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30 novembre 2024
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DU DEVOIR DE RÉSERVE
EXCLUSIF SENEPLUS - Un fonctionnaire de l'État peut-il s'exprimer librement sur la place publique ? Babacar Gaye sur les affaires Nafi Ngom Keïta et Ousmane Sonko - SANS DÉTOUR (Partie 2/4)
Le costume d'Abraham Lincoln, la veste bleu de Hilary Clinton, le portait des président américain, l'insigne de la maison blanche, un dollarà son effigie
Sa thèse de doctorat défendue avec succès, Cheikh Diallo parle, dans cette vidéo avec SenePlus, des perspectives que lui ouvre cette «nouvelle légitimité scientifique et intellectuelle» qu'est le doctorat en Sciences politiques : enseignement supérieur, recherche, consultance…
Journaliste ayant de bons rapports confraternels avec la corporation, le lauréat est également très introduit dans le milieu politique de par ses fonctions antérieures. Ceci explique le déploiement exceptionnel du gotha médiatique et politique à sa soutenance.
En effet, on a noté une bonne représentation des patrons de presse ou leaders des médias comme Madiambal Diagne, Alassane Samba Diop, Mamadou Ibra Kane, Thierno Talla, Mohamed Guèye, Momar Seyni Ndiaye, Pape Samba Kane… à ce rendez-vous. A cela, il faut ajouter la présence des jeunes journalistes venus nombreux à la soutenance du confrère.
Indépendemment des journalistes, une autre mobilisation impressionnante : celle des politiques, en l’occurrence des anciens ministres. Ainsi, étaient dans l’amphithéâtre archi comble Messieurs Alioune Badara Cissé, Souleymane Ndéné Ndiaye, Mamadou Diop Decroix, Moustapha Guirassy, etc.
Pour rappel, Cheikh Diallo a défendu une thèse ce week-end à l'université Cheikh Anta Diop sur "Les paradoxes de la gouvernance démocratique dans les Etats d'Afrique Francophone : approches néo-institutionnelle et stratégique”. Un travail favorablement accueilli par un prestigieux jury qui a attribué au candidat une ''mention très honorable''.
Le jury était composé des Professeurs Ismaïla Madior Fall qui est le directeur de thèse, de Mamadou Lamine Badji, doyen de la Faculté de Droit de l’Ucad, de Abdoul Aziz Daba Kébé et de Frédéric Joël Aïvo de l'université d'Abomey-Calavi (Bénin) qui, empêché, a tout de même transmis son rapport sur le travail du candidat.
VERS DES JOURNÉES DÉDIÉES AU DÉFUNT MILLIARDAIRE EL HADJ DJILY MBAYE
Louga 31 juil (APS) – Le gouverneur de la région de Louga, Alioune Badara Mbengue envisage de convoquer un Comité régional de développement (CRD) pour réfléchir sur l’organisation des journées dédiées à El Hadj Djily Mbaye en vue d’offrir le défunt milliardaire en exemple à la jeunesse.
‘’Je vais convoquer très prochainement un CRD pour plancher sur l’organisation des journées Feu El Hadj Djily Mbaye’’, a dit M. Mbengue, animé d’une volonté d’offrir cet illustre disparu en exemple de citoyenneté active à la jeune génération.
Le chef de l’exécutif régional s’exprimait samedi à l’ouverture d’un forum initié par de jeunes ressortissants de la zone pour commémorer les 40 ans d’érection de Louga anciennement arrimé à Diourbel ,en région administrative.
‘’Ces journées seront l’occasion d’évoquer la contribution du marabout et homme d’affaires dans la construction de la ville de Louga dont il était un fervent amoureux et l’un des premiers à avoir mis des milliards pour son érection en région’’, a-t-il souligné.
‘’Nous ne le faisons pas pour nous, ni pour sa famille mais pour les jeunes qui doivent savoir l’histoire de leur terroir’’, a expliqué le gouverneur selon qui ‘’quand on a des hommes comme El Hadj Djily Mbaye, on ne doit pas aller ailleurs chercher des références’’.
Alioune Badara Mbengue a annoncé que l’organisation des journées dédiées au défunt milliardaire sera confiée à la même équipe de ‘’Louga 40 ‘’.
Il a félicité l’initiateur de la commémoration des 40 ans de l’érection de Louga en région administrative, Mansour Gaye et les autres membres du comité d’organisation pour sa belle initiative.
Convaincu par l’initiateur de Louga 40 dès les premiers contacts avec lui, le gouverneur souligne avoir donné entière confiance à l’initiative malgré le scepticisme qui pourrait naître de la jeunesse de son interlocuteur.
AUDIO
UNE NOUVELLE CAMPAGNE S'ANNONCE POUR HILLARY CLINTON
Depuis Philadelphie, le stratégiste et consultant politique René Lake fait le bilan de la convention des Démocrates américains au micro de Romain Lemaresquier sur RFI
La convention des Démocrates aux Etats-Unis vient de se terminer et c'est l'heure du bilan. Seneplus vous propose d'écouter l'analyse de René Lake, consultant politique. Il répond aux questions de l'envoyé spécial à Philadelphie de RFI, Romain Lemaresquier.
(AFP) - La convention d’investiture démocrate de Philadelphie, qui a désigné Hillary Clinton comme candidate à la Maison Blanche, une première pour une femme dans l’histoire américaine, a démarré dans la confusion et finit par une série de discours de haute volée.
Voici cinq moments qui ont marqué ces quatre journées.
- Les «Bernistas» donnent de la voix
La convention qui veut être celle de l’unité débute mal lundi. Des fans irréductibles de Bernie Sanders, déçus par la défaite de leur champion et écoeurés par les emails internes du parti (révélés par Wikileaks) qui montrent une méfiance vis-à-vis du sénateur, laissent éclater leur colère.
Aux cris de «Bernie! Bernie!» et avec des broncas répétées, ils interrompent les orateurs à chaque fois qu’ils prononcent le nom d’Hillary Clinton. Le tapage, qui donne une image de désunion, s’apaisera au fil des jours, sous l’impulsion de l’ex-candidat qui appellera au calme et au respect.
- Le récit de Bill
«Au printemps 1971, j’ai rencontré une fille». Avec son timbre de voix reconnaissable entre tous, son sens politique hors-norme, Bill Clinton, ex-président et possible futur «First Gentleman» raconte, dans un registre très personnel, sa rencontre avec «Hillary».
Les premiers échanges sur le campus de Yale, les demandes en mariage successives (la troisième sera la bonne), la naissance de leur fille Chelsea... Le 42e président des Etats-Unis a un objectif, un seul: humaniser une candidate vue par nombre d’Américains comme froide et calculatrice.
- La magie Michelle et Barack
Michelle lundi soir, Barack deux jours plus tard: les Obama, qui s’apprêtent à quitter la Maison Blanche, ont enflammé le Wells Fargo Center avec des discours passionnés.
«Grâce à Hillary Clinton, mes filles et tous nos enfants considèrent désormais comme évident qu’une femme peut devenir présidente des Etats-Unis», lâche la Première dame, la gorge nouée.
«Nous mènerons Hillary à la victoire!», lance le président face à une foule électrisée à l’issue d’un discours prenant par moment la forme d’adieux.
- La douleur
Une convention politique américaine est d’abord une kermesse dominée par un brouhaha permanent. Mercredi et jeudi, l’immense salle omnisports s’est figée face à la douleur.
Mercredi, Christine Leinonen, simple croix noire en pendentif, est venu dire la douleur de la mort de son fils unique, abattu comme 48 autres dans l’attaque du club gay Pulse à Orlando. Et plaider pour un durcissement des lois sur les armes à feu.
«L’arme qui a assassiné mon fils a tiré 30 balles en une minute. Une minute pour tirer tant de balles, cinq minutes pour que les cloches rendent hommage à tant de vies».
Jeudi, c’est Khizr Khan qui est venu muer la douleur d’avoir perdu son fils --un capitaine de l’armée américaine musulman-- en puissant message contre la rhétorique anti-islamique et anti-immigrés de Donald Trump.
«Vous n’avez rien sacrifié, vous n’avez perdu personne. Nous ne pouvons résoudre nos problèmes en construisant des murs, en semant la discorde», a dit le père de Humayun, très digne pesant chacun de ses mots.
«Votez pour celle qui guérit, votez pour la candidate la plus forte, la plus qualifiée, Hillary Clinton. Pas pour celui qui divise».
- L’heure de gloire d’Hillary
Toute de blanc vêtu --un clin d’oeil aux suffragettes-- devant des milliers de délégués de son parti qui ont fait d’elle la première candidate à la présidentielle d’un grand parti, Hillary Clinton a lancé: «C’est avec humilité, détermination et une confiance sans limites dans la promesse de l’Amérique que j’accepte votre nomination pour la présidence des Etats-Unis».
Elle a promis d’être «la présidente des démocrates, des républicains, des indépendants» et de mettre l’emploi au centre de sa présidence si elle l’emportait le 8 novembre.
«Tant d’entre vous m’ont dit qu’ils sentaient que l’économie ne fonctionnait pas pour eux. Certains d’entre vous sont frustrés, même furieux. Et vous savez quoi? Vous avez raison. Elle n’est pas encore à la hauteur». «Ma première mission en tant que présidente sera de créer davantage d’opportunités et davantage d’emplois avec des salaires en hausse ici-même aux Etats-Unis... Du premier au dernier jour de mon mandat»
L'UNION SACRÉE DES DÉMOCRATES AMÉRICAINS
René Lake sur les ondes de RFI analyse les divisions au sein de la gauche : De nombreux électeurs risquent-ils de s’abstenir pour ne pas avoir à choisir entre Hillary Clinton et Donald Trump ?
Par l'envoyée spéciale de RFI à Philadelphie, Anne-Marie Capomaccio |
Publication 29/07/2016
La convention démocrate s'ouvre ce lundi 25 juillet à Philadelphie, en Pennsylvanie. Hillary Clinton en ressortira officiellement investie candidate à la présidence des Etats-Unis. Jamais une femme n'avait eu l'opportunité d'atteindre ce niveau dans la vie politique américaine.
La convention démocrate qui se tient à Philadelphie devait être celle de l'unité retrouvée après la primaire. Mais ce sera sans doute une unité de façade. En effet, des révélations signées WikiLeaks ont entraîné la démission de la présidente du Parti démocrate, Debbie Wasserman Schultz, juste avant l'ouverture de la grand-messe. Une série de courriels suggère que les ténors du parti ont eu la volonté de miner la campagne de Bernie Sanders au profit de celle d'Hillary Clinton.
Il n’y aura toutefois pas de psychodrame familial à Philadelphie. Car le 12 juillet dernier, Bernie Sanders a fini par officialiser son soutien à Hillary Clinton : « Madame Clinton a gagné les primaires démocrates ! Je la félicite et je suis fier d’être à ses côtés aujourd’hui », avait-il lancé. Une convention chaotique est ainsi évitée, en grande partie grâce à ce geste de Bernie Sanders, et à son discours sur un programme que la candidate Clinton avait retaillé quasiment sur mesure pour l’électorat du sénateur du Vermont.
« Bernie Sanders a annoncé que c’est la plateforme la plus progressiste de l’histoire du Parti démocrate. C’est ce qui explique du reste qu’il ait attendu aussi longtemps pour la soutenir, parce qu’ils étaient en négociation depuis plusieurs semaines. Il l’a dit clairement et son discours était, je pense, très, très bien structuré. Il a montré à ses supporters que sur toutes les grandes questions, au fond, il était en relatif accord avec Hillary Clinton et qu’ils avaient trouvé une plateforme, disons, consensuelle », analyse le consultant international René Lake, très impliqué dans cette campagne.
Certains irréductibles ne veulent pas choisir
La convention est unie, mais il reste des irréductibles comme le docteur Han, militant pro-Sanders de la première heure. Il ne votera pas pour Hillary Clinton : « Hillary Clinton a gagné des millions de dollars grâce au lobby et aux industries. Et nous espérons qu’elle soit responsable des lois qui les concernent ? C’est un conflit d’intérêts. La démocratie américaine a été achetée dans les règles, et elle est corrompue par l’argent », dénonce-t-il.
Un discours de rassemblement de Bernie Sanders est attendu ce 25 juillet. Mais la mission sera plus difficile que prévu car les délégués récalcitrants se sentent confortés par cette affaire de partialité du parti envers Hillary Clinton. Bernie Sanders aura donc besoin d’être particulièrement convainquant.
De nombreux électeurs risquent de s’abstenir pour ne pas avoir à choisir entre Hillary Clinton et Donald Trump, alors que la convention républicaine vient de se terminer et que la convention démocrate s’ouvre. Mat Louis, républicain anti-Trump, est désabusé : « La seule façon de gagner pour Hillary Clinton est d’affronter Trump. Et la seule chance de gagner pour Trump est d’affronter Hillary Clinton. Nous avons deux candidats antipathiques et sans charisme. La plupart des gens vont aller voter contre Hillary ou contre Trump, au lieu de voter pour Hillary ou Trump. »
Un face-à-face qui finira par mobiliser ?
René Lake travaille sur sa troisième campagne démocrate. Et il réfute tous ces arguments négatifs : « On a eu le même problème en 2008, pendant la campagne Obama-Clinton. Mais je peux vous assurer que quand le face-à-face Hillary Clinton-Donald Trump sera très apparent, parce qu’il y aura eu des débats et que l’on verra que c’est un choix entre deux types de politiques, entre deux types de futur pour l’Amérique, je crois que les choses vont se clarifier. J’ai énormément de mal à imaginer que 15 % des supporters de Bernie Sanders pourraient être hésitants dans deux ou trois mois. Je ne le pense pas. »
Le courant du « Tous contre Trump »
Les démocrates ont travaillé pour montrer un visage d’union sacrée. Toutes les tendances du parti seront représentées cette semaine, et notamment ce que l’on pourrait appeler le courant Elizabeth Warren, qui s’exprimera dès ce lundi soir. La sénatrice du Massachussetts a publiquement croisé le fer avec Donald Trump, et sa place d’honneur est bien le signal que cette convention démocrate a pour slogan « Tous contre Trump », dans la droite ligne de la présidence Obama par ailleurs. « Hillary Clinton s’est rendue compte très rapidement qu’elle ne peut gagner cette élection que si elle a la coalition Obama avec elle. La coalition Obama, en clair, c’est une coalition de minorités », explique René Lake.
Et d'ajouter, au sujet d'Hillary Clinton : « Au départ, elle pouvait penser – et certains analystes le pensaient, notamment chez les stratégistes démocrates – qu’avec simplement la sympathie de fait qu’elle pouvait avoir au niveau du vote féminin, ça pouvait suffire. Mais elle se rend compte que ça ne suffira pas. Il faut absolument le vote des autres minorités, les Latinos et les Noirs en particulier. A partir de ce moment-là, elle n’avait plus tellement d’autre choix que de devenir pratiquement le candidat d’un troisième mandat de Barack Obama. Et je pense que c’
PAR FRÉDÉRIC ATAYODI ET FODÉ MANGA DE SENEPLUS
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SOCIAL NET LINK À L'HONNEUR
WORLD SUMMIT AWARD 2015 : Basile Niane, blogueur et co-fondateur de la start-up primée à Singapour
FRÉDÉRIC ATAYODI ET FODÉ MANGA |
Publication 24/07/2016
La plateforme Social Net Link (SNL), co-fondée par le blogueur Basile Niane a représenté le Sénégal à l'édition 2015 de World Summit Award au Singapour récemment. Après la sélection sur le plan national, SNL s'est placée en tête de toutes les autres start-ups.
Seulement pour la dernière étape au Singapour, l'accompagnement nécessaire n'a pas été au rendez-vous de la part des structures étatiques. Laborieusement, la start-up a pu participer en y envoyant juste une seule personne au concours de l'innovation technologique qui met en valeur le contenu de local.
Malgré l'impréparation due au manque de moyens nécessaires, la qualité de leur travail aidant, ces jeunes entrepreneurs sociaux ont pu décrocher un trophée pour se classer 3ème dans sa catégorie derrière République des Philippines (2ème) et la Bulgarie (1ère).
Dakar, 22 juil (APS) - La promotion des droits humains doit devenir une préoccupation collective, un élan qui permettrait de mettre fin aux abus dans ce domaine, a déclaré la musicienne béninoise Angélique Kidjo, qui a reçu le prix ambassadeur de la conscience d’Amnesty International.
Dans un entretien paru dans l’édition de vendredi du Témoin quotidien, l’artiste déclare qu’il faut "arriver, petit à petit, chacun d’entre nous, à faire de telle sorte que cela soit une préoccupation".
"J’aimerais tellement qu’il y ait une solution pour que l’on puisse vraiment mettre fin aux abus" dans le domaine des droits humains, a dit Angélique Kidjo, qui considère la distinction d’Amnesty International comme la reconnaissance d’un travail qu’elle a engagé à l’âge de 6 ans.
"Avec ce prix, ce travail est reconnu au bout de 50 ans. Mais cette lutte n’est pas finie", a indiqué la musicienne béninoise qui a remporté, en février dernier, sa troisième distinction aux Grammy Award.
L’artiste a été récompensée dans la catégorie du meilleur album de musique du monde pour "Sings", une compilation de ses chansons interprétées avec l’orchestre philharmonique du Luxembourg.
Il s’était agi là de sa deuxième distinction consécutive aux Grammy Award. Un an auparavant, Kidjo avait déjà gagné dans la même catégorie pour "Eve", un hommage aux femmes d’Afrique, après sa toute première distinction en 2007.
"Si on n’a pas de droits humains, reprend-t-elle dans son entretien avec Enquête, on ne peut pas faire grand-chose. On ne peut pas sortir librement chez soi pour aller dans un autre pays, on ne peut pas rêver d’un futur meilleur, on ne peut pas rêver mieux pour ses enfants".
Pelé sort une chanson célébrant les JO-2016 de Rio
Le Brésilien Pelé, légende du football mondial, a sorti vendredi soir une chanson sur les sites de téléchargement pour célébrer les jeux Olympiques de Rio (5-21 août), les premiers organisés en Amérique du Sud.
Il avait annoncé plus tôt dans la semaine sur les réseaux sociaux, avec une photo où on le voit souriant devant un micro et le poing droit levé: "J'ai écrit et enregistré une chanson appelée +Esperança+ (espoir). J'ai hâte de la partager avec vous le 15 juillet!"
Les paroles de cette chanson rythmée, où le Roi Pelé est accompagné par un choeur d'enfants, évoquent essentiellement "la fête brésilienne" qui "va rendre le monde heureux, avec joie et émotion".
Pelé (75 ans), qui s'était marié pour la troisième fois le week-end dernier, avait déjà fait plusieurs incursions dans la musique depuis les années 1960. En 2006, il avait même sorti un album ("Pelé Ginga"), avec la participation notamment de Gilberto Gil.
Auteur de 1281 buts en 1363 matches (77 en 91 sélections avec l'équipe du Brésil), Edson Arantes do Nascimento, dit Pelé, est le seul joueur de l'histoire du foot à avoir remporté trois fois la Coupe du monde (1958, 1962, 1970) et est considéré comme l'un des meilleurs joueurs de tous les temps.
Il a été nommé parmi les meilleurs athlètes du XXe siècle par le Comité international olympique (CIO) en 1999 et a été désigné footballeur du XXe siècle un an plus tard par la Fifa.