Ils n'avaient pas d'avocats", explique Stephen Bannon en référence à la rencontre entre le fils aîné de M. Trump, Donald Jr., Jared Kushner, gendre et proche conseiller de M. Trump, ainsi que Paul Manafort, et l'avocate russe Natalia Veselnitskaya, le 9 juin 2016 dans la Trump Tower.
Même si vous pensez que ce n'était pas une trahison, pas anti-patriotique ou pas une connerie, et moi je pense que c'est tout cela, vous auriez dû appeler le FBI tout de suite (Steve Bannon)
L'ennemi chinois
"La Chine, c'est tout. Rien d'autre ne compte. Si on ne résout pas la Chine, on ne résout rien", raconte Stephen Bannon comparant le régime chinois à "l'Allemagne nazie" dans les années 1929-1930. "Vous allez avoir un Etat hypernationaliste et après, on ne pourra pas remettre le génie dans la bouteille".
Financement
Michael Wolff rapporte surtout une conversation entre Stephen Bannon en septembre 2016, qui estime que Donald Trump doit injecter 50 millions de dollars pour financer la campagne jusqu'à l'élection, et Jared Kushner.
- "Impossible d'avoir 50 millions à moins qu'on lui assure la victoire", répond Kushner.
- "25 millions?", tente Bannon.
- "Si on lui dit que la victoire est plus que probable".
Donald Trump a finalement prêté 10 millions de dollars à la campagne, à condition que cette somme soit remboursée dès que l'équipe de campagne aurait récolté les fonds par d'autres canaux, selon l'auteur.
Aucune chance
Melania Trump demande à son mari ce qu'il compte faire en apprenant que le New York Post a des photos d'elle nue, datant de sa période de mannequinat. "Il lui dit, attend encore un peu. Tout serait fini en novembre. Il a donné à sa femme un garantie solennelle: il n'y avait simplement aucune chance qu'il gagne".
Soir de victoire : Melania en larmes
Un peu après 20H00 le soir de l'élection, quand la tendance inattendue - Trump pourrait finalement gagner - semble se confirmer, Don Jr. a dit à un ami que son père, ou DJT comme il l'appelle, ressemblait à quelqu'un ayant vu un fantôme. Melania était en larmes - mais pas de joie".
"Vous ne pouvez pas embaucher vos enfants"
"Tôt dans la campagne, Sam Nunberg est allé expliquer la Constitution au candidat. 'Je suis allé jusqu'au 4e amendement', se souvient Nunberg, "avant que son doigt tombe sur ses lèvres et que son attention se perde".
Le président élu souhaite embaucher son gendre, Jared Kushner, comme chef de cabinet. "Finalement, Ann Coulter a pris le président à part. 'Apparemment personne ne vous l'a dit mais vous ne pouvez pas. Vous ne pouvez pas embaucher vos enfants'".
Secrets capillaires
Ivanka Trump révèle à ses amis l'origine de la chevelure blonde de son père: "Un dessus de crâne chauve absolument propre - une petite île limitée grâce à une opération du cuir chevelu - entouré par un cercle de cheveux devant et sur les côtés, qui sont lissés pour couvrir le dessus et tenus avec une laque forte. La couleur, dit-elle dans un effet comique, vient du produit de coloration Just for Men - qui noircit à mesure qu'on la garde. C'est l'impatience qui rend ses cheveux blond-orangé."
Régime alimentaire
Selon Michael Wolff, Donald Trump "avait peur depuis longtemps d'être empoisonné". L'une des raisons pour lesquelles il aimait manger chez McDonald's était que "personne ne savait qu'il venait et la nourriture était préparée en toute sécurité".
À PROPOS DE MICHAEL WOLF
Le journaliste américain Michael Wolff est un habitué des controverses et son livre "Le feu et la fureur: dans la Maison Blanche de Trump" provoque depuis mercredi une tempête politique à Washington.
L'éditorialiste multicarte (Hollywood Reporter, Vanity Fair, New York Magazine...), âgé de 64 ans, affirme avoir gravité pendant 18 mois autour de la galaxie Trump, de la campagne présidentielle à la Maison Blanche, et interrogé "plus de 200" personnes, du président à ses proches collaborateurs.
Après l'élection surprise du candidat républicain, qu'il avait interviewé en juin 2016, il demande à Donald Trump un accès à la Maison Blanche, que le président élu ne lui refuse pas. Le journaliste devient alors "une mouche sur le mur", se fondant dans le décor. Il fait le trajet New York-Washington chaque semaine pour devenir un habitué de l'aile Ouest, compilant dans son livre confidences des conseillers de la présidence et anecdotes croustillantes.
L'une d'elles, publiée mercredi par le quotidien britannique The Guardian, a déclenché les foudres du président américain. Dans un communiqué vengeur, il a accusé son ancien conseiller Stephen Bannon d'avoir "perdu la raison" pour avoir estimé que son fils aîné Donald Trump Jr. avait commis une "trahison" en rencontrant une avocate russe offrant des informations compromettantes sur Hillary Clinton.
Natif du New Jersey mais installé de longue date à New York, Wolff est le double lauréat du prix National Magazine, section commentaire (2002 et 2004). Son livre le plus connu, sorti en 2008, est consacré à un autre magnat, Rupert Murdoch ("The man who owns the news").
- 'Omniscience' -
En 2004, un portrait dans le magazine New Republic évoque un personnage "en partie éditorialiste mondain, en partie psychothérapeute, en partie anthropologue social (qui) invite les lecteurs à être une mouche sur le mur du premier cercle des magnats".
Mais sa narration, basée sur des conversations ou des informations obtenues de source indirecte, ont semé le trouble et provoqué des réactions furieuses.
"Historiquement, l'un des problèmes avec l'omniscience de Wolff est que même s'il peut tout savoir, il a parfois tout faux", écrivait le critique littéraire David Carr dans le Washington Post en commentant le livre sur Murdoch.
La journaliste britannique Bella Mackie, ancienne du Guardian, a estimé sur Twitter que son nouveau livre sur la Maison Blanche était "très divertissant" avant toutefois de mettre en garde que "si vous connaissez bien MW vous l'apprécierez mais ne prendrez pas tout pour argent comptant".
La porte-parole de la Maison Blanche, Sarah Sanders, a fustigé le contenu du livre, affirmant qu'il contenait "beaucoup de choses complètement fausses", assurant que Michael Wolff n'avait eu qu'une "brève conversation" téléphonique de 5 à 7 minutes avec le président depuis son investiture et qui n'avait "rien à voir" avec la présidence.
M. Trump, par la voix de ses avocats personnels, a demandé jeudi à M. Wolff et au responsable des éditions Henry Holt et Cie la non-publication du livre, qui doit sortir le 9 janvier, menaçant de les poursuivre pour diffamation, atteinte à la vie privée et malveillance.
Ils se basent notamment sur l'introduction du livre, où Michael Wolff admet que "beaucoup d'informations sur ce qu'il s'est passé à la Maison Blanche de Trump sont contradictoires; beaucoup, dans le style trumpien, sont simplement fausses". Ces contradictions ou cette prise de liberté avec la vérité constituent "le fil" du livre, dit-il, ajoutant avoir publié "le version des évènements que je croyais vraie".
SADIO JOUE FAIR-PLAY
Aprés le sacre de son co-équipier pour le ballon d'or africain, l'international n'a pas manqué de le féliciter-il souligne que ce dernier a mérité cette distinction bien qu'il soit fier d'être parmi le trio
Arrivé deuxième au classement du Ballon d’or africain 2017, derrière l’Égyptien Mohamed Salah, sacré hier à Accra, au Ghana, Sadio Mané à affiché un grand sourire. Dans les colonnes de Stades, il dit : «Je suis très fier de ma nomination parmi les trois finalistes (du Ballon d’or). Je peux dire que Liverpool a gagné le Ballon d’or (rires). Nous nous apprécions Mohamed Salah et moi. On aime jouer ensemble. Il a mérité ce prix pour tous les efforts qu’il a fournis.»
SADIO MANE RESPIRE LA CONFIANCE
Un journaliste de BBC a demandé à l'international s'il méritait le ballon d'or - Il lui a renvoyé la question
Journaliste BBC à Sadio Mané : Croyez-vous que vous méritez de gagner ce soir ?
Journaliste BBC à Sadio Mané : Croyez-vous que vous méritez de gagner ce soir ?
-Sadio Mané : Vous croyez que je mérite d’être ici ?
-Journaliste : Oui Oui !
-Sadio Mane : Alors je mérite de gagner. Que le meilleur gagne.
MANE PASSE SON DEUXIÈME EXAMEN
L'international sénégalais nominé une seconde fois pour être sacré ballon d'or- Seulement les choses s'annoncent difficiles avec les performances de Salah et Aubameyang
Ce jeudi soir, à Accra (Ghana), sera remis le Ballon d’Or africain 2017. Parmi les prétendants, Sadio Mané a peu de chances d’être sacré face à l’Egyptien, Mohamed Salah qui a pris une avance énorme sur lui et le Gabonais Pierre-Emerick Aubameyang.
Deux semaines après la publication de la liste des 3 finalistes pour le Ballon d’Or 2017 de la CAF (Confédération africaine de football), le compte à rebours prend fin, ce jeudi, dans la, capitale ghanéenne. L’Afrique va enfin vibrer au rythme du suspens pour l’élection du meilleur football africaine de l’année. Des estimations, des objections, il y’en aura sûrement, mais le scrutin finira par trancher. À ce petit jeu-là, Salah est en avance, mais Sadio Mané peut-il y croire pour succèder à l’Algérien, Riyad Mahrez ?
Second examen le plus dur pour Sadio
Avant d’entrer dans le détail, un constat s’impose : c’est la deuxième fois de suite que l’international sénégalais figure parmi les trois finalistes pour le Ballon d’Or africain. Du coup, il va passer le second examen le plus dur depuis le début de sa carrière de footballeur. En perdant le premier, il voudra forcément remporter le second. « C’est bien, mais que le meilleur gagne », disait-il, lors d’un soir de Ligue des Champions.
Pourtant, Sadio a connu belle saison 2016-2017 qui peut lui permettre de rêver. Il a été élu meilleur joueur de Liverpool avec 14 buts et 6 passes décisives. En sélection, il a contribué à la qualification du Sénégal à la Coupe du monde 2018 avec notamment une passe décisive pour Diafra Sakho qui a inscrit le but du Mondial russe.
Mais, le hic se situe dans les trois derniers mois de l’année 2017. Ils n’ont pas tourné en sa faveur. Entre méforme et manque de temps de jeu, le Lion (5 buts en 14 matchs) se fait dépasser par Salah son sérieux concurrent. L’attaquant egyptien en est déjà à 17 buts (21 matchs), à un but de Harry Kane le deuxième meilleur buteur de la Premier League. Ce, pour dire que Salah porte quasiment les Reds. Mieux, il a mené sa sélection en Russie en inscrivant un doublé contre le Congo, sans oublier la finale de la Coupe d’Afrique des Nations 2017 disputée. Qui peut donc l’arrêter ? En tout cas, le Sénégalais dont les chances sont minimes, pourra difficilement le priver de ce sacre.
De l’autre côté, certains ont essayé de mettre le Gabonais devant Sadio, ce qui semble impossible d’autant que l’attaquant de Dortmund n’ira pas au Mondial et n’a pas trop brillé. Le lauréat de 2015 est donc en dessous. A donc Sadio de créer l’exploit face à Salah.