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21 avril 2025
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CHOC DE LIONS : L'AMBIANCE D'UNE REVANCHE
En 1992, le Cameroun avait éliminé le Senegal lors de la CAN. Cet épisode les Sénégalais ne l’ont jamais digéré et il fallait tôt ou tard laver l'affront. Vendredi, Les Lions de la teranga l’ont fait. Ambiance de la revanche dans une Fan’s zone de Fass
La revanche du Sénégal sur le Cameroun a été célébrée vendredi avec faste et dans une bonne ambiance bon enfant a Madiba Leadership Institute (Groupe ISM). 3 buts à 1, c’est fort bien pour le moral des Lions de la teranga. Toute chose qui qui va galvaniser Les Lions de la teranga et enfin dissiper une rumination de de plus de 30 ans.
Pour mémoire, lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 92), le Cameroun avait éliminé précocement le Sénégal. Une élimination vraisemblablement mal vécue par les Sénégalais.
Longtemps restée en travers de la gorge des férus de foot au Sénégal, c’est tout naturellement que les Lions de la teranga guettaient patiemment une occasion pour laver cet affront de plus de 3 décennies. Et bien ce vendredi c’est chose faite.
Puisque dans le choc qui a opposé les deux Lions, a été fatal aux Indomptables qui ont laissé leurs « plumes » au grand bonheur des Lions de la teragna. Les supportes sénégalais jubilent. On le voit clairement dans cette business school du groupe ISM Dakar qui y a aménagé une fan's Zone dans son enceinte.
Une Proposition nommée Désir, PAR Fatoumata Sissi Ngom
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MBORO, D'UNE TERRE PILLÉE À UNE CITÉ DURABLE
Découverte puis dépossédée de ses terres au nom du progrès, l'histoire de Mboro est celle de bien des territoires africains. Pourtant, de cette douloureuse épopée pourrait enfin naître une nouvelle ère de justice sociale et environnementale
Ce film réalisé par Fatoumata Sissi Ngom, dans le cadre du projet Une Proposition nommée Désir, est une plongée dans l’histoire de la ville Mboro, ville découverte en 1862 par l’administration coloniale française pour ses énormes potentialités agricoles.
D’un autre secret bien gardé pendant la Première Guerre mondiale à une excavation et exploitation de gisements de phosphates après la Deuxième Guerre mondiale, l’histoire de Mboro est aussi intimement liée à celle de la création des Industries Chimiques du Sénégal, du temps des colonisateurs français.
L'histoire de Mboro reflète l'histoire mondiale, où la terre mère est exploitée par les hommes pour des raisons économiques et industrielles. C'est une chronique de la colonisation, apportant progrès économique et une sorte de vision, mais aussi des distorsions, des schémas destructeurs, des inégalités sociales et de l'injustice environnementale.
C'est également une histoire de la masculinité toxique, marquée par la prise de pouvoir, qui altère l'intégrité d'un territoire et met en place des hiérarchies saillantes.
Une Proposition nommée Désir met l’accent sur la guérison des villes et zones urbaines, anciennement colonisées, qui sont des lieux d’innovation et de co-création. Le projet met l’accent sur le développement durable, la protection environnementale, la protection sociale et le bien-être. L'objectif est de réactiver les mémoires de pouvoir aux niveaux individuel et collectif, en partageant des connaissances concrètes, y compris spirituelles : celles qui guérissent les blessures et l’âme.
Sous-titres disponibles en français, anglais, espagnol, allemand, chinois.
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DÉSILLUSION IVOIRIENNE À LA CAN
La Côte d'Ivoire a subi une douche froide lundi au stade d'Ebimpé d'Abidjan. Les Éléphants ont été largement battus par la Guinée Équatoriale, s'inclinant lourdement 4 buts à 0. Cette défaite met sérieusement en péril leurs chances de qualification
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 22/01/2024
La Côte d'Ivoire a subi une douche froide lundi 22 janvier au stade d'Ebimpé d'Abidjan. Comme le rapporte l'Agence France Presse (AFP), les Éléphants ont sombré face à la Guinée Équatoriale, s'inclinant lourdement 4 buts à 0. Une défaite qui hypothèque très sérieusement les chances de qualification de la sélection ivoirienne pour les huitièmes de finale de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2021 qu'elle organise.
Pourtant, selon le mensuel Jeune Afrique, l'équipe de Jean-Louis Gasset avait procédé à quatre changements dans son onze de départ pour tenter de relancer la machine, en titularisant notamment le Rémois Oumar Diakité à droite. Mais cela n'a pas suffi face à des Equato-Guinéens redoutables, menés par leur buteur Emilio Nsue. Meilleur marqueur de cette CAN avec désormais 5 réalisations, ce dernier a ouvert le score en première période en profitant d'une défense ivoirienne passive, comme le rapporte Jeune Afrique.
Dans le deuxième acte, malgré quelques occasions franches, les Éléphants n'ont pas réussi à refaire leur retard, encaissant même trois nouveaux buts. "Sur l'une des rares incursions de la Guinée Équatoriale", selon l'AFP, Pablo Ganet a doublé la mise sur coup franc direct (73e). Avant qu'Emilio Nsue n'inscrive un doublé sur contre (75e). Puis que Jannick Buyla ne corse encore l'addition dans les dernières minutes (88e), provoquant des jets de projectiles dans les tribunes.
Avec cette deuxième défaite en deux matchs, la Côte d'Ivoire termine troisième de son groupe A avec seulement 3 points. Sa différence de buts très négative (-3) laisse peu d'espoir au pays hôte, qui devra sans doute attendre les résultats des autres groupes pour décrocher l'un des quatre billets de meilleurs troisièmes. Une issue miraculeuse semble mal engagée pour les Éléphants, désillusionnés sur leur terre.
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LES ÉLECTIONS EN AFRIQUE, ENTRE DÉMOCRATIE DE FAÇADE ET INGÉRENCE NÉOCOLONIALE
Pour l'économiste Ndongo Samba Sylla, la démocratie réelle n'existe pas là où les choix économiques échappent aux électeurs. Les élections servent avant tout à mettre en place des élites acquises aux intérêts de l'ancienne puissance coloniale
Dans son dernier ouvrage co-écrit avec la journaliste Fanny Pigeaud, "La démocratie en Françafrique", l'économiste sénégalais Ndongo Samba Sylla déconstruit le mythe des élections démocratiques en Afrique francophone. Selon lui, loin d'être l'expression de la volonté populaire, elles servent surtout à légitimer des régimes inféodés à la France.
Sylla dénonce le "jeunisme électoral" dont sont victimes les nouvelles générations, massivement exclues des listes électorales. Il pointe également les fraudes électorales à répétition, permises par des fichiers taillés sur mesure, comme au Sénégal entre 2012 et 2019.
L'ingérence française est patente, à l'image du forcing militaire en Côte d'Ivoire en 2011 pour imposer Alassane Ouattara. Les observateurs internationaux ferment souvent les yeux, au nom d'une prétendue "maturité démocratique" africaine.
Pour Ndongo Samba Sylla, la démocratie réelle n'existe pas là où les choix économiques échappent aux électeurs. Les élections servent avant tout à mettre en place des élites acquises aux intérêts de l'ancienne puissance coloniale. Elles sont l'ultime avatar de la "Françafrique".
Il appelle à rompre avec ce "droit impérial" et d'inventer une démocratie panafricaine authentique, au service des aspirations populaires du continent. Les peuples africains, estime l'économiste, s'y emploient, à défaut d'une élite intellectuelle encore trop timorée.
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POUR LE PARRAINAGE, J'ACCUSE ...
Autant les Sénégalais n'approuvent pas la myriade de candidatures pour la Présidentielle, autant ils sont en total désaccord avec le processus de validation des parrainages. D'aucuns accusent une main invisible de tirer intentionnellement les ficelles
SI la plupart des citoyens sont favorables au principe du parrainage, les méthodes et le processus de validation utilisés par le Conseil constitutionnel heurte leur bon sens et ils accusent sans ambages le président Sall d'être à la manœuvre afin de sauver son soldat, M. Amadou Ba, candidat de la majorité au pouvoir. (Voir la vidéo).
La tenue d’une élection présidentielle démocratique, transparente, ouverte et sereine, le 25 février 2024, semble incertaine au Sénégal. Le parrainage censé rationaliser les candidatures comme filtre ne fonctionne pas. En tout cas pas dans l’intérêt de tous.
Le Conseil constitutionnel a finalement presque conformé sa liste de candidatures provisoires, excepté le nom de Karim Wade qui a été sauté de la liste en raison de la renonciation tardive de sa nationalité française qu'il tentait de conserver tout en briguant la magistrature suprême.
Les Sénégalais devront donc faire le choix de leur futur président parmi 20 aspirants pour succéder au Président Macky Sall. Lequel a encore quelques semaines pour présider aux destinées du Sénégal.
Quelques jours après la publication des candidatures provisoires, AfricaGlobe avait posé la question aux Sénégalais de la capitale pour connaître leurs avis l'idée du parrainage ainsi que sur le processus de validation.
Beaucoup de candidats ont vu leurs parrainages invalides. Des explications données sont peu convaincantes.
Le Conseil constitutionnel est fortement soupçonné d’exécuter la volonté du régime de Macky Sall d’écarter certains candidats de l’opposition qui pourraient compromettre son dauphin, le Premier ministre Amadou Ba. Dans les rues de la capitale, les citoyens ne disent pas autre chose.
Suivez les avis recueillis dans cette vidéo.
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UCAD FERMÉE, LA COLÈRE GRONDE
L'avenir de toute une génération d'étudiants sénégalais compromis par la fermeture de l'Université depuis huit mois. Certains ont même déjà quitté le pays, désespérant de pouvoir terminer leurs études
L'université Cheikh Anta Diop de Dakar est fermée depuis 8 mois, plongeant ses 90 000 étudiants dans l'incertitude. Cette fermeture pour raisons politiques est vécue comme un sacrifice de toute une génération par les autorités sénégalaises.
Étudiants et professeurs ne décolèrent pas. Ils réclament à cor et à cri la réouverture immédiate de l’université afin de sauver l’année académique. Leur mot d'ordre : que cessent les manipulations politiciennes avec l'avenir de la jeunesse sénégalaise.
Certains étudiants, désabusés, ont déjà quitté le pays, considérant leur avenir irrémédiablement compromis. Tandis que d'autres manifestent dans le calme leur profond mécontentement. Leur message est clair : l'université n'est pas un jouet entre les mains des politiques. Elle doit redevenir ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être : un sanctuaire du savoir ouvert à tous.
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L'IMPOSSIBLE ASCENSION VERS LE SOMMET
L'accès des femmes sénégalaises aux responsabilités politiques reste limité, malgré leurs aspirations. Dans la seconde partie de cet entretien, la Professeure Penda Mbow identifie quelques facteurs explicatifs de cette situation
La présidentielle de février est une occasion de questionner la présence des femmes en politique au Sénégal, en Afrique et dans le monde. Au Sénégal, malgré les figures historiques féminines fortes qui ont marqué de fort belle manière l'histoire du pays comme les linguères, les femmes, aujourd'hui, ont du mal à se hisser à niveau très haut dans la gestion de la cité en dépit de quelques figures d’envergure connues.
Dans la deuxième partie de notre entretien avec la Professeure Penda Mbow, elle nous livre sa lecture sur la problématique des femmes en politique et regrette l’immobilisme du Sénégal et de l’Afrique sur le sujet.
Pour l’historienne, la difficulté pour les Sénégalaises d’accéder à un niveau très élevé en politique résulte sans doute d'un double fond d'acculturation qui a percuté la société sénégalaise et a progressivement érodé le pouvoir des femmes en faveur des hommes.
De l’avis de l’invitée d’AfricaGlobe Tv, les religions monothéistes et le contact de l’Afrique avec la civilisation-indo-européenne sont en grande partie responsables de cette situation qui limite l’ascension des femmes en politique.
Les hommes ne sont pas disposes à perdre le pouvoir ou a en céder une parcelle sous aucun prétexte. D’ailleurs, ils ont une telle emprise sur la chose politique que cela laisserait croire que les sociétés africaines ont toujours été patriarcales. Ce qui n’est pas le cas.
À l’échelle du continent, depuis quelques années, les femmes peuvent accéder aux positions de Premières ministres, vice-présidentes, présidentes de grande institutions comme la Cour constitutionnelle, présidente du Conseil économique et social présidentes du parlement nationale. Certaines ont pu assurer des transitions à la tête de leurs pays par le truchement de ces positions en tant que deuxième personnalité de l’État (Malawi, Tanzanie, Gabon). Mais quant a se faire élire au suffrage universel, cela reste encore presque inatteignable.
À l’exception notable de la Libérienne Ellen Johnson Sirleaf, la Mauricienne Ameena Gurib Fakim, aucune femme n’a encore réussi cet grand exploit. Quand bien même en Éthiopie, en ce moment, Mme Sahle-Work Zewde assure la charge de présidente, le système politique du pays fait que ce n’est pas elle qui dirige véritablement. Son poste est à la fois juste symbolique et honorifique.
Étant entendu que c’est le Premier ministre Aby Ahmed qui dirige le pays comme ses prédécesseurs Meles Zenawi ou Haile Mariam Dessalegn entre autres.
En comparaison avec d’autres régions du monde comme l’Asie et ou l’Amérique Latine si l'on ne considère que le Sud Global, le continent est loin.
En effet, en Asie et en Amérique Latine des exemples de femmes présidentes élues au suffrage universel foisonnent y compris dans des contrées ou le conservatisme et la religion ont la tête dure comme au Pakistan par exemple.
L’an dernier, elle étaient deux femmes arrivées en tête du premier tour du scrutin au Mexique.
ÉLOGE DE LA CONSCIENCE ET DE LA CRÉATIVITÉ CUBAINES
Résilience, dignité, ingéniosité : René Lake est sous le charme du peuple cubain et de son histoire tourmentée. De La Havane à Santiago, il célèbre la posture redressée de cette nation, fière malgré les épreuves dues notamment à l'embargo américain
René Lake, administrateur de SenePlus.com, vient de rentrer d'un voyage de trois semaines à Cuba. Dans son témoignage, il dresse un portrait élogieux de l'île et de son peuple.
Parcourant le pays d'ouest en est, de La Havane à Santiago en passant par Matanzas, Varadero, Cienfuegos et Trinidad, René Lake affirme avoir pu se faire "une bonne idée de la réalité cubaine". Selon lui, "c'est un pays absolument remarquable".
Ce qui l'a le plus frappé, c'est "la dignité, la posture redressée des Cubains, une grande fierté par rapport à leur histoire", notamment la révolution de 1959 dirigée par Fidel Castro. Aujourd'hui, les Cubains sont particulièrement fiers de célébrer le 65e anniversaire de cet événement majeur du XXe siècle.
Par ailleurs, René Lake souligne "un niveau de conscience intellectuelle, technique, absolument remarquable", que ce soit dans les domaines de l'éducation, de la santé ou encore de la mécanique, domaine dans lequel les Cubains font preuve d'une grande ingéniosité en raison de l'embargo américain.
Autre élément ayant marqué René Lake: "la propreté, la propreté des villes, la propreté des quartiers". Selon lui, "le pays est extrêmement propre, bien plus propre que certainement le pays le plus propre des pays du tiers-monde que j'ai jamais vu". Il souligne également l'état des routes et les infrastructures "particulièrement sophistiquées".
Enfin, René Lake met en avant "l'esthétique urbaine", "l'harmonie culturelle" entre les différentes communautés, notamment dans la revendication de l'héritage africain, ainsi que l'attrait indéniable de la "musique cubaine" qui fait écho à la "musique sénégalaise".
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MIMI TOURÉ BOUGANE ET LES AUTRES VILIPENDENT MACKY AUPRÈS DE UNION L'EUROPÉENNE
Le collectif des 43 candidats recalés était ce lundi au siège de l’Union européenne à Dakar pour informer de « la situation inédite qui sévit au conseil constitutionnel.»
Le collectif des 43 candidats recalés par le Conseil constitutionnel n’entend pas laisser la voie libre au pouvoir de Macky Sall. Mimi Touré, Bougane Gueye Dany et compagnie étaient ce lundi au siège de l’Union européenne à Dakar pour informer de « la situation inédite qui sévit au conseil constitutionnel.»
«Nous étions juste là pour leur informer pas pour qu’ils nous règlent notre problème parce qu’ils ont aussi un rôle important pour avoir appuyé le financement de la vérification du fichier électoral et c’est l’argent de leur contribuable. Aujourd’hui le problème principal de ces élections est la fiabilité du fichier électoral. On ne sait pas à quel fichier se fier», a précise Aminata Touré.
Il y quelques jours, la CENA a publié un communiqué indiquant que le fichier qui se trouvait dans son site est obsolète et n’est pas mis à jour. « On ne peut pas comprendre que des personnes détentrices de cartes d’électeurs ne figurent pas dans le fichier et l’Union européenne devrait demander des explications quant aux fonds alloués à la vérification de ce fichier jusqu’à ce qu’on n’arrive là», martèlent Mimi et ses camarades.
Selon Mimi Touré les recours ont été déposés pour que le Conseil constitutionnel rétablisse leurs parrains. « Nous avons eu des parrains avec des cartes d’identité à jour et qui ont été rejetés. Ce que le C onseil constitutionnel est en train de faire c’est de la sélection et nous allons mobiliser les Sénégalais pour que ces élections soient transparentes», a ajouté la candidate de” MIMI2024″.
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LE SÉNÉGAL SOIGNE SON ENTRÉE À LA CAN
Portés par leur ferveur habituelle, les Sénégalais ont dompté le voisin gambien grâce à un début de match canon. Malgré une avance précoce, ils ont su maintenir la pression sur des Gambiens valeureux jusqu'au coup de sifflet final (3-0)
L’équipe nationale du Sénégal, championne d’Afrique en titre, a réussi son entrée dans la compétition, lundi, en s’imposant contre la Gambie, 3-0, en match comptant pour la première journée du groupe C de la Coupe d’Afrique des nations Côte d’Ivoire 2023.
Le Sénégal a fait le plus dur en marquant d’entrée. Les Lions ont ensuite surfé sur cette bonne entame pour construire leur victoire au bout d’un match contre le voisin gambien.
Les Lions ont très tôt ouvert le score par Pape Guèye (4ᵉ), avant que Lamine Camara ne signe un doublé (52ᵉ, 86ᵉ) pour le 3-0.
Le milieu de terrain de Metz (Ligue 1 française) a réussi une magnifique prestation pour son premier match en Coupe d’Afrique des nations avec l’équipe nationale sénior. Il a été désigné homme du match.
Les hommes d’Aliou Cissé ont joué durant toute la deuxième période en supériorité numérique après l’expulsion du milieu de terrain de la Gambie, Ebrima Adams.
Ils ont manqué à plusieurs reprises des occasions de creuser l’écart face à une équipe gambienne qui n’a jamais abdiqué.