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22 novembre 2024
SENEPLUS TV
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Y'EN A MARRE TIRE LA SONNETTE D'ALARME
Arrestations controversées, libertés menacées, promesses oubliées : Aliou Sané dresse un bilan sans concession des premiers pas du gouvernement. Un rappel cinglant que la vigilance citoyenne ne prend jamais de vacances
Ce dimanche 6 octobre 2024, Alioune Sané, coordinateur du mouvement Y'en a Marre, a fait entendre sa voix lors de l'émission dominicaine de Sud FM. Dans un entretien percutant, il a exprimé de vives inquiétudes quant à l'état actuel de la démocratie sénégalaise.
Sané a pointé du doigt les récentes actions du nouveau gouvernement, notamment les arrestations pour "diffusion de fausses nouvelles". Il avertit que ces pratiques rappellent dangereusement celles du régime précédent, contre lesquelles le mouvement s'était battu. "On ne peut pas dire à une opposition comment elle doit s'opposer", a-t-il martelé, appelant à préserver l'espace démocratique chèrement acquis.
Le coordinateur de Y'en a Marre n'a pas manqué de souligner l'importance de la reddition des comptes, tout en insistant sur le respect des droits et de la présomption d'innocence. Il exhorte le gouvernement à agir de manière transparente et équitable dans ce processus.
Face aux défis sociaux critiques tels que l'insécurité, l'immigration irrégulière et le chômage des jeunes, Sané appelle à un leadership fort et inspirant. Selon lui, le nouveau président a la responsabilité de "faire rêver" la jeunesse sénégalaise et de l'engager dans un projet de développement national.
Malgré ces préoccupations, Alioune Sané réaffirme le rôle crucial de Y'en a Marre en tant que "sentinelle de la démocratie". Il souligne l'importance de maintenir des organisations citoyennes indépendantes, capables de s'élever au-dessus des intérêts politiques pour défendre les principes démocratiques.
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L'ÉVICTION D'ALIOU CISSÉ FAIT DES VAGUES
Supporters, anciens joueurs et commentateurs fustigent une décision jugée irresponsable et ingrate. La Fédération se retrouve acculée afin de présenter un plan convaincant pour l'avenir des Lions de la Téranga
L'émission phare de Canal+ dédiée au football africain a fait sa une sur le départ controversé d'Aliou Cissé de la tête des Lions de la Téranga. Un coup de tonnerre dans le ciel sénégalais qui soulève de nombreuses questions.
Le timing de cette annonce, à quelques jours de matchs cruciaux pour les qualifications à la CAN et à la Coupe du Monde, est particulièrement pointé du doigt.
"C'est une décision brutale et mal pensée", s'insurge Mamadou Niang, ancien international sénégalais. "On ne change pas de capitaine en pleine tempête", ajoute-t-il, soulignant l'importance de la stabilité à ce stade crucial de la saison.
Le bilan d'Aliou Cissé, loin d'être catastrophique, rend la pilule d'autant plus difficile à avaler pour de nombreux supporters. Artisan de la première victoire du Sénégal en Coupe d'Afrique des Nations en 2021, Cissé laisse derrière lui un héritage conséquent. "Il aurait mérité beaucoup plus d'honneur que de sortir comme ça, comme un vulgaire délinquant poursuivi par la clameur publique", s'indigne le journaliste Abdoulaye Thiam de Sud Quotidien.
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MOUSTAPHA GUIRASSY AU CŒUR D'UN DÉBAT HOULEUX SUR TFM
Ce qui devait être une discussion sur la rentrée scolaire a rapidement viré à une affrontement verbal tendu entre le ministre de l'Éducation nationale et le journaliste Chérif Diop
Dans une émission qui a fait des étincelles sur la TFM, le ministre de l'Éducation nationale Moustapha Guirassy s'est retrouvé sous le feu des questions incisives du journaliste Chérif Diop, jeudi 3 octobre. L'échange, qui devait initialement porter sur la rentrée scolaire, a rapidement viré à une confrontation verbale sur des sujets brûlants d'actualité.
Dès le début de l'entretien, Guirassy a tenté de recentrer la discussion sur son agenda prévu, à savoir la journée du 5 octobre dédiée à la rentrée scolaire. Cependant, Diop a insisté sur des sujets sensibles tels que les arrestations récentes de journalistes et d'acteurs politiques.
Le ton est monté lorsque le ministre a reproché au journaliste de ne pas respecter le cadre convenu de l'interview. "Je n'étais pas venu débattre de l'actualité", a déclaré Guirassy, visiblement agacé. Diop a riposté en affirmant son droit et son devoir de poser des questions pertinentes.
Malgré ces échanges tendus, l'entretien a finalement abordé les défis majeurs de l'éducation nationale. Guirassy a annoncé des mesures concrètes pour pallier le déficit d'enseignants et résorber les abris provisoires. Il a également évoqué une refonte du système d'évaluation visant à réduire les taux d'échec scolaire.
Un moment clé de l'émission a été l'annonce de la création d'un Conseil supérieur de l'éducation et de la formation, un organe transversal censé apporter une gouvernance plus consensuelle au système éducatif.
L'interview s'est conclue sur un appel du ministre à la mobilisation nationale pour "donner du sens à l'école". Malgré les désaccords, Chérif Diop a reconnu les compétences de Moustapha Guirassy en matière de communication, laissant entrevoir la possibilité d'un futur échange plus apaisé.
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ATTAQUÉ AU TOGO, GUY MARIUS SAGNA DÉNONCE UN COMPLOT CONTRE LA CEDEAO DES PEUPLES
Le député sénégalais révèle que le parlement de la CEDEAO l'a abandonné à son sort, allant jusqu'à déclarer ne plus pouvoir assurer sa sécurité. Il pointe le double-jeu de la police togolaise qui, selon lui, a refusé de prendre sa plainte après l'incident
Ce mercredi 2 octobre 2024, le député Guy Marius Sagna a fait des révélations fracassantes sur les événements survenus quelques jours plus tôt au Togo. Lors d'une conférence de presse, le parlementaire de la CEDEAO a détaillé les circonstances de l'agression violente dont il a été victime, ainsi que plus de 20 citoyens togolais, lors d'une réunion publique à Lomé.
Sagna pointe du doigt les autorités togolaises, accusant le parti au pouvoir d'avoir "planifié une torture" contre des Ouest-Africains. Il dénonce également le double-jeu de la police togolaise qui, selon lui, a refusé de prendre sa plainte après l'incident. "Tout a été planifié, c'était clair comme de l'eau de roche", a-t-il déclaré.
Le député sénégalais n'a pas épargné le Parlement de la CEDEAO dans ses critiques. Il révèle que l'institution l'a abandonné à son sort, allant jusqu'à déclarer ne plus pouvoir assurer sa sécurité et lui acquérir un billet d'avion pour quitter le pays. "Vous vous rendez compte, c'est une honte", s'est-il indigné.
Sagna va plus loin en dénonçant ce qu'il appelle une "CEDEAO des chefs d'État" opposée à une "CEDEAO des peuples". Il affirme que sa volonté de transparence, notamment concernant les rapports d'audit des institutions de la CEDEAO, est à l'origine des menaces qui pèsent sur lui.
L'élu sénégalais appelle les citoyens ouest-africains à se mobiliser pour une CEDEAO plus démocratique et transparente. "Allez-vous continuer à accepter que des députés qui veulent sortir de la CEDEAO des États et du syndicat des chefs d'État et veulent entrer dans la CEDEAO des peuples soient bastonnés, qu'ils soient assassinés ?", a-t-il lancé.
Cette sortie médiatique de Guy Marius Sagna soulève de nombreuses questions sur le fonctionnement de la CEDEAO et la sécurité des élus qui osent remettre en question le statu quo.
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LES COALITIONS NE SUFFIRONT PAS
Le politologue Lamine Sarr pointe l'obsession des partis pour les jeux d'alliances, au détriment des enjeux sociaux. Il estime que la décision de Pastef de se présenter seul pourrait marquer un retour à une politique plus lisible pour les électeurs
Dans un entretien accordé à la TFM ce lundi soir, le Dr Lamine Sarr, enseignant-chercheur en sciences politiques, a livré une analyse sur les prochaines élections législatives anticipées. Alors que plus de 40 listes ont été déposées à la Direction Générale des Élections, Sarr met en garde contre une focalisation excessive sur les jeux d'alliances. "Les coalitions font parti du paysage politique sénégalais depuis des décennies, mais elles ne sont pas une fin en soi", affirme-t-il. Le chercheur pointe du doigt la nécessité pour les partis de proposer des solutions concrètes aux problèmes quotidiens des citoyens.
Dans ce contexte, la décision du parti Pastef de se présenter seul aux élections prend une dimension particulière. "C'est un choix qui pourrait rebattre les cartes", estime Sarr. Cette stratégie, qui rompt avec la tendance aux grandes coalitions, pourrait selon lui marquer un retour à une politique plus lisible pour les électeurs.
Pour Lamine Sarr, les véritables défis de ces élections se situent sur le terrain socio-économique. "La reddition des comptes est importante, mais elle ne nourrira pas les familles", souligne-t-il. L'expert insiste sur l'urgence de s'attaquer à des problèmes tels que le chômage des jeunes, l'immigration clandestine et la hausse du coût de la vie.
Responsable du Master Paix, Sécurité et Développement à l'Université Cheikh Anta Diop, Sarr n'a pas manqué de mettre en lumière les défis du secteur éducatif. "La massification des universités compromet la qualité de l'enseignement", déplore-t-il, appelant à une réforme en profondeur du système éducatif.
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SONKO, DE L'INSUBMERSIBLE CANDIDAT À L'HYPER PREMIER MINISTRE
«On n’a pas un hyper président, on a un hyper Premier ministre…On a tout fait pour arrêter Sonko. Il a souffert toutes les misères pour ne pas être candidat. Ça, ça ne peut pas ne pas impacter les institutions », soutient Alioune Tine (AfrikaJom Center)
L’actuel chef du gouvernement Ousmane Sonko n’est pas un Premier ministre ordinaire, mais un hyper Premier ministre, résultante du dysfonctionnement démocratie, selon Alioune Tine, président du think thank AfrikaJom Center. Si des Sénégalais fantasment sur le vrai détenteur du pouvoir exécutif, on peut le comprendre. C’est loin d’être un débat sur le sexe des anges. Au vu du parcours politique et de la personnalité d’Ousmane Sonko, bien des Sénégalais sont persuadés que c’est lui le boss. Et ce serait une erreur de considérer que Sonko est un invité à la table de Diomaye et tenu de savoir se tenir. Pour corriger cette incongruité, le président d'AfrikaJom Center plaide pour la mise en application du Pacte de bonne gouvernance démocratique.
Empêché par tous les moyens institutionnels de réaliser son ambition présidentielle, il s’est retrouvé hyper Premier ministre. Charismatique chef de file des Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Éthique et la Fraternité (Pastef), qu'il a fondé en 2014), Ousmane Sonko fut un opposant farouche, un empêcheur de tourner en rond du régime Sall dont il n’a de cesse de pointer les tares.
Courageux, voire téméraire, il a connu toutes sortes de persécution politique, consenti à des sacrifices au cours des 3 dernières années, à tel enseigne que nul ne l’imaginait aujourd’hui aux affaires puisque c'est à quelques jours de la fin de la campagne électorale, à la faveur du loi d'amnistie controversée, qu'il recouvre la liberté en même temps que l'actuel président.
Pourtant, une décade plus tôt, dans les liens de la détention, il entreprenait des grèves de la faim susceptibles de nuire à sa santé. Mais le risque pris et la bravoure affichée du chef ont été payantes. Il n’a pas pu se présenter, mais son choix et sa consigne de vote ont été suivis à la lettre. Son binôme est élu haut la main avec cinquante-quatre pour cent des suffrages.
Il savait fort bien là ou ses ennuis judiciaires avec Sweet Beauty, du nom de ce salon de massage, ou il a été accusé par Adji Sarr de viol, pouvait le conduire.
Stratège et habile, très tôt, Sonko avait désigné d'autres membres de son parti pour s’assurer de mettre quelqu’un en face du candidat du pouvoir et ainsi de parer à toute éventualité ou toute tentative visant carrément à empêcher son parti de prendre part au scrutin. C’est ainsi que Bassirou Diomaye Faye est positionné et sera élu dès le premier tour de la présidentielle le 24 mars dernier. Sans surprise, lui, Ousmane Sonko sera nommé Premier ministre.
En 6 mois de magistère, étant donné la personnalité et le leadership d’Ousmane Sonko, le fondateur de Pastef (des mauvaises langues ?) disent qu’en vérité, c’est lui qui est aux manettes au palais de la République au lieu de celui qui a été consacré par la légitimité du suffrage universel.
D’aucuns, le trouvent, en tant que Premier ministre, un peu trop envahissant à tort ou à raison dans des prérogatives du Président. Pour sûr, même s’il était établi que c’est le Premier ministre qui gouverne, cela ne devrait surprendre personne outre mesure de l’Avis d’Alioune Tine, Fondateur d’AfrikaJom Center.
« On n’a pas un hyper Président, on a un hyper Premier ministre. C’est le résultat des dysfonctionnements de notre démocratie. On a tout fait pour arrêter Sonko. Il a souffert toutes les misères pour ne pas être candidat. Ça, ça ne peut pas ne pas impacter les institutions. On ne peut pas dissocier à la fois tout le vécu de Sonko et le comportement qu’il a, à l’heure actuelle », soutient Alioune Tine.
Chef du gouvernement, il est presque impossible que son influence ne déteigne sur le fonctionnement du pouvoir. Sonko incarne le Pastef et la résistance. Ousmane Sonko a fait montre d’un courage inégalable face au pouvoir répressif de Macky Sall qui a tout fait pour l’empêcher de se porter candidat. Mais il a tenu ferme en cristallisant toute la charge qu’aurait dû porter toute l’opposition.
Il faut se rappeler que quelques mois plus tôt, Diomaye n’était pas du tout connu du grand public. S’il a été élu de manière claire et nette, c’est forcément l’aura de Sonko qui a ruisselé en lui. L’éditorialiste togolais de la chaine New World Tv, l’ambassadeur Sogoyou Keguewe disait fort à propos que «Même si c’est un crapaud que Sonko désignait pour participer a cette élection, il l’aurait gagné ». Cela en dit long sur ce que représente le Premier ministre sénégalais.
Selon ce vétéran des droits humains, c’est la résultante des dysfonctionnements institutionnels sous l’ancien régime. Il en veut pour exemple toutes les misères que le régime de Macky Sall à fait subir à Ousmane Sonko en utilisant les institutions comme la justice ou l’Assemblée nationale à sa guise.
Le fonctionnement de ses institutions est critiqué depuis des années. Le besoin de leur réforme en profondeur s'est toujours posé avec acuité. À cet effet, la solution n'est pas loin. C’est la mise en œuvre du pacte national de bonne gouvernance signé par le président Diomaye Faye comme 12 autres candidats, lors de la campagne électorale qui réglerait les pathologies démocratique du Sénégal.
Cet outil de gouvernance va impulser des réformes institutionnelles nécessaires, permettant que les choses soient clarifiées entre le Président et le Premier ministre, que d’autres prérogatives soient éventuellement transférées au Parlement et que le citoyen ait surtout son mot à dire dans l’action politique. Ce sera l’amorce d’une démocratie délibérative, participative, estime Alioune Tine.
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L’INVITE D´INFOS MATIN DU 30 SEPTEMBRE 2024 -SERIGNE MBOUP, MAIRE DE KAOLACK, PRESIDENT DE UNCCIAS
JANGÀT ak Daouda MINE - Reddition des comptes : la crainte d´une justice « ciblée" ?
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GUY MARIUS SAGNA VIOLEMMENT ATTAQUÉ À LOMÉ
Le député sénégalais a subi l'assaut des « gros bras » lors d'une réunion politique ce dimanche 29 septembre dans la capitale togolaise. Il a dû être évacué en urgence vers une clinique voisine, porté par ses soutiens
(SenePlus) - Le député Guy Marius Sagna a été victime d'une agression violente ce dimanche 29 septembre à Lomé, la capitale togolaise, comme le rapporte Radio France Internationale (RFI). Présent au Togo dans le cadre de ses fonctions au Parlement de la CEDEAO, Sagna devait participer à une réunion publique organisée par la plateforme d'opposition dynamique pour la majorité du peuple (DMP).
L'événement, déjà perturbé par un changement de lieu de dernière minute, a rapidement dégénéré dès que Guy Marius Sagna a pris la parole. Des personnes décrites comme des "gros bras" par RFI ont lancé des chaises vers la table d'honneur, visant particulièrement le député sénégalais.
Dans le chaos qui s'en est suivi, Sagna a été blessée à la tête et au bras. Il a dû être évacué en urgence vers une clinique voisine, porté par ses soutiens.
Au-delà des blessures physiques infligées à Guy Marius Sagna, l'incident a fait au moins six autres blessés, dont la députée togolaise Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson. Le matériel de presse a été détruit, des véhicules vandalisés, témoignant de la violence de l'attaque.
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ABDOU MBOW CONTRE-ATTAQUE
L'ancien député et responsables de l'APR accuse le nouveau régime de "manipulation" et d'incompétence. Il évoque de vives inquiétudes quant à l'organisation des prochaines législatives
Ce dimanche 29 septembre 2024, Abdou Mbow, ancien député et responsable de l'Alliance pour la République (APR), ex-parti au pouvoir, a vivement réagi au nouveau régime lors de l'émission "Jury du Dimanche" (JDD).
L'ancien parlementaire a qualifié de "manipulation" les récentes déclarations du gouvernement d'Ousmane Sonko concernant la sous-évaluation présumée de la dette publique et du déficit budgétaire sous le régime précédent. "Ousmane Sonko ne fait que de la politique. On va aux élections législatives, il est en campagne électorale", a-t-il affirmé.
Abdou Mbow a également fustigé le manque de programme clair du nouveau gouvernement, déclarant : "Depuis qu'ils sont arrivés, ils sont dans le tâtonnement, ils sont sans projet." Il a souligné l'incapacité du régime actuel à résoudre les problèmes urgents tels que le chômage des jeunes et l'immigration clandestine.
Concernant les élections législatives prévues le 17 novembre 2024, l'ancien député a annoncé la formation d'alliances, notamment entre l'APR et le PDS, pour contrer le nouveau régime. Il a exprimé de sérieuses inquiétudes quant à la fiabilité du processus électoral, citant des délais judiciaires et des violations présumées de la Constitution dans l'organisation du scrutin.
"On risque d'avoir les élections les plus mal organisés de l'histoire", a-t-il averti, appelant à la vigilance face à ce qu'il considère comme une menace pour la démocratie sénégalaise.