«Une des plus belles histoires de cette Coupe du Monde est sans aucun doute le parcours des équipes africaines. Le Nigeria et le Sénégal ont démontré qu’ils peuvent rivaliser avec tout le monde. Je les félicite d’ailleurs pour leur résultats. Le Sénégal a remporté un succès historique (contre la Lettonie) et a réalisé un grand match contre l’Espagne (mercredi en match de qualification pour les quarts de finale). Il a fait un peu trembler l’hôte du tournoi. Cela aurait été fantastique que les deux équipes africaines atteignent les quarts de finale.
Le Nigeria a mieux joué que les USA – champions du monde en titre – au cours de la première mi-temps du quart de finale de vendredi et il a battu la Turquie, l’Argentine et la Grèce. C’est extrêmement positif pour le basketball africain et pour le sport en général», a-t-il confié dans un entretien accordé à Fiba.com.
Il souhaitait que les équipes africaines aillent plus loin dans la compétition en dépassant les quarts de finale.
ET SI SIBETH DIÉDHIOU VOUS ÉTAIT CONTÉ !
Découverte de celle qui fut forcée à régner sur le peuple de la basse Casamance, également appelée pays Kassa
Sibeth Diédhiou ne pouvait échapper à son destin. Fuir jusqu’en Guinée-Bissau n’y fera rien. Elle était destinée à être reine pour succéder à sa mère dans le Floup. A Siganar, où les souvenirs de la prêtresse sont encore frais, sa fille, Saber Lambal Diatta, sous le poids de l’âge et de la maladie, marche courbée en deux et parle difficilement. Avec pour seul vêtement un pagne noué autour de la taille, des touffes grisonnantes en guise de chevelure, elle sort avec peine de sa case. Avec peine, elle s’assoit à même le sol à l’entrée de la véranda. «Les gens viennent souvent ici pour en savoir plus sur ma mère Sibeth, bredouille-t-elle en Diola, traduit par notre guide. Actuellement, je suis malade et j’y parviens difficilement, mais je vais quand même essayer.» Sous une fine pluie, la voix chevrotante et le corps tremblant, Saber Lambal nous apprend que sa mère Sibeth Diédhiou, née en 1915 à Siganar, était une prêtresse choisie par Dieu pour succéder à sa mère, Ayimpène, et communier avec les populations. Une succession qui ferait suite à des rêves au cours desquels un génie apparaissait à Sibeth pour exiger qu’elle assume la fonction de reine, en prenant la place de sa mère auprès des fétiches.
Plusieurs rêves avec la même injonction que Sibeth voulut ignorer dans un premier temps. «Elle ne voulait pas accepter au début, parce qu’elle avait peur, explique Saber Lambal. C’était l’époque coloniale et les populations n’étaient pas en très bons termes avec les colons.» De plus, Sibeth se disait que les villageois ne croiraient pas que la jeune fille qu’elle était devait devenir reine du jour au lendemain. Pour échapper à ces visions qui la tourmentaient, elle quitta son village pour se réfugier en Guinée-Bissau. Mais les esprits ne la lâchent pas, elle tombe gravement malade, perdant presque la vue, et ses rêves se poursuivaient. «Les esprits lui ont fait comprendre que si elle n’acceptait pas la charge qui lui était dévolue, elle risquait sa vie, raconte sa fille. Le guérisseur consulté lui dit également la même chose. C’est ainsi qu’elle fut contrainte de revenir au village et d’assumer son rôle.»
Un règne imposé
De retour à Siganar, Sibeth rassemble les habitants du village pour leur faire part de la situation. «En ce moment, c’était pratiquement la sécheresse, mais Sibeth révèle aux villageois les sacrifices et prières à faire, et il y eut une pluie abondante juste après. Cela lui facilita la tâche et les villageois crurent en elle.» Sibeth Diédhiou avait le don de voir ses prédictions se réaliser. L’administration coloniale qui doutait de ses pouvoirs au début, voulut lui créer des difficultés. «Les colons lui ont créé beaucoup de problèmes, voyant en elle une menace à leur autorité, confie Saber Lambal. Mais lorsqu’ils n’ont plus eu de doute sur ses dons surnaturels, ils ont décidé de collaborer avec elle. Elle était une sorte d’intermédiaire entre les villageois et l’administration coloniale.» Son règne fut d’ailleurs marqué par sa collaboration avec les colons. Pour assurer la paix, elle convainc les villageois d’accepter de verser le tribut en denrées alimentaires imposé par les Européens. Mais cela ne manqua pas de créer des mécontents, qui commencèrent à remettre en cause son autorité. Ce fut la révolte, certains villageois voulurent se débarrasser de Sibeth. Il fallut l’intervention de l’administration coloniale, et Sibeth se réfugia au village de Santhiaba, à Ziguinchor, pour sauver sa vie.
Héritière d’Aline Sitoe Diatta ?
Mais les versions de l’histoire diffèrent. Pour certains, Sibeth Diédhiou a ‘’hérité’’ des fétiches d’Aline Sitoe Diatta. Etant jeune, elle fit partie de la délégation de Siganar envoyée à Kabrousse (ou Cabrousse) pour prêter allégeance à Aline Sitoe. L’on raconte qu’elle fut ainsi initiée aux mystères et rituels des fétiches. Et au moment de la révolte du peuple Floup, lorsque les villageois refusèrent de fournir la réquisition de riz exigée par l’administration coloniale, avant de prendre la fuite à l’arrivée des troupes françaises, l’histoire raconte que Sibeth, restée seule, ramassa les fétiches de la prêtresse Aline Sitoe pour les rassembler dans sa propre concession. Elle entretient les fétiches de sacrifices et de libations tout le temps que dura la fuite des villageois. A la disparition d’Aline Sitoe, les habitants regagnèrent les villages et réclamèrent à Sibeth les fétiches. Mais celle-ci refusa, arguant que puisqu’elle seule avait eu le courage de rassembler les fétiches et de les entretenir, au moment où les villageois les avaient abandonnés, elle continuerait désormais à le faire. Ainsi, à la disparition d’Aline Sitoe, Sibeth, détentrice de la totalité des fétiches, apparut comme sa digne héritière.
Pour l’heure, il n’y a pas d’héritière connue de Sibeth Diédhiou, morte en 1976. Sa fille, Saber Lambal, vit dans un grand dénuement à Siganar. Ce village qui s’efforce de conserver l’héritage de son illustre reine.
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DÉROULÉ DE L'ÉLECTION DE SOHAM WARDINI
La candidate adoubée par Khalifa Sall est devenue ce samedi, la première femme édile de la ville de Dakar, au terme d'un scrutin sans appel
"Il me plait de remercier tous les maires des communes à commencer par Khalifa Ababacar Sall qui, sans discontinuer depuis 2009 m'a honorée de son soutien et de son affection. Son œuvre sera poursuivie. Il est des jours dans la vie des hommes et des femmes qui comptent plus que d'autres. C'est le cas lorsqu'on accède à la prestigieuse fonction de maire de la capitale de son pays. Une première pour une femme sénégalaise", s'est réjoui, le nouveau maire de la capitale.
SOHAM WARDINI REMPLACE KHALIFA
Elle a été plébiscitée par les conseillers de la ville de Dakar lors d’un vote à bulletins secret supervisé par le Préfet de Dakar - Elle a obtenu la majorité absolue dès le premier tour
Soham Wardini a finalement été élue maire de Dakar en remplacement de Khalifa Sall. Elle a été plébiscitée par les conseillers de la ville de Dakar lors d’un vote à bulletins secret supervisé par le Préfet de Dakar. Elle a obtenu la majorité absolue dès le premier tour.
Elle avait la faveur des pronostics puisque depuis l’arrestation de Khalifa Sall elle gérait d’une main de maitre les affaires la municipalité en sa qualité de première adjointe du maire.
Elle était en compétition avec Banda Diop, maire de la Patte d’oie et Moussa Sy, maire des Parcelles assainies.
LE SÉNÉGAL ÉLIMINÉ DU MONDIAL DE BASKET
Les Lionnes battues par l’Espagne (63-48) en match de barrages qualificatif pour les quarts de finale, n'ont pas réalisé l'exploit
Les Lionnes du Sénégal n’ont pas réalisé l’exploit et sont battues par l’Espagne en match de barrages qualificatif pour les quarts de finale de la Coupe du monde de basket.
Tout avait pourtant bien démarré avec le Sénégal qui menait d’un point à la fin du premier quart-temps (17-18). Elles maintiennent le niveau face aux espagnoles ensuite pour se quitter à la pause sur un score de parité 34-34 grâce à Oumoul Khairy Thiam (10 pts) et Mame Diodio Diouf (9 pts) les plus en vue sur ce match.
Le retour des vestiaires va marquer le déclin de l’équipe de Cheikh Sarr qui va concéder un 12-6 au 3e quart-temps et les Lionnes de Astou Touré, diminuée par une blessure, ne pourront plus revenir au score sur ce match qui se termine sur le score de 63-48 face à l’Espagne de Astou Ndour (14 pts).
C’est donc la fin de l’aventure sénégalaise qui aura fait bonne figure avec une première victoire historique en match de poule contre la Lettonie, mais malheureusement la barre des quarts de finale est encore trop haute.
Le public sénégalais pourra se consoler avec le Nigéria qui est qualifié et qui va défier les américaines en quart de finale.
Le Sénégal va disputer un dernier match de classement avant de quitter définitivement la compétition.
LE SÉNÉGAL VAINCU PAR LA CHINE
L'équipe féminine de basket s'est inclinée face à son homologue chinoise lors de sa troisième sortie au Mondial (66-75) - Il faudrait désormais passer par les barrages pour espérer une qualification au prochain tour
Les lionnes ont fait face à une équipe chinoise très solide défensivement. Les poulines de Cheikh Sarr ont enregistré leur deuxième défaite dans ce tournoi avec 9 points d’écart.
Les lionnes ont joué une première période assez difficile contre des chinoises physiques et adroites. En deuxième période, elles ont su réduire le score et failli même revenir a la marque, mais par manque de réalisme la Chine remporte donc ce match et occupe la deuxième place du classement derrière les USA.
Le Sénégal est donc troisième de la poule D et jouera les barrages pour espérer une qualification en quart de finale. Les lionnes attendront le classement du groupe C pour connaitre leur adversaire entre la Belgique, l’Espagne ou le Japon.
25 % DES FILLES ONT-ELLES SUBI UNE MUTILATION GÉNITALE ?
Au Sénégal, une fille sur quatre a subi une mutilation génitale, selon l’ambassadeur de Grande Bretagne au Sénégal, George Hodgson - Africa Check a vérifié
Africa Check |
Birame Faye |
Publication 24/09/2018
« Malheureusement, une fille sur quatre au Sénégal a subi la mutilation génitale féminine. Avec l’appui de @DFIDUK ( Department for International Development, le département britannique pour le développement international ) et encadrées par Amnesty International, ces femmes ont eu des vrais succès dans la lutte contre cette pratique dangereuse. Les témoignages sont inspirants », a regretté l’ambassadeur, dans un tweet posté le 4 septembre 2018.
La veille, M. Hodgson a présidé un atelier organisé par la section sénégalaise d’Amnesty International, dans le cadre du programme « Réduire le taux de mariages précoces et de mutilations génitales féminines dans trois pays : le Sénégal, la Sierra Leone et le Burkina Faso ».
Dans un reportage diffusé par le site d’informations Dakaractu, le diplomate a fait le même constat. « Malheureusement, il y a toujours à peu près un quart des filles qui subissent la mutilation génitale. C’est quelque chose qui nuit à leur santé et qui freine le développement social du pays », a-t-il souligné.
Nous avons examiné cette déclaration.
D’où tient-on ce taux ?
Africa Check a envoyé un courriel au service Presse et Relations publiques de l’ambassade de Grande-Bretagne à Dakar.
En parlant, l’ambassadeur « avait en tête les trois pays couverts par ce projet financé par le gouvernement britannique », a répondu le chargé des affaires, Ibrahima Bob.
Pour avoir plus d’éléments sur la question, il a mis en relation Africa Check avec Aminata Dièye, la coordonnatrice du programme à Amnesty International.
Une « pratique continue mais cachée »
« Son Excellence n’a pas parlé de taux relatif au Sénégal, il a plutôt parlé de risque au Sénégal, mondial, et spécifiquement au niveau de l’Afrique de l’Ouest », a confié Mme Dièye à Africa Check.
Elle a précisé qu’« il était difficile de parler de taux dans la mesure où la pratique continue de manière anonyme, cachée à cause de la loi ».
« De plus en plus, la pratique se fait sur de petites filles. Le taux officiel est par tranche d’âge selon les chiffres des agences des Nations unies », a-t-elle ajouté.
Un « aperçu statistique » sur les « mutilations génitales féminines/excision » réalisé par l’Unicef, en 2009, renseigne que le taux des filles et femmes âgées de 15 à 49 ans victimes de cette pratique était de 26 %, soit un peu plus d’une femme sur quatre. A l’époque, le pourcentage des filles de 0 à 14 ans était de 12 % au Sénégal.
Lors de la célébration de la Journée internationale de la tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales au Sénégal, en février 2018, l’Unicefa indiqué que le pourcentage est désormais de 14 % chez les filles âgées de moins de 15 ans.
L’ANSD précise, dans ce rapport, qu’il y a un « rajeunissement de la pratique de l’excision » au Sénégal et recommande la « prudence dans le taux de prévalence », compte tenu de son « caractère caché ».
Conclusion : le chiffre est caduc et peut induire en erreur
L’ambassadeur de la Grande-Bretagne a déclaré qu’une fille sur quatre au Sénégal a subi une mutilation génitale.
Les données officielles montrent que ce taux de prévalence date de 2009. Il a évolué depuis lors. Les dernières statistiques de l’ANSD renseignent sur la prévalence de la pratique sur différentes tranche d’âge. Elle est de 21 % pour les filles de moins 19 ans et 14 % pour les filles de moins de 14 ans.
Nous estimons donc que le chiffre est caduc et peut prêter à confusion car il n’y a pas un âge défini pour identifier les filles dans les différents rapports officiels portant sur le sujet.
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ANTA BABACAR NGOM, UNE JEUNE PATRONNE QUI VOIT LOIN
Son père a bati l'entreprise mais aujourd'hui, c'est elle qui est aux commandes - A 33 ans, Anta Babacar Ngom est la DG de Sedima, une des plus grosses firmes agro-industrielles au Sénégal - ENTRETIEN
Entretien avec Anta Babacar Ngom, patronne de Sedima.
PAR MOR TALLA GAYE
MAGNIFIQUE !
Cette entrée fracassante dans l’histoire du basket mondial, rien ni personne ne pourra l’enlever à ces Lionnes devenues le temps d’un après-midi la fierté de tout un pays de tout un continent
Il y a des instants dans la vie d’une nation où il faut être attentif aux signes. Aux moindres clins d’œil du destin. Des Lionnes sur la terre de Tenerife qui écrivent en lettres d’or leurs noms sur le panthéon du basket mondial. C’est fabuleux ! C’est magique ! C’est historique ! C’est magnifique ! Après cette victoire acquise de haute lutte sur la Lettonie (70-69) en match de poule de Coupe du monde de basket. Une Première pour une équipe africaine. Après tant de conquête où le défaut de moyens a été avancé parfois pour justifier bien des contre-performances. L’on avait fini par croire que c’est une tare congénitale chez les Africains d’être toujours la dernière roue du carrosse. Malgré le fort potentiel de ses enfants. Malgré le talent fou de sa jeunesse aux potentialités colossales.
Les Lionnes ont prouvé le contraire à Tenerife (Espagne) devant la Lettonie. Une performance qui force le respect. Pour une fois, les cadavres de jeunes africains ramassés sur le sable fin des plages de Ténérife ne vont pas faire la Une des Journaux Télévisés occidentaux. Les JT seront plus Fun que d’habitude. Moins glauques que de coutume. Plutôt, ils vont braquer leurs caméras sur les Lionnes du Sénégal. Les percées de Bintou Diémé, les 19 points de Astou Traoré, la niaque de Maïmouna Diarra et le fighting spirit de toute une équipe qui n’a rien lâché. Rien cédé. Pour s’asseoir à la table des grandes de ce monde. Au Sénégal de la critique facile et des poux à chercher sur la tête de nos ambassadeurs en culottes courtes. Sans rien y trouver parfois. Il est temps de clamer notre fierté d’appartenir à cette nation Une et indivisible qui pleure encore Bruno Diatta l’une de ses plus belles incarnations. Bruno serait content de cette victoire. De là-haut, il vous applaudit héritières de Yacine Boubou et de Aline Sitoé.
Malgré le deuil qui étreint. Le temps est à la célébration. Ne faisons pas la fine bouche, pincez tous vos koras, frappez les balafons, les Lionnes ont encore rugi. Elles sont devenues la fierté de tout un continent. La prouesse réalisée sur les terres espagnoles de Tenerife. Où dans ces plages au décor de carte postale viennent s’échouer des corps sans vie de jeunes africains est un signe fabuleux du destin. L’Afrique est le continent de l’avenir. Il ne faut pas désespérer de son sort. D’autres belles surprises nous attendent. C’est possible. C’est le message le plus important que les Lionnes ont donné aujourd’hui à l’Afrique ces dernières années en mondiovision. Un message d’espoir. Une ode en la croyance en nous-mêmes. Nous avons connu le pire dans ce continent, mais le meilleur nous tend les bras. Saisissons le et marchons la tête haute. Le Sénégal qui n’est pas le pays le plus peuplé du continent, ni le plus vaste a cette manie de sortir au fil des années des générations qui gravent leurs noms dans la roche de l’histoire. Cette entrée fracassante dans l’histoire du basket mondial, rien ni personne ne pourra l’enlever à ces Lionnes devenues le temps d’un après-midi la fierté de tout un pays de tout un continent. La Chine peut trembler, rien n’arrête plus Lionnes déchainées.
LE SÉNÉGAL BATTU D'ENTRÉE AU MONDIAL DE BASKET
Après un premier quart-temps où elles ont fait jeu égal, les américaines ont pris le dessus sur les sénégalaises dans le deuxième, avant de maintenir leur avance (87-67)
La Coupe du monde féminine de basket-ball s'est ouverte en Espagne à Tenerife ce samedi 22 septembre. Elle s'achèvera le 30 septembre. Dans le groupe B, la sélection du Nigeria s'est inclinée face à l'Australie (86-68). Les D'Tigeress, championnes d'Afrique en titre, joueront un second match décisif dimanche contre la Turquie, qui a elle été balayée par la Turquie (63-37).
Dans le groupe D, les Sénégalaises n'ont pas fait le poids face aux Américaines. Après un premier quart-temps où elles ont fait jeu égal, les championnes du monde en titre ont pris le dessus sur les vice-championnes d'Afrique dans le deuxième, avant de maintenir leur avance (87-67).
Dimanche, les Lionnes affronteront la Lituanie, qui s'est inclinée de peu face à la Chine (64-61).