LE POUVOIR DE SONKO DÉROULE LE PROJET DE LA TERREUR
Comparés aux injures proférées par Sonko lui-même ces dernières années, qu'ont pu dire des hommes comme Suzanne Camara, Imam Ndao, Bah Diakhaté ou le commissaire Cheikhna Keita, pour mériter d'être mis sous mandat de dépôt ?
Le propos du pouvoir en place depuis le 24 mars 2024 n'est plus de changer la vie des Sénégalais, comme ils l'avaient promis, mais face à leur impuissance, d'éviter que les voix de la raison ne se fassent entendre en les musclant.
Le Premier ministre avait jugé inutile de profiter d'un état de grâce, voilà qu'il nous impose aujourd'hui, du fait de son incapacité à trouver des solutions, la terreur et le rapport de force.
Depuis qu'ils sont au pouvoir, les hommes de Sonko et alliés, ne supportent aucune voix discordante, et dirigent ce pays avec des thuriféraires obéissants et serviles, qui agissent en petits soldats avec le petit doigt sur la couture du pantalon.
Comparés à ces injures proférées par Sonko lui-même lors des dernières années à l'encontre des dirigeants d'alors, qu'ont pu dire des hommes comme Suzanne Camara, Imam Ndao, Bah Diakhaté ou le commissaire Cheikhna Keita, pour mériter d'être mis sous mandat de dépôt ?
Qu'a fait Lat Diop de plus que son co-auteur supposé de corruption Mohamed Dieng, libre, comme l'air ?
Aujourd'hui, ce sont Djegui Diop, Cheikh Yérim Seck, Bougane Guèye Dany qui sont aux portes de la prison pour avoir commis le crime de « lèse-Sonko », de ne pas être convaincus par ses étemelles promesses de changements.
Comme ils n'arrivent plus à convaincre, ces messieurs ont décidé d'user de l'argument des faibles : la terreur.
C'est le plus évident des aveux de faiblesse. Vos jours sont comptés
messieurs.
Abdou Mbow est porte-parole adjoint de l'APR.
SÀMM SA KÀDDU EN ORDRE DE BATAILLE
La convocation de Bougane Gueye par les autorités est perçue comme une attaque contre l'opposition. La coalition accuse le régime de Sonko et Diomaye de vouloir "museler ses adversaires politiques" en utilisant les prérogatives de l'État
La coalition Sàmm Sa Kàddu crie au scandale suite à la convocation de son leader Bougane Gueye Dany par les services de cybercriminalité. Cette alliance politique y voit une tentative délibérée de déstabilisation de l'opposition par le régime en place. Dans un communiqué au ton ferme, Sàmm Sa Kàddu dénonce les "menaces" qui pèseraient sur la démocratie et les libertés au Sénégal, promettant de résister à toute forme d'intimidation.
"Communiqué coalition Sàmm Sa Kàddu
La convocation du président Bougane Gueye Dany à la cybercriminalité, à la veille des élections législatives est une provocation et une insulte à la démocratie.
En convoquant un candidat de la liste Sàmm sa Kàddu aux elections legislative à venir, nous considérons que c’est toute une coalition qui cherche à être déstabilisée et divertie.
La coalition Sàmm sa Kàddu prend à témoin l’opinion nationale et internationale sur les menaces que le régime de Ousmane Sonko/Diomaye fait peser sur la démocratie et les libertés individuelles et collectives.
La coalition Sàmm sa Kàddu met en garde le régime actuel sur sa volonté cynique d’utiliser les prérogatives régaliennes de l’État du Sénégal pour museler ses adversaires politiques.
Sàmm Sa Kàddu fera face aux tentatives d’intimidation au nom de la démocratie et des libertés."
LIGUE DES CHAMPIONS, ABDALLAH SIMA S'OFFRE UN DOUBLÉ
Ce mardi soir, l'attaquant, a inscrit un doublé lors d'un déplacement en Autriche, pour le compte de la deuxième journée de C1, permettant à ses partenaires de s'imposer largement (4-0) face à Red Bull Salzbourg et de remporter leur 2e match.
iGFM (Dakar) L'attaquant sénégalais de Brest, Abdallah Sima, s'est offert un doublé en Ligue des Champions, mardi soir, sur la pelouse du Red Bull Salzbourg.
Décidément Abdallah Sima fait les beaux jours du Stade Brestois. Deux semaines après avoir permis à son équipe de remporter son premier match en Ligue des Champions, l'international sénégalais a encore brillé.
Ce mardi soir, Sima, a inscrit un doublé lors d'un déplacement en Autriche, pour le compte de la deuxième journée de C1, permettant à ses partenaires de s'imposer largement (4-0) face à Red Bull Salzbourg et de remporter leur 2e match de rang dans cette compétition, une première pour un club français depuis 1979.
L'international sénégalais porte ainsi son compteur à trois buts en deux matchs dans cette édition 2024/2025. Brest est provisoirement en tête de la phase de Ligue.
DÉFICIT DE 45 355 TABLE-BANCS À TAMBACOUNDA
Le chef de l’exécutif régional, Guedj Diouf, a promis d’agir rapidement et en collaboration avec les collectivités territoriales et les services de l’État.
Lors d’un Conseil Régional de Développement (CRD) tenu à Tambacounda, l’inspecteur d’académie, Babacar Diack, a révélé un déficit préoccupant de 45 355 table-bancs dans les établissements scolaires de la région. Ce manque touche les quatre départements de la région, affectant tous les niveaux du système éducatif.
Le rapport présenté par Babacar Diack, lors de cette rencontre présidée par le gouverneur Guedj Diouf, détaille la situation alarmante. Le cycle primaire est le plus touché avec un besoin de 24 273 table-bancs, suivi du niveau moyen avec 10 068 unités manquantes, tandis que le secondaire en requiert 10 014.
Ce déficit croissant s’explique par plusieurs facteurs : l’augmentation des abris provisoires, la détérioration du stock existant, ainsi que le retard dans l’équipement des nouvelles salles de classe. « Le manque de table-bancs a augmenté ces dernières années, en grande partie à cause de la multiplication des abris provisoires et de la détérioration du mobilier scolaire déjà en place », a précisé l’inspecteur d’académie.
Le chef de l’exécutif régional, Guedj Diouf, a salué les avancées du Programme de Remplacement des Abris Provisoires (PRORAP), qui vise à réduire le nombre de ces structures temporaires. Cependant, il a reconnu que le déficit en table-bancs restait un défi majeur pour garantir des conditions d’apprentissage adéquates à l’approche de la rentrée scolaire 2024-2025.
Face à cette situation, Guedj Diouf a promis d’agir rapidement et en collaboration avec les collectivités territoriales et les services de l’État. « Nous allons travailler ensemble pour récupérer et réparer le maximum de table-bancs détériorés et les remettre dans les salles de classe », a-t-il affirmé.
LE SÉNÉGAL SIGNE UN PROTOCOLE D’ACCORD AVEC GOOGLE POUR LA CRÉATION D’UN CLOUD SOUVERAIN
Cette infrastructure permettra au Sénégal d’assurer la protection des données sensibles tout en répondant aux besoins croissants des administrations et des entreprises sénégalaises et africaines.
Dakar, 1 oct (APS) – Le ministère de la Communication des Télécommunications et du Numérique a signé avec le géant américain de l’internet, Google, un protocole d’accord pour la création d’un cloud souverain, ”une première” en Afrique de l’Ouest.
”Cette infrastructure permettra au Sénégal d’assurer la protection des données sensibles tout en répondant aux besoins croissants des administrations et des entreprises sénégalaises et africaines”, indique un communiqué du ministère de la Communication des Télécommunications et du Numérique transmis à l’APS.
Le protocole d’accord a été signé lors de la visite de travail que le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Dikhar Faye, a effectuée, vendredi, en marge de la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies (du 21 au 28 septembre), à la Silicon Valley, dans le cadre de la mise en œuvre de la nouvelle stratégie numérique du Sénégal : ”le New Deal Technologique”.
’’La visite s’inscrit dans une démarche de veille et de recherche de partenariats stratégiques, techniques et financiers dans le processus d’accélération de la révolution numérique au Sénégal’’, indique la même source.
A cette occasion, le président de la République et le ministre de la Communication, en compagnie du privé local, ont visité le siège de NVIDIA, leader mondial de l’intelligence artificielle, où le ministre a présenté les projets de création d’un supercalculateur à vocation sous-régionale.
Ainsi, ’’grâce à une série de rencontres avec des leaders mondiaux tels que Google, META, NVIDIA, et 500 Global, le Sénégal jette les bases d’une souveraineté technologique et d’une économie numérique performante à travers une connectivité universelle et un écosystème entrepreneurial dynamique”.
Cette nouvelle stratégie vise à ”renforcer les compétences, à démocratiser l’accès à Internet et aux services publics de base afin d’amorcer une transformation numérique inclusive, ambitieuse et résiliente”.
Lors du 79ème Sommet des Nations Unies, le président de la République a réaffirmé ’’la nécessité de constitutionnaliser le droit de chaque citoyen à accéder à Internet”.
À cette fin, ‘’un protocole d’accord a été signé avec Google pour soutenir des programmes de développement des compétences dans le Cloud, l’IA et la Cyber sécurité’’, renseigne le ministère.
Le communiqué signale que ”parallèlement, les discussions avec META et NVIDIA ont mis l’accent sur l’utilisation de l’IA open-source pour accélérer la digitalisation de l’administration publique et élargir le bassin de talents en intelligence artificielle”.
Afin d’accélérer la croissance des startups et des PME, ”un protocole d’accord a été signé avec Google, dans le but d’offrir un accès aux outils d’IA et aux solutions de Google (Cloud, Cybersécurité, Workspace, etc.)”.
Selon le communiqué, cette initiative vise à ’’doter les entreprises des ressources nécessaires pour innover, croître et contribuer à l’économie numérique du pays.’’
Il a précisé par ailleurs que la délégation sénégalaise a tenu ”une session de travail productive avec 500 Global, un fonds de capital-risque de premier plan, pour explorer des opportunités de financement des startups”.
A ce propos, ’’une table ronde au siège de ARM a rassemblé des fonds de capital-risque tels que AURION Capital et LG Capital, ainsi que le Département du Commerce des États-Unis, pour promouvoir et consolider les partenariats économiques et financiers permettant à l’écosystème technologique de contribuer à relever les défis majeurs de l’Afrique.
A travers cette démarche, l’ambition du Sénégal est de devenir, au sein du marché de la CEDEAO, ’’un hub d’innovation et d’excellence, créant des opportunités uniques pour la prochaine génération d’ingénieurs et d’experts dans le domaine du numérique’’, selon le ministère la Communication des Télécommunications et du Numérique.
BOUGANE CONVOQUÉ, L'OPINION S'ENFLAMME
Thierno Alassane Sall dénonce l'hypocrisie d'un régime issu de l'opposition, aujourd'hui "allergique à la critique". Alioune Tine met en garde contre "les erreurs du passé", pointant le danger d'une "criminalisation de l'opposition"
(SenePlus) - La scène politique sénégalaise s'enflamme suite à la convocation policière de Bougane Gueye Dany, leader du mouvement "Gueum sa bop". Cette action, perçue par beaucoup comme une tentative d'intimidation à l'approche des élections législatives, suscite de vives réactions au sein de l'opposition et de la société civile.
Thierno Alassane Sall, figure de l'opposition, n'a pas mâché ses mots face à ce qu'il considère comme une dérive autoritaire du pouvoir. Il pointe du doigt l'ironie de la situation : "Ceux qui ont littéralement inondé l'Assemblée nationale de discours injurieux, utilisés à outrance la presse pour des attaques très souvent détestables, cherché systématiquement à dénigrer d'honnêtes citoyens, sont allergiques à la critique." Cette déclaration souligne le paradoxe d'un régime issu de l'opposition qui semble aujourd'hui vouloir museler ses détracteurs.
Le leader de la République des Valeurs va plus loin en dénonçant ce qu'il perçoit comme une dangereuse politisation de la République : "On ne peut vouloir exporter la démocratie et la liberté d'expression dans l'espace CEDEAO tout en traquant sans répit chroniqueurs, journalistes et hommes politiques, dans son propre pays."
De son côté, Alioune Tine, figure respectée de la société civile, appelle à la raison et au respect des principes démocratiques. Il insiste sur la nécessité de permettre à Bougane Gueye de préparer sereinement les élections législatives : "Il faut laisser Bougane Gueye aller préparer les législatives avec sa coalition, comme tous les autres dirigeants politiques impliqués ". Tine met en garde contre les erreurs du passé, soulignant le danger de « criminaliser l'opposition ».
Cette affaire intervient dans un contexte politique tendu, où Bougane Gueye Dany accuse directement le Premier ministre Ousmane Sonko d'instrumentaliser les forces de l'ordre et la justice à des fins politiques. "Il veut utiliser la police, la gendarmerie et la justice en général pour régler des problèmes politiques", a déclaré Gueye Dany dans une intervention vidéo, jetant ainsi un pavé dans la mare.
La convocation policière de Bougane Gueye Dany, dont les motifs restent flous, soulève des questions sur l'état de la démocratie au Sénégal. Il met en lumière les tensions croissantes entre le pouvoir et l'opposition à l'approche d'échéances électorales cruciales, et ravive le débat sur la liberté d'expression et le respect du jeu démocratique dans le pays.
LE GOUVERNEMENT DÉMENT LES RUMEURS DE BAISSE DES SALAIRES DES AGENTS DE L’ÉTAT
Le porte-parole du gouvernement, Amadou Moustapha Ndjekk Sarre, a mis en garde contre toute tentative de désinformation visant à discréditer les institutions étatiques.
Dans une déclaration en date du 27 septembre 2024, le Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT) a affirmé que l’État du Sénégal envisageait une réduction des salaires et des pensions dans la fonction publique. Ce document, intitulé « Déclaration du Secrétariat du Comité Central », prétendait s'appuyer sur des propos tenus par le Président de la République et le Premier ministre, évoquant la nécessité de rationaliser les dépenses publiques, face à l'évolution incontrôlée de la masse salariale.
Cependant, le Gouvernement sénégalais a fermement démenti ces accusations, soulignant que les déclarations des autorités ont été sorties de leur contexte et qu'aucune réduction des salaires ou des pensions n'a été envisagée. Dans un communiqué, le Porte-parole du Gouvernement, Amadou Moustapha Ndjekk Sarre, a précisé que les allégations du PIT sont infondées et ne reposent sur aucun élément concret.
Le Gouvernement a également mis en garde contre les tentatives de désinformation et de manipulation, qualifiant ces manœuvres de stratagèmes visant à discréditer les institutions à des fins électoralistes. Tout en encourageant le débat public sur les politiques publiques, il appelle à la responsabilité des auteurs de telles accusations et réaffirme que l’État fera respecter la vérité et le droit.
Ainsi, l’État du Sénégal tient à rassurer les agents de la fonction publique et les retraités que leurs salaires et pensions ne sont pas menacés, et que toutes les mesures prises visent avant tout une gestion plus rigoureuse des finances publiques sans porter atteinte aux droits acquis.
DÉMARRAGE DE LA CAMPAGNE DE SENSIBILISATION CONTRE LES CANCERS
Lors de la randonnée organisée par Ligue Sénégalaise contre les Cancers (Lisca), Dr Fatma Guenoune a révélé que « chaque année, il y a plus de 12.000 nouveaux cas de cancer au Sénégal avec environ 8.000 décès».
Ce 1er Octobre marque le démarrage de la campagne de sensibilisation contre les cancers, dénommée Octobre Rose. Lors de la randonnée organisée par Ligue Sénégalaise contre les Cancers (Lisca), Dr Fatma Guenoune a révélé que « chaque année, il y a plus de 12.000 nouveaux cas de cancer au Sénégal avec environ 8.000 décès».
Comme chaque année, le mois d’octobre est dédié à la maladie du cancer. Une maladie qui continue à faire des ravages surtout chez les femmes. Et les chiffresrévélés dernièrement par la présidentede Ligue Sénégalaise contre les Cancers(Lisca), font froid dans le dos.
«Chaque année, il y a plus de 12.000 nouveaux cas de cancer au Sénégal avec environ 8.000 décès. En ce qui concerne le cancer du sein, il y a 1.838 nouveaux cas chaque année avec 976 décès. Mais le cancer du sein est le deuxième cancer après celui du col de l’utérus avec 2.024 et 1.312 décès. Au Sénégal, tous sexes confondus, les cancers gynécologiques sont les premiers cancers», a informé le Dr Guenoune, lors de la randonnée pédestre organisée ce dimanche en prélude du mois Octobre Rose. Appelant les femmes à d’avantage faire le dépistage précoce, elle a indiqué que le dépistage du cancer du sein passe par la mammographie, (examen mammographique des seins), qui permet de voir des tumeurs de très petites tailles non palpées à la main.
La présidente de la Lisca qui préconise les campagnes de sensibilisation pour apprendre aux femmes l’autopalpation, a rappelé qu’au Sénégal, le traitement du cancer est très coûteux pour les malades.Elle a par ailleurs annoncé annonce l’acquisition d’un terrain qui sera « la maison de vie»qui va abriter les patients, le temps d’un traitement dans une structure sanitaire, surtout pour ceux qui proviennent des régions. «Nous avons pu avoir de l’État, un terrain de 500 M² et nous avons notre partenaire DP World, on attend d’obtenir le bail pour entamer les travaux. En fait, ce n’est qu’à Dakar et Touba où il y a un appareil de radiothérapie. Et Pour faire la radiothérapie, le malade doit venir tous les jours à l’hôpital, ceux qui n’ont pas de famille d’accueil ou qui n’ont pas de moyens de louer une chambre sont obligés de dormir dans les couloirs de l’hôpital».
VIDEO
BOUGANE CONVOQUÉ PAR LA POLICE
Selon le leader de "Gueum sa bop", des hommes dirigés par l’adjudant Bakhoum sont venus déposer une convocation à son lieu de travail et dans une de ses maisons. Il pointe du doigt des manoeuvres du Premier ministre Ousmane Sonko
Le leader du mouvement « Gueum sa bop », Bougane Gueye Dany, se retrouve au cœur d'une nouvelle controverse. L'homme d'affaires et opposant a révélé avoir fait l'objet d'une convocation policière, délivrée à son lieu de travail et à son domicile par une équipe dirigée par l'adjudant Bakhoum.
Cette convocation, dont les motifs restent flous, soulève des questions sur les tensions croissantes entre le pouvoir et l'opposition à l'approche des échéances électorales. Gueye Dany n'a pas mâché ses mots, pointant directement du doigt le Premier ministre Ousmane Sonko : "Il veut utiliser la police, la gendarmerie et la justice en général pour régler des problèmes politiques", at-il déclaré sans ambages.
L'opposant a tenu à clarifier qu'il n'avait pas fui face à cette convocation, raisonnant simplement son absence par une sortie.